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vendredi 16 avril 2021

Investissements immobiliers, mes arbitrages, quelques explications


Il y a tout juste 5 ans, je m’apprêtais à signer mon 3ème investissement locatif,
la maison adjacente à ma résidence principale que je loue depuis à l'année sur Airbnb en tant que location touristique

A l'époque, je possédais donc 2 autres investissements immobiliers, 2 studios : le premier acheté en 2009  loué dès le début en meublé LMNP, et le second acheté en 2014, déjà occupé par un locataire, en location classique, nue. 

Mais ces dernières années j'ai décidé de réaliser quelques arbitrages, immobilier notamment, en décidant de revendre ces 2 appartements.

Pourquoi avoir revendu ces 2 investissements locatifs ?

Effectivement, ça peut apparaitre paradoxal pour quelqu'un dont le but est de développer des revenus alternatifs, et ainsi gagner en indépendance financière. 

Mais tout bon investisseur doit aussi savoir arbitrer. Ne pas rester enfermer dans une position et savoir s'adapter. Plusieurs paramètres m'ont fait prendre ces décisions, juste avant le début de la crise du COVID-19 ! Et il est certain que je regréterrai de ne pas l'avoir fait aujourd'hui. Je vais y revenir...

Commençons déjà par mon 1er studio. 

Je l'ai revendu en 2019. Pendant 10 ans, je l'ai loué en meublé, sous le statut de LMNP, uniquement à des étudiants venant se former durant quelques mois (2 à 10 mois) dans une grande école de management.  

Durant les 6 premières années, je peux considérer qu'il s'agissait d'un bon investissement. Quasiment autofinancé, avec presque suffisamment de revenus locatifs pour compenser l’intégralité des dépenses. L'imposition en BIC réel ayant également joué un rôle majeur pour rendre cet investissement intéressant. Pendant ces 6 ans, mes locataires ont donc payé mon emprunt (plus toutes les charges locatives). 

Puis année après année, 2 paramètres ont commencé à faire pencher défavorablement la balance. Premièrement, la plus grande difficulté à bien louer. C'est à dire avec un minimum de vacances locatives. Hors, il s'avère que les périodes de formations des étudiants sont devenues de plus en plus courtes, plus morcelées. Plus de locataires à gérer dans une année, plus de semaines voir de mois perdus entre chacun. Et j'ajouterai également, une plus grande difficulté à trouver ces étudiants, plusieurs résidences dédiées ayant été bâties ces dernières années, offrant le meilleur confort et les meilleurs services (conciergerie...) !

Donc des revenus locatifs en baisse. Et de plus en plus avec le temps. 

mardi 6 janvier 2015

Investissement locatif à Paris, 40 ans après…



Je voulais vous parler aujourd’hui d’un investissement immobilier réalisé par mon grand-père il y a 40 ans…

J’ai eu la chance d’aller visiter l’appartement juste avant Noël, une première pour moi. Je savais que mon grand-père possédait ce bien, on en avait déjà discuté un peu, mais je ne l’avais jamais vu concrètement.

Il s’agit d’un studio de 18 m² situé à Paris, dans le 1er arrondissement plus exactement, tout près de la rue de Rivoli et des Halles, une station de métro est juste au bout de la rue. 

1er arrondissement de Paris

En plein centre de Paris, la situation est donc assez idéale.

Mon grand-père qui vit près de Reims, a fait cette acquisition il y a tout juste 40 ans ! Un achat payé cash à l’époque suite à la revente d’un fond de commerce. Mon grand-père n’a jamais été un véritable investisseur immobilier, il a simplement suivi les bons conseils que lui a donné le maire du village de l’époque pour placer son argent (lui aussi avait acheté un appartement dans le même immeuble). Et pour le coup, il s’agissait d’un excellent conseil !


Le studio a été payé en 1974 tout frais inclus, « 10 millions » (d’anciens francs…) comme dit mon grand-père…soit 100 000 francs…, ce qui signifie aujourd’hui environ 15000 euros !

Une valeur multipliée par 10 en 40 ans !

jeudi 4 décembre 2014

Le financement à crédit de mon 2ème investissement locatif

Le compromis de vente de mon nouvel investissement immobilier ayant enfin été signé, j’ai donc pu prendre rendez-vous avec mon banquier pour lancer la demande de prêt.

Pour rappel, le prix de vente de cet appartement a finalement été négocié de particulier à particulier à 67000€.
Un coût d’acquisition auquel il faut bien sûr ajouter les frais de notaire, les frais bancaires et les frais de garantie. 

On arrive alors à un coût global estimé de l’ordre de 74000€ pour le moment, avec une prévision de 5500€ de frais de notaire et pratiquement 1500€ de frais de garantie et bancaire.

Quelques mois après la signature chez le notaire, je récupérerai probablement quelques centaines d’euros de la part du notaire mais pour les discussions de financement, nous sommes parti sur ce montant de 74000€.

De la même manière que pour mon 1er investissement immobilier, je souhaitais acheter avec un minimum d’apport personnel.

C’est tout l’intérêt de l’immobilier, contrairement à la bourse, on peut investir à crédit, et avec les taux actuels historiquement bas, il faut en profiter !

Je suis donc parti sur un emprunt couvrant la totalité du prix de vente, soit 67000€. Seul l’ensemble des frais annexes, soit environ 7000€ étant payés de ma poche.

Même si ça se faisait à une époque, il est devenu aujourd’hui beaucoup plus difficile d’emprunter les frais de notaire. Les banques sont devenus très réticentes.


Un taux de 2,60% fixe sur 20 ans !

J’avais fait réaliser une première proposition de prêt courant Août, pour un montant assez proche, et à l’époque, la meilleure proposition faite ma banque, la Caisse d’Epargne, était de 2,75% (sur 20 ans).

A peine 3 mois plus tard, c’est encore mieux ! Les taux d’intérêt ont encore baissé, au point que mon banquier a pu me proposer un 2,60% fixe sur 20 ans.

lundi 10 novembre 2014

La promesse de vente de mon 2ème investissement locatif et les lourdeurs de la loi ALUR

La dernière fois que je vous ai parlé de mon 2ème investissement immobilier, c’était fin Aout ! Je venais de conclure avec les vendeurs les conditions d’achat avec un prix d’acquisition négocié à 67000€.

Cette vente se fait entre particuliers, sans agence intermédiaire. L’étape suivante était donc la signature d’un compromis de vente chez le notaire.

Et il aura fallu près de 2 mois pour être mesure de signer cette promesse de vente ! Chose faite le 23 octobre…

Pourquoi autant d’attente ? Les nouvelles contraintes imposées par la loi ALUR…

En effet, toute une liste de documents sont à présent requis avant de pouvoir signer un compromis de vente. L’idée étant de mieux informer les acquéreurs de lots de copropriété.  

Mais finalement durant cette période de 2 mois, même si les vendeurs et moi-même avions donné notre accord verbal, nous n’avions aucun engagement l’un envers l’autre. J’aurais très bien pu continuer à chercher un autre bien et abandonner le 1er sans aucune pénalité !

Je trouve cette situation assez risquée en tant que vendeur. La période d’incertitude lors de la vente d’un bien immobilier est plus ou moins doublée à présent : la durée d’obtention du crédit par l’acheteur à laquelle s’ajoute cette période nécessaire pour rassembler la paperasse…


Quels sont les nouveaux documents que le vendeur doit absolument réunir ?

mardi 26 août 2014

Mon 2ème investissement locatif, c’est fait !

Soyons direct, j’ai décidé d’acheter l’appartement vendu occupé que j’ai visité la semaine dernière.

Après le studio loué meublé dans lequel j’avais investi fin 2009, il s’agit donc de mon 2ème bien immobilier locatif.

Un nouvel actif qui générera à terme, à l’issue du remboursement du prêt immobilier, des revenus autres que ceux de mon travail salarié ou de ma retraite…

Le projet est un peu différent du premier : en 2009, j’avais acheté un studio qui n’était pas occupé, mais qui par contre nécessitait pas mal de travaux de rénovation : 1 mois de travaux de sous traités et pas mal de week end passés pour le meubler. J’avais signé le compromis de vente à la même époque, fin Août, pour percevoir mon 1er loyer seulement en janvier 2010.

Dans le cas de ma nouvelle acquisition, l’appartement est déjà loué, il y a un bail de location classique qui est en cours, qui se terminera dans un peu plus de 2 ans. Par conséquence, dès l’acte de vente signé chez le notaire, je percevrai les loyers du locataire actuel, ce qui veut dire probablement avant la fin 2014. Enfin, je l’espère, la loi Alur impose à présent au vendeur de fournir beaucoup plus de documentation, notamment sur la copropriété, dès la signature du compromis de vente, ce qui allonge généralement les durées de transaction…La date de cette signature n’a pas encore pu être fixée chez le notaire qui a besoin de recevoir au préalable toutes les informations.

Mais même si ça prend un peu de retard, ce nouvel investissement locatif ne me demandera que très peu d’effort pour amorcer la pompe, obtenir mon crédit auprès de ma banque et me rendre disponible pour la signature chez le notaire. Rien d’autre dans les mois à venir.

C’est aussi l’une des raisons qui m’a poussé à choisir ce bien immobilier, investir à nouveau dans l’immobilier dès cette année, tout en y consacrant très peu de temps. Je ne pense pas que j’aurai été en mesure de gérer en cette fin d’année des travaux de rénovation et du meublé comme je l’ai fait en 2009. Cet investissement locatif a le grand mérite pour moi de me permettre de commencer, sans compromettre mes autres projets (professionnels…et oui bien obligé…et personnels, ceux avec ma femme en particulier). Mais tout en ayant la visibilité d'une rentabilité bien meilleure dans les mois ou années à venir, quand le locataire actuel partira, et que j’aurai un peu plus de temps...

Pour rappel, je souhaite à l’avenir exploiter cet appartement de la même manière que le premier, en location meublé, à des étudiants, avec un mode d’imposition de type BIC réel pour minimiser au maximum la fiscalité.


La visite de l’appartement

lundi 18 août 2014

Acheter un bien immobilier vendu loué

C’est peut-être bien ce qui pourrait m’arriver !

Vous le savez je cherche à réaliser à un 2ème investissement locatif, j’ai déjà fait quelques visites infructueuses comme celle dont je vous ai parlé ici, mais depuis quelques semaines, le marché immobilier des petites surfaces, vendues à moins de 100000€, est quasiment à l’arrêt !

Pratiquement rien de nouveau mis en vente dans ma ville…je regarde presque tous les jours les petites annonces sur Internet (le bon coin en particulier), je rappelle régulièrement mes quelques contacts, mais rien de concret.

J’ai tout de même probablement raté une bonne affaire par manque de disponibilité de ma part : un F2 de 30m² vendu 85000€ à rénover en plein centre ; j’ai appelé l’agence le samedi, le jour de la parution de l’annonce, pour visiter au plus tôt : le lundi l’agence était fermé, le mardi j’étais en déplacement professionnel, j’ai donc pris rendez-vous pour le mercredi. Sauf que le mercredi matin, l’agent immobilier m’appelle pour annuler la visite, l’appartement avait été vendu la veille au soir lors de la 1ère visite ! Un investisseur qui voulait faire de la location saisonnière…

Le peu qu’il y a à vendre part donc très très vite…


Mais jeudi dernier, enfin une nouvelle petite annonce qui a retenue mon attention…

Un studio de 20 m² vendu 74000€ par un particulier. Entièrement rénové il y a 2 ans, situé en plein centre-ville, dans une rue piétonne animée.

Tout à fait la situation que je recherche pour mes étudiants, pour un prix plus qu’intéressant, étant donné en plus l’absence de travaux !

vendredi 18 juillet 2014

Comment est-il possible de s’enrichir en investissant dans un immeuble de rapport ?


Aujourd'hui un article écrit par Lionel du blog http://devenir-rentier-immobilier.fr/, sur un sujet que je n'ai jamais abordé je crois ici, l'investissement dans un immeuble de rapport, l'un des investissements immobilier parmi les plus rentables...

Pourquoi investir ?

Tout d’abord on peut se demander pourquoi investir, que ce soit dans l’immobilier ou autre ? Aujourd’hui, la majorité de la population ne vit qu’avec une seule source de revenu. Elle correspond au salaire que votre patron vous verse ou bien à la somme que vous pouvez vous verser en tant qu’entrepreneur à votre compte. Dans tous les cas, à moins d’être en possession de capitaux importants, vous ne pouvez pas arrêter de travailler pour voyager, ou autre, car sans argent vous êtes bloqué ! Une des solutions est d’investir dans un projet qui pourra vous apporter un complément de revenu tout de suite et pas dans vingt ans.

Quel est mon projet ?

J’ai pour projet de devenir indépendant financièrement (http://www.devenir-rentier-immobilier.fr/quitter-rat-race/) pour quitter mon emploi de fonctionnaire et pouvoir vivre la vie que désire en toute liberté. Je me suis donc intéressé aux différentes méthodes existantes pouvant apporter un complément de salaire. Finalement c’est l’immobilier qui est à mes yeux le plus avantageux. Mais attention, pas l’immobilier dans le neuf qui ne rapporte que 2 ou 3% net par an. Il s’agit d’investir dans l’ancien. Je vise un rendement minimum de 8% net minimum dans chacun de mes investissements.

Gagner son indépendance financière en investissant dans un immeuble de rapport

Il y a plusieurs investissements possibles dans l’immobilier ancien et chacun a ses avantages et ses inconvénients. Mon premier projet a été l’achat d’un immeuble de rapport car je trouve que ce type de bien immobilier apporte beaucoup d’avantages pour s’enrichir

jeudi 3 juillet 2014

Pourquoi j’aime la bourse !

Je vous parle beaucoup d’immobilier ces dernier temps, c’est le sujet sur lequel je me focalise à nouveau pour continuer à développer mes sources de revenu alternatives. Parce que je considère que les actions sont trop chères ces derniers mois, mais pas seulement…

Je veux absolument faire ce nouvel investissement dans les mois qui viennent, de manière à avoir un nouvel appartement à proposer en location au 1er janvier 2015.  

Mais en même temps, le travail salarié qui me permet aujourd’hui d’investir m’accapare une grosse partie de mes journées actuellement…alors gérer les appels téléphoniques et les visites est loin d’être évident !

Le gros intérêt de l’immobilier ? pouvoir investir à crédit ! avec seulement quelques milliers d’euros pour financer les frais, on peut s’acheter un appartement.

C’est le côté positif, mais pour la mise en œuvre, ça nécessite de se retrousser les manches et de s’investir personnellement, du temps, du travail, du stress également…

La seule étape d’un projet immobilier qui se passe assis dans son canapé, tablette à la main, c’est de regarder les petites annonces sur Internet…

Pour le reste, c’est loin d’être aussi passif que ça ! Ceux qui vous disent le contraire vous mentent…

L’immobilier ça se mérite ! tout le monde en parle, peu franchissent le pas…

Pour réussir un projet, et maintenir une bonne rentabilité dans la durée, on peut lister pas mal d’actions plus ou moins rébarbatives :

vendredi 20 juin 2014

Une bonne opportunité d’investissement locatif ?

Je vais vous parler d’un appartement auquel je me suis pas mal intéressé en vue d’un possible nouvel investissement immobilier.

Il s’agissait d’un studio de 23 m² vendu 79000€. Je parle au passé, vous l’aurez compris, je n’ai pas fait de proposition d’achat… 
 
Je l’ai visité à 2 reprises, avec 2 agents immobiliers différents…

La première fois, avec un agent immobilier d’I@D France, j’étais tombé sur son annonce dans leboncoin. 
 
Je n’ai rien contre I@D, surtout qu’en général ce type d’intermédiaire permet de bénéficier de frais réduits…

Le problème, c’est que le gars qui m’a fait faire la visite n’y connaissait absolument rien ! Sur cet appartement en particulier, et plus généralement sur l’immobilier…

Dès mes premières questions, la copro, le syndic, pourquoi le propriétaire vends…j’ai compris qu’il n’était au courant de rien !

Comment peut-on donner confiance à un acheteur potentiel de cette façon-là ! 
 
Indépendamment de ça, ce bien immobilier avait quelques atouts, quelques défauts aussi…mais impossible pour moi d’aller plus loin sans en savoir un peu plus sur le contexte de la vente et la vie ou les comptes de la copropriété.

Par chance, quelques jours plus tard, j’ai découvert que la vente de cet appartement avait également été mandatée à un autre agent immobilier que je connaissais bien…une autre petite annonce sur leboncoin, au même prix !

vendredi 13 juin 2014

Mon 2ème investissement locatif : objectifs et préparation

Vous le savez, je cherche à investir à nouveau dans l’immobilier, en rééditant l’investissement locatif que j’ai fait fin 2009, un studio meublé en centre-ville loué à des étudiants de grande école, des étudiants pour la plupart étrangers.

Après 5 années d’expérience de gestion locative, j’en ai tiré beaucoup d’enseignements positifs :

  • Une grande facilité à trouver des locataires, souvent même sans visite préalable, simplement par contact email, suite à ma petite annonce.
  • Un montant de loyer élevé, au moins 25% supérieur à ceux des autres appartements similaires de la copropriété.
  • Sans avoir subi le moindre loyer impayé 
  • Ni aucune dégradation importante (juste un manque d’entretien et de ménage…)
  • Et le tout avec un taux de vacance locative faible. (quasiment certain de louer 11 mois par an, l’appartement restant souvent vide de mi-juillet à mi-aout, ce qui présente également des atouts !)

Il y a environ 1000 étudiants qui passent par an dans cette école, un vivier important de clients potentiels...un petit millier de logements nécessaires ! ce qui peut aussi expliquer que les étudiants ne discutent pas vraiment le prix des loyers. Il faut bien voir que le coût de l’année d’étude leur revient nettement plus cher que le coût du logement. 
De plus, je viens d’être contacté par un ancien de l’école qui travaille sur le projet d’un site en ligne de mise en relation directe entre propriétaires bailleurs et étudiants, avec un abonnement annuel de 50€ à terme. Même si pour le moment, j’ai un contact au sein de l’école qui publie mes annonces sur l’intranet gratuitement, ça pourrait ne pas durer, et par conséquent ce projet m’intéresse forcément. Surtout dans l’optique de proposer plusieurs logements en location…


De nouveaux critères de recherche par rapport à mon expérience passée ?

vendredi 6 juin 2014

Nouveau projet d'investissement immobilier : c'est parti !

Pour moi, cette première partie de l’année 2014 aura plus été marquée par de de la bonne gestion que par de l’investissement : l’amortissement comptable de mon studio et la mise en attente de liquidités en prévisions de jours meilleurs en bourse (Comme vous pourrez le constater sur la page de suivi de mon PEA, je viens de dépasser les 10000€ de plus-value et ça me laisse toujours autant perplexe ! )

Dédier une partie de son activité à la gestion, c’est très bien, il faut le faire, mais ce n’est pas très marrant ! Et surtout ça ne se traduit pas de la création de nouvelle source de revenus passifs…

Mais depuis quelques semaines, les choses changent, je m’active pour que la 2ème partie de l’année soit différente !

J’en parle déjà depuis quelques temps, mais cette fois-ci, c'est lancé, je suis dans une démarche active de recherche d’un 2ème investissement locatif.

J’ai tout d’abord fait valider mon projet auprès de ma banque, avec l’obtention d’une proposition de prêt pour un montant de 80000€. C'est le montant maxi (hors frais de notaire et meublé) que je considère acceptable pour un bon investissement dans ma région, je suis donc partie sur cette base pour obtenir un accord de principe. 

lundi 30 septembre 2013

Investir dans un appartement ou un parking, les différences


Tous ceux qui se sont intéressés ces dernières années à l’immobilier locatif, ont pu constater une baisse évidente de la rentabilité, en raison de la hausse continue des prix de l’immobilier.

Ça tend à stagner voir à baisser un peu, mais évidemment par rapport à il y a 10 ans, ça n’a rien à voir…

Il faut alors chercher des astuces, des niches…pour ma part, je me suis lancé dans la location meublée, qui d’une part permet de maximiser les loyers, mais aussi d’améliorer très nettement la rentabilité grâce à une fiscalité avantageuse. (je vous renvoie à mes articles sur le mode l’imposition au BiC réel)

Un autre type d’investissement immobilier est devenu plus courant ces dernières années, l’achat de parking ou de box, notamment en raison d'un prix de départ plus faible. 

Mais surtout, c'est la rentabilité qui est en général mise en avant, atteignant parfois les 10%.

Julien s’est focalisé sur ce type d’investissement, il en parle sur son blog, et je lui ai demandé quelles étaient selon lui les principales différences entre investir dans un parking ou dans un appartement et pourquoi il avait fait ce choix.

Voici sa réponse en vidéo !



Merci à toi Julien pour cette synthèse dédicacée !

Si vous souhaitez plus d’informations sur le sujet,  rendez vous sur le site de Julien, ParkingGarage.fr


vendredi 20 septembre 2013

Une erreur d’investir dans l’immobilier aujourd’hui ?

J’ai reçu plusieurs mails ces dernières semaines allant dans ce sens, de personnes motivées à se lancer dans l’investissement locatif et qui finalement viennent de baisser les bras.
Pourquoi hésiter à investir dans l’immobilier aujourd’hui ? Évidemment, la situation  économique et sociale de la France pèse, les impôts et autres taxations sont en hausse constante et le spectre d’une chute importante des prix de l’immobilier revient régulièrement.
Cette image globale assez sombre sert souvent de bonne excuse pour ne pas passer à l’action. Et ce sont des années précieuses qui sont ainsi perdues !
J’ai acheté un 1er appartement fin 2009 et je sais que j’en achèterai un autre, bientôt j’espère. Mon changement de résidence principale, l’achat de ma nouvelle maison ont un peu ralenti ce projet sur ces 2 dernières années, c’est vrai.
Mais ce laps de temps m’a permis d’apprendre comment gérer un bien locatif de manière très rentable : la location meublée, déclarée en BiC réel. J’ai à présent mon numéro SIRET, et mon ou mes prochains investissements immobiliers suivront évidemment la même approche.
Évidemment qu’il vaudrait mieux patienter un peu si on était certain que l’immobilier baisse partout de 20% ou 30% dans les 2 ans, mais personne n’en sait rien !
Il faut par contre regarder les faits, le concret, ce dont on est sûr ! 

mercredi 12 juin 2013

Investir dans l'immobilier neuf plutôt que dans l'ancien ?

Je voulais au travers de cet article parler de l’investissement dans l’immobilier neuf. Je n’ai aucune expérience dans le domaine à titre personnel, et j’irais même plus loin, je ne m’y suis jamais intéressé…peut-être parce que le neuf coûte à l’achat généralement 20% à 30% de plus que l’ancien !


Et pourtant, certaines études montrent qu’au bout du compte (à l’issue du prêt), c’est l’inverse ! Entre autres grâce aux solutions de défiscalisation…

Investissement peut-être plus rentable, moins d’impôts…alors ai-je eu tort de dénigrer le neuf ?

Je vous laisse lire ci-dessous l’avis de Laurent, une personne qui défend fermement l’immobilier neuf, vos avis et expériences en la matière sont évidemment les bienvenus !


  – 20% au départ pour l’ancien, mais…. +14% à l’arrivée

Olivier merci dans un premier temps pour votre invitation. Et de me permettre de développer une vision qui va à l’inverse de ce que l’on peut avoir naturellement en tête « je paie plus cher l’immobilier neuf, et pourtant, il me coûte moins cher à l’arrivée » !!!

Car c’est tout à fait exact : l’immobilier ancien, à données de surface habitable, d’emplacement et de niveau de standing comparables, est moins cher que le neuf de l’ordre de 20%.

Mais dans le cadre d’un investissement immobilier, il parait important d’analyser cet écart dans la durée : c’est un support qui doit produire des fruits et que l’on doit veiller à maintenir avec une certaine attractivité, sous peine de voir ces fruits s’étioler voire... disparaître.

Pour notre exemple, nous partirons d’un appartement neuf acheté 200.000 € et un bien comparable, en ancien, acheté 160.000 € ; l’un comme l’autre avec un financement sur 20 ans.

Et observons l’évolution, en 7 étapes, que va connaitre cet écart.

jeudi 23 mai 2013

Immobilier locatif : quel type de bien acheter pour louer ?

Je vais continuer à investir dans l’immobilier dans les années à venir, c’est une certitude.

Peut-être que je dupliquerai mon 1er achat, un studio (raison pour laquelle je suis régulièrement l’évolution de ce marché dans ma région), mais finalement le choix du type d’investissement immobilier est bien plus vaste. Un projet réussi est un projet bien préparé, il est donc préférable avant de se lancer à nouveau de regarder les différentes possibilités, en voici quelques-unes…

Et parmi elles, 3 m’intéressent plus particulièrement (en solution alternative au studio !)


Le studio

Un sujet que je connais donc assez bien avec l’investissement que j’ai fait il y a bientôt 4 ans.

Pour ce type de petit appartement, en particulier pour ceux situés en centre-ville ou dans les quartiers étudiants, la demande locative est généralement très forte.

La rentabilité est souvent assez élevée, en raison d’un prix d’achat limité, mais aussi surtout quand on en tire un très bon loyer en louant ces logements en meublé. Je pense que c’est le type d’appartement qui s’adapte le mieux au meublé, étant donné la surface limitée mais aussi étant donné les candidats locataires, jeunes actifs ou étudiants, davantage intéressés par ce type de service.

Je loue typiquement 25% plus cher que les mêmes studios de ma copropriété loués vide.

Le soucis principal vient de la durée d’occupation, souvent assez courte. Plus de changement de locataire, un plus grand risque de vacance locative donc et un travail de gestion locative plus important.


Les appartements plus grands, F2 ou F3

mardi 23 avril 2013

Investissement locatif : les prix de l’immobilier et la rentabilité locative autour de chez moi

Il parait que l’immobilier commence à baisser ! Bonne nouvelle en tant qu’investisseur mais est-ce que ça baisse réellement là où je vis et où j’investis ?

Comme expliqué dans cet article, j’ai toujours en projet, peut-être pour cette année, d’acquérir un 2ème bien immobilier locatif.

Ma première expérience, mon studio meublé, est pour le moment très concluante. Aucun soucis de gestion locative, un bon rendement net de 6,64% en 2012 et à priori quasiment aucun impôt à partir de 2014.


Donc forcément, un projet sans risque serait de dupliquer le même investissement : un studio loué meublé dans la même ville, au sud de la région parisienne.


Les prix de l’immobilier dans ma ville

La rentabilité d’un investissement locatif et donc son niveau d’autofinancement dépend essentiellement de 2 choses :

  • Le prix d’acquisition global : achat + notaire + travaux + meublé + frais divers (dossier, garantie..)
  • le loyer perçu

Ensuite bien sûr, pas mal de points peuvent impacter le rendement : la vacance locative, les frais de copropriété, etc…

Mais dans un premier temps, les 2 premiers points suffisent. J’ai donc regardé ce qui se vendait aujourd’hui (seloger et le bon coin), j’ai sélectionné les biens intéressant par leur emplacement, et j’ai estimé leur rentabilité brute.

Voici donc les 7 appartements sélectionnés, 5 studio et 2 F2, et leur prix de vente actuel.

lundi 8 octobre 2012

Acheter un bien lors d’une vente aux enchères immobilière

Aujourd'hui, je vous propose un article invité de Laurent du blog 500k, l'un de mes blogs favoris sur l'immobilier !

Merci à Olivier de m’accueillir à nouveau sur Plus-riche-et-indépendant. Cette fois, je ne viens pas vous présenter un projet, mais je vais partager avec vous une de mes pratiques favorites pour faire de bons investissements, il s’agit de la vente aux enchères immobilière.

La vente aux enchères immobilière, c’est un monde particulier avec ses propres codes. Avant de se positionner sur une telle vente il est nécessaire de se placer en observateur. Je vous conseille de vous préparer et de bien vous informer.

Il y a trois types de vente aux enchères, commençons par la plus simple et celle qui s’apparente le plus à une vente classique, la vente aux enchères notariée.



La vente aux enchères notariée

lundi 1 octobre 2012

Comment bien estimer la rentabilité locative, impôts compris !

Comme évoqué dans cet article, le souhait de débuter un nouveau projet d'investissement immobilier devient de plus en plus concret.

Et les dernières annonces peu réjouissantes de ma société parlant de coupes nécessaires pour faire repartir les bénéfices à la hausse et ainsi rassurer les investisseurs, vont surement faire accélérer un peu mes recherches : avec un CDI, c’est toujours plus simple pour obtenir un prêt !

Du coup je commence à considérer et comparer différents types possibles d’investissement immobilier, j’y reviendrais dans un prochain article.

Et pour comparer, ça passe nécessairement par des chiffres ! J’utilise beaucoup Excel, avec mes propres feuilles de calcul, mais j’ai découvert une application en ligne, Rendement Locatif, totalement gratuite, que je souhaitais partager avec vous !

Il y a particulièrement 2 points que je trouve très intéressant :

  • la prise en compte de la fiscalité dans l’estimation du rendement, et ce pour différents types d’imposition : micro-foncier, micro-BIC, réel.
  • et surtout l’évolution du rendement sur la durée du prêt choisi ! C’est un détail que l’on oublie souvent, selon le type d’imposition choisi (mais aussi selon l’évolution du montant du loyer ou des charges), le rendement évoluera à la hausse ou à la baisse.

Outre, simuler la rentabilité (et l’autofinancement) de tel ou tel bien immobilier, ca en fait un outil très utile pour d’abord faire le bon choix initial en termes de type d’imposition, puis pour optimiser le rendement au bout de quelques années en changeant éventuellement.



Exemple concret avec les chiffres de mon studio locatif

mercredi 30 mai 2012

Comment calculer le rendement locatif d'un investissement immobilier et évaluer l’autofinancement ?

Cette question revient très souvent dans les emails que je reçois, je vous propose donc ici une méthode générique qui correspond au principe que j’utilise, une méthode bien sûr que chacun devra adapter à sa propre situation, plus particulièrement en ce qui concerne la fiscalité.

Je me mets dans la position de la personne qui est en phase de recherche de bien sur lequel investir, et qui cherche donc à estimer le rendement de son futur investissement, pour chacun des biens visités.

Pour illustrer la méthode, je vous propose aussi en fin d’article l’exemple concret d’une lectrice actuellement en passe d’acquérir son premier investissement locatif.

Vous pourrez aussi télécharger la feuille de calcul Excel associée pour effectuer vos propres simulations.


La méthode pour estimer le rendement locatif d’un bien immobilier


Le rendement brut

C’est le plus direct à calculer, c’est aussi la première étape. C’est en général celui évoqué par les agents immobiliers lorsqu’ils vous font visiter l’appartement « idéal pour investisseur »… Mais attention, on est loin du compte ! Le rendement réel final sera bien différent malheureusement. (33% de moins est un bon ordre de grandeur…)

samedi 5 mai 2012

Elections présidentielles et immobilier…pourquoi cet attentisme ?

Lundi prochain, on aura un nouveau président pour 5 ans (ou le même 5 ans de plus d’ailleurs) et apparemment de nombreux français qui avaient tout arrêté jusque-là, pourront reprendre leurs projets !

Peu importe le choix, Hollande ou Sarkozy, il semblerait que cette échéance présidentielle a figé pas mal de décisions ces derniers mois, notamment en matière d’immobilier.

J’ai personnellement suivi la campagne électorale d’assez loin, étant personnellement convaincu que quelquesoit le président, son impact restera très limité. Sa marge de manœuvre est très réduite et son pouvoir à faire changer les choses faible, dans un environnement économique, financier et social mondialisé.

En tout cas, je n’attends absolument rien à titre personnel. Je ne compte surtout pas sur une nouvelle mesure ou loi, une nouvelle défiscalisation, etc….

Arrêtons d’attendre des aides et supports extérieurs, d’être assisté, il ne faut compter que sur soi. Mais ca signifie tout de même rester en phase avec la réalité, et devoir s’adapter aux évolutions inévitables à venir, négatives ou positives d’ailleurs !


Alors du coup, je ne comprends vraiment pas pourquoi il semblerait que les français attendent ce choix présidentiel pour concrétiser leurs projets immobiliers.
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