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mercredi 1 février 2012

2012, mon premier investissement immobilier

Cet article a été écrit par Laurent du Blog RicheAvenir qui avait été à l'orgine de ce petit guide gratuit sur l'investissement auquel j'ai collaboré.

Laurent m'a fait part de souhait pour 2012 de réaliser son premier investissement locatif, et j'étais curieux de savoir comment il abordait ce projet. C'est ce qu'il nous explique donc ici.

PS : Et merci à toi Laurent de combler mon absence cette semaine ;-) ! Je suis actuellement très loin, en Australie, retour dans 10 jours, j'aurai surement un peu de retard dans mes mails, je m'excuse par avance auprès de ceux qui m'écriront...
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Parmi les objectifs que je me suis fixé pour cette nouvelle année, il y a un challenge que je souhaite réaliser depuis quelques temps,  celui de me lancer dans l’immobilier locatif. 

Il y a deux grandes raisons à ce choix. Premièrement, l’investissement locatif est un des rares placements qui permet de se constituer un patrimoine financé à crédit et payé tout ou en partie par le locataire. Deuxièmement, ce dernier peut être optimisé grâce à des avantages fiscaux qui réduisent l’impôt sur le revenu. 

Malgré tout, le succès d’une telle entreprise n’est pas aléatoire, et chaque aspect de cet investissement doit être étudié et pondéré. Voici comment j’envisage mon premier achat immobilier…


LA PREPARATION DU PROJET

Avant de foncer tête baissée dans les recherches de biens, il est important de bien préparer son projet. Pour cela, j’ai établi une liste succincte de questions qui me servent de fil rouge pour mener à bien cet investissement.

mardi 10 janvier 2012

Gagner plus de 100 000€ dans une opération immobilière : achat aux enchères, division du bien et achat-revente

Cette expérience est celle d’une amie qui n’a pas encore fait fortune dans l’immobilier mais qui a très largement gagné en indépendance financière à l’occasion d’une première opération immobilière, osée, très osée même, mais gagnante.

Les parents de cette amie, bien qu’ayant des revenus modestes et étant partis de rien, possèdent actuellement 7 appartements, presque tous payés, qu’ils louent depuis des années. Mon amie a donc toujours été baignée dans l’investissement immobilier et n’a jamais été conditionnée avec toutes ces idées reçues négatives sur l’immobilier.

C’est surement une raison pour laquelle elle a osée se lancer à seulement 26 ans dans un projet immobilier qui me semblait un peu démesuré à l’époque. C’était en 2005. Depuis je réalise à quel point elle avait raison.

Le contexte

A la recherche d’un appartement à acheter en région parisienne, à Saint-Maur dans le 94, elle a dans un premier temps été aiguillée par un ami de la famille, un chasseur de biens immobiliers, ça aide...

Celui-ci lui a parlé d’une vente aux enchères dans laquelle allait se vendre une petite maison de ville.

Intéressée elle a tout d’abord été la visiter, la surface était d’environ 70m² habitables sur 2 étages, elle était dans un triste état, tout était à refaire (je l’ai vu moi-même par la suite), mais avec un vrai potentiel pour les courageux…
Séduite par cette maison qui était probablement hors budget, son instinct d’investisseur immobilier s’est alors révélé : son idée était d’acheter le bien dans le but de le diviser en 2, un logement d’habitation pour elle et un logement destiné à être loué ou revendu.

Son salaire net était de 1500€ par mois, avec un apport maximum de 10 000€.

samedi 24 décembre 2011

Investir aujourd’hui,oui! Mais dans quoi?

Comme évoqué il y a quelques jours, voici le petit cadeau de Noël que nous voulions vous offrir avec les bloggeurs listés ci-dessous. 

Il s’agit d’un guide d'une trentaine de pages (gratuit bien sûr !) regroupant un certain nombre d’idées pour investir de manière simple, efficace et originale. Ces conseils sont principalement le fruit de notre vécu.
 
Je voulais remercier Laurent de RicheAvenir pour son initiative et son leadership dans le projet qui nous a permis de le boucler à temps !

Le sommaire est le suivant :
  • Laurent de RicheAvenir : Investir dans le luxe, un remède anti-crise ?
Un petit extrait, téléchargez le guide pour lire la suite !

Investir dans les montres de luxe :  Tout comme les bijoux et les oeuvres d’arts, la valeur d’une montre de collection augmente avec le temps. Si vous aviez acquis il y a vingt ans une Patek Philippe  ref 530 en acier, vous auriez pu la vendre à 890.000 euros aux enchères chez Christie’s comme en 2008, ce qui représente un rendement moyen annualisé de plus de 20% (source Elite Advisers). Un investissement réservé aux experts car très aléatoire. Mais tout comme pour l’automobile, il existe des fonds d’investissements pour ceux qui souhaitent limiter les risques de leurs investissements
  • Jérôme de Capital Story : Comment ma première erreur d’investisseur m’a permis la réussite financière ? 
  • Sylvain de Zéro Dette : Investir dans l’or : pourquoi et comment ?       
  • Thibaud de Mes Finances Mode d’Emploi : Investir dans ses passions : c’est possible ! (et ça peut rapporter gros) 
  • Martin de Candix : Les 10 commandements pour gagner de l’argent sur Internet 
  • Arnaud de Avenir Plus Riche : Un investissement original, VOUS !!!
  • Alex de Retaill & Co : A 21 ans, mon premier achat immobilier et de ma première revente 
  • et moi-même : Investir dans ses « bonnes » dettes

vendredi 16 décembre 2011

Le projet iMobilis, immobilier et création d'entreprise

Je voulais vous faire découvrir ici un projet qui m’a séduit dès que je suis tombé sur le site de Laurent, iMobilis…pour 2 aspects :

1 _ Le thème du projet en lui-même, la création d’une application pour smartphone susceptible de devenir une aide précieuse dans la recherche d’un bien immobilier, et toute idée novatrice dans ce domaine m’intéresse, on sait à quel point trouver la perle rare est clef pour réussir son investissement locatif.

2 _  Le développement de ce projet en lui-même, les approches suivies par Laurent pour développer son entreprise naissante, notamment en termes de financement de projet.

Il s’agit donc non seulement d’un outil que j’aimerais avoir un jour sur mon smartphone, mais surtout je trouve ce projet vraiment inspirant en termes de création de business, j’ai d’ailleurs une petite idée en tête dont je parlerai probablement bientôt…

Outre ma très modeste contribution financière à son projet, selon la méthode décrite plus loin, je voulais remercier Laurent de nous faire suivre étape par étape son aventure d’entrepreneuriat (à suivre sur son blog !)

Il va donc vous présenter ici le projet iMobilis dans lequel il s’est lancé il y a maintenant deux mois.


L’idée d’iMobilis

Investisseur en immobilier, je tiens le blog 500K, où je me suis fixé un objectif : gagner 500K€ en 4 ans en investissant dans l’immobilier.

C’est à l’occasion de la rédaction d’un nouvel article pour mon blog que m’est venue l’idée d’iMobilis : une application pour smartphone offrant de nouveaux usages dans la recherche de biens immobiliers. Imaginez : vous êtes dans la rue, devant vous sur la façade d’un immeuble, une pancarte à vendre. Vous souhaiteriez obtenir plus d’information ? Désormais, vous le pouvez grâce à iMobilis puisqu’il vous suffit de « flasher » la façade pour obtenir toutes les informations souhaitées.

lundi 12 décembre 2011

Réussir la visite d’un bien immobilier, la check-list

Réussir un investissement locatif, c’est avant tout, faire le bon choix du bien immobilier à acheter.

C’est l’étape du projet qui déterminera en grande partie le succès de son investissement.

Il sera toujours difficile par la suite de rattraper un handicap majeur à l’achat (un logement qui se loue mal, des charges trop lourdes, peu de possibilité de d’amélioration, etc…). ça impactera forcément le rendement.

Choisir l’appartement dans lequel on va investir est donc une étape critique, celle pendant laquelle on doute, on se pose un tas de questions, et pourtant bien souvent, il faut pouvoir se décider très vite, si le logement visité est bel et bien la perle rare que l’on cherche.

Et pour bien choisir, il faut donc réussir ses visites !

Il faut savoir quoi regarder, savoir quelles questions il faut poser et qu’il faut aussi se poser à soit même !

C’est pourquoi je vous propose ici une check-list des points à étudier à l’occasion de chaque visite.

Tout ce ceci est tiré essentiellement de mon expérience, je ne prétends pas que cette liste soit exhaustive ! Et je compte d’ailleurs sur vous pour la compléter !

J’ai trié les questions en différents thèmes :

  • Le logement visité
  • La vente
  • Spécificités du logement
  • L’aspect financier
  • Les parties annexes et communes
  • Le syndic
  • Les évolutions possibles
  • L’environnement
  • Sentiment général

lundi 7 novembre 2011

L’erreur que j’ai faite il y a 10 ans...parce que je n'ai pas osé me lancer !

Quelquesoit le support d’investissement, bourse, assurance vie, immobilier … le temps est notre meilleur allié. Il faut commencer le plus jeune possible, le plus tôt possible. Aujourd’hui, c’est une évidence pour moi, mais ça n’a pas toujours été le cas malheureusement…

Il y a 10 ans, alors que j’avais 25 ans et que je commençais à travailler, je n’avais pas cette façon de penser, j’aimais épargner (j’aimais mon Livret A ;-), sécuriser mes arrières, mais je ne pensais pas à investir, à prendre des risques, pire, l’immobilier était surtout pour moi synonyme de crédit, d’endettement et ça me rebutait.

C’est comme ça que j’ai laissé passer une opportunité qui m’aurait permis aujourd’hui d’être déjà beaucoup plus proche de l’indépendance financière.


L’affaire que j’ai laissé passer

Début 2002, alors que j’avais commencé ma vie professionnelle depuis une année et demi, je me suis dit qu’il était peut-être temps que je cherche à acquérir mon chez moi, devenir propriétaire, plutôt que de louer un studio pas forcément bon marché. 

lundi 29 août 2011

Pourquoi pas une opération immobilière d’achat / revente pour obtenir des liquidités ?

Etant très satisfait de la rentabilité de mon premier investissement immobilier (j’en parlerai bientôt), réalisé il y a maintenant près de 2 ans, je compte bien continuer à investir dans la pierre. (Même si cette année, j’ai surtout investi ma capacité d’épargne et mes revenus supplémentaires en bourse, en actions à haut rendement sur mon PEA).

Mon premier objectif a été de faire un investissement locatif, le plus autofinancé possible, qui devienne une source de revenus passifs, une fois le prêt immobilier remboursé.

Développer des sources de revenus passifs ou alternatifs est essentiel dans une optique d’indépendance financière.

Je me pose toutefois la question depuis quelque temps du bénéfice que je pourrais tirer d’une opération immobilière d’achat revente…

Donc cette fois-ci, pas dans le but de se faire payer un appartement pas ses locataires sur 15 ou 20 ans, puis d’en percevoir une rente, mais plutôt dans le but d’obtenir en quelques mois un capital, du cash.


Obtenir donc des liquidités, mais dans quel but ?

Pas pour se payer une voiture neuve, mais pour investir ce capital bien sûr ! Pour avoir ponctuellement une capacité d’investissement supérieure.

jeudi 2 juin 2011

Y a-t-il un intérêt à épargner sur un CEL en vue d’un projet immobilier ?

Lorsque j’ai acheté à crédit mon investissement locatif, j’ai fait appel à un Prêt Epargne Logement, pour financer en partie l’acquisition et les travaux.

Ce prêt a été rendu possible grâce à un Compte Epargne Logement (CEL) qui me permettait d’emprunter presque 10 000€ sur la durée maximale de 15 ans à un taux d’intérêt préférentiel.

Je n’avais jamais alimenté mon CEL, il était ouvert depuis presque 5 ans, avec un montant minimum de 300€, mais j’ai tiré profit d’une des astuces du CEL : récupérer pour son propre compte les droits au prêt acquis par une personne de sa famille, en l’occurrence mon père.
Je n’ai finalement utilisé que 8000€ de droit au prêt sur 15 ans, sur les 10 000€ auxquels j’avais droit. (pour un crédit total de 85000€). Les droits au prêt étaient morcelés sur une dizaine de tranches, chacune associée à un taux différent, et il y avait une tranche de 2000€ à 4,25%, un taux supérieur au taux du prêt principal, donc aucun intérêt.

Quel a été le bénéfice de l’utilisation du CEL pour cette opération de crédit immobilier ?
Une mensualité environ 15€ plus basse sur les 15 premières années du prêt. Un petit coup de pouce à l’autofinancement…mais pas de quoi sauter au plafond non plus !

Du coup, aujourd’hui, je me pose la question suivante :

Est-ce que placer de l’argent sur mon CEL me faciliterait le financement, même partiel, d’un autre projet immobilier du même type, dans quelques années ?

lundi 30 mai 2011

Bon à savoir avant d’acheter de l’immobilier

Pour cet article, je suis très heureux de laisser la place à Yann du blog Agrégation financière, fraichement créé mais déjà plein de conseils et d’analyses pointues sur l’immobilier notamment, de l’optimisation, des études de cas chiffrées, bref tout ce que j’aime !

J’ai connu Yann au travers de ses commentaires toujours pertinents, ce que j’appelle les gains « indirects » du blog.

N’hésitez à aller approfondir les différents sujets abordés sur son blog !


J’ai acheté ma résidence principale en 2005, à l’époque je n’étais absolument pas intéressé par l’investissement immobilier, j’écoutais juste mon père qui me vantait le statut de propriétaire, afin de « ne pas jeter un loyer par la fenêtre tous les mois ». 6 ans plus tard, c’est des questions sur lesquelles j’ai eu le temps de me pencher et de réfléchir. Je ne regrette pas mon achat (en grande partie parce que l’immobilier a bien monté entre temps), mais je me rends compte d’avoir été chanceux et combien mes motivations étaient peu judicieuses.

Financièrement parlant, l’investissement dans la résidence principale (RP) de votre choix est généralement catastrophique en termes de taux de rentabilité interne (TRI). J’entends par là, que vous achetez un bien majoritairement sur un coup de cœur, sans considération pour son rendement locatif. Je ne vais pas vous faire une démonstration mathématique, les simulateurs pullulent sur internet sur « vaut-il mieux louer ou acheter ». L’argument qu’on « jette un loyer par la fenêtre tous les mois » est donc à mon sens l’un des plus mauvais pour pousser quelqu’un à franchir le pas de l’accession à la propriété. D’un point de vue financier, il est surtout judicieux de ne pas acheter quand les prix sont très hauts comme beaucoup le constatent maintenant . De plus, l’immobilier étant gavé de frais d’entrée (frais de notaires, cautionnement bancaire ou hypothèque en cas de crédit, frais d’agences…), il faut plusieurs années avant de ne pas revendre à perte. L’achat de sa résidence principale doit donc être précédé d’une stabilité familiale et professionnelle, et motivé par l’envie de se sentir chez soi (il y en a que sa stresse de se demander si il reverra bien toute sa caution à chaque fois qu’il plante un clou).

Une fois décidé et motivé, il est bon de connaitre certaines astuces dans les diverses étapes du processus.

Si vous utilisez une agence immobilière :

jeudi 5 mai 2011

Investissement locatif plus ou moins autofinancé: avec ou sans apport personnel ?

Dans un premier article, j’avais simulé une étude de cas qui montrait que la performance d’un placement immobilier locatif était nettement supérieure dans le cas d’un apport personnel nul : pour le cas étudié il fallait jouer à fond l’effet de levier du crédit en empruntant la totalité de la somme nécessaire à l’acquisition.

Suite à cet article, j’ai reçu un commentaire tout à fait pertinent me disant que mon cas était peut-être un peu trop optimiste, avec comme hypothèses un loyer de 500€ pour un coût de 85000€.

En gros le bien était quasiment autofinancé. Et dans ce cas, autant laisser le locataire payer la totalité de l’investissement.

Soit dit en passant, c’est un cas de figure pas totalement utopique tout de même, puisque c’est plus ou moins mon cas personnel ! Un studio rénové qui a nécessité un emprunt de 85000€ (acquisition + travaux, les frais de notaire ont été payés en plus), et qui est aujourd’hui loué 550€ par mois en meublé, en région parisienne. L’achat ayant été fait en Aout 2009.

 
Maintenant qu’en est-il si on considère effectivement un cas moins favorable, avec par exemple un loyer de seulement 350€ pour le même coût d’achat de 85000€ ?

mardi 19 avril 2011

Investissement immobilier locatif : avec ou sans apport personnel ?

J’ai réalisé ma première opération d’investissement locatif sans apport, en tout cas simplement les frais de notaire et de meublé. Le principal, le coût d’acquisition et les travaux, a été financé 100% à crédit. Je ne me suis pas posé la question du bénéfice que je pourrais tirer d’un éventuel apport personnel, puisque de toute façon je n’avais pas de liquidités disponible à cette époque.

Mieux vaut-il investir dans l’immobilier avec ou sans apport personnel ?

Je me pose à présent à cette question pour préparer éventuellement un 2ème achat dans les mois ou années à venir. Dois-je constituer une réserve d’argent dans ce but ou non ? ce qui orienterait le placement de ma capacité d’épargne actuelle, sur des comptes bloqués un certain temps (mon PEE par exemple) ou des solutions plus flexible type assurance vie.

De plus, je discutais récemment avec un ami dont les parents ont beaucoup investi dans la pierre, avec le raisonnement suivant : "l’optimum est de rembourser les crédits immobiliers sur 5 années, puis de passer à un autre achat…" ça avait dû être pensé...

Je pense que la question est assez complexe et n’a pas de réponse unique. Je présente ici le résultat de ma réflexion, d’un point de vue essentiellement performance globale du placement. Mais il y a surement d’autres aspects à prendre en compte, d’autres façons de juger s’il est plus pertinent d’investir entièrement à crédit ou non.

Etude de cas chiffrée

Considérons un appartement dont la valeur d’achat est de 85 000€, et dont le loyer perçu est de 500€.

Dans toute l’étude comparative qui suit, je ne considère aucune revalorisation du loyer, ni aucune hausse de l’immobilier à terme. C’est du comparatif, ça ne devrait pas influer les tendances. J’ai aussi considéré une location pleine, aucune vacance locative.


J’ai regardé les différents cas suivants :
  1. Aucun apport : 85000€ financés à crédit sur 20 ans 
  2. Apport de 10000€ : 75000€ financés à crédit sur 17 ans 
  3. Apport de 30000€ : 55000€ financés à crédit sur 11 ans 
  4. Apport de 50000€ : 35000€ financés à crédit sur 6 ans 
  5. Apport complet de 85000€ : aucun crédit
L’idée est d’estimer la performance du placement au bout de 20 ans, pour chacun de ces scenarios.

mercredi 6 avril 2011

Acheter à 2 sans être marié, l’achat croisé

Je ne suis pas marié, je vis en concubinage…et la loi n’aime pas ça, comme le déclarait Napoléon Bonaparte : « les concubins se désintéressent de la loi ; la loi se désintéresse d'eux ». Sur le plan civil, nous sommes considérés comme de véritables étrangers.

Donc c’est mal, mais ça me convient très bien. Et ce n’est pas cette situation qui nous a empêché d’acheter à deux notre résidence principale, première action que je considérais comme critique vers un peu plus d’indépendance financière, il y a de ça bientôt 7 ans.

Notre problème principal était de trouver la meilleure solution légale pour protéger le conjoint survivant en cas de décès de l’autre. En clair, lui permettre de conserver la jouissance de la maison sans être inquiété par les héritiers désireux de récupérer leur part en vendant le bien, à l’époque nos parents, aujourd’hui nos enfants.

Il existe plusieurs options, plus ou moins complexes, plus ou moins avantageuses, entre autres, l’indivision (solution mise en œuvre par défaut si rien d’autre n’est précisé) ou la création d’une Société Civile Immobilière (SCI).

dimanche 13 février 2011

Que pensez-vous de ce studio, un bon investissement locatif ou pas ?

Je souhaite vous présenter ici un appartement que Philippe, un lecteur du blog, envisage d'acheter dans le but de réaliser un investissement locatif. 

Philippe a déjà étudié son projet dans le détail, après s'être intéressé aux quelques programmes neufs défiscalisés de sa ville, Nantes, il a focalisé sa recherche sur l'ancien dans le but d'y dénicher un meilleur rendement locatif. 

Voici donc le bien le plus intéressant qu'il a pu identifier pour le moment, et pour lequel il pourrait se décider à signer un compromis de vente.
Nous sommes tous les 2 d'accord sur le fait qu'il ne s'agit probablement pas de l'affaire du siècle,  mais qu'il peut tout de même s'agir d'une affaire rentable dans le contexte immobilier actuel.

Tous vos avis et réactions sont les les bienvenus de manière à aider Philippe dans sa prise de décision.
Peut-être que certains d'entre vous connaissent un peu  mieux le marché immobilier et locatif de Nantes ?

Voici l'essentiel des informations et des chiffres associés à cet appartement:

jeudi 10 février 2011

Rechercher un bien immobilier : grande enseigne nationale ou petite agence locale ?

Fin 2010, plus d’un an après avoir acheté mon studio en guise de placement locatif, j’ai été recontacté par une agence qui avait peut-être trouvé quelquechose qui pourrait me convenir….Il s’agissait d’une grande enseigne qui enfin se rappelait à mes bons souvenirs !

Ca m’a donné l’idée de faire le bilan de ma recherche d’appartement en 2009, quelle avait été la voie la plus efficace,  quel type d'agences immobilières avait répondu au mieux à mes attentes.  Et plus particulièrement, y avait-il une différence entre les grandes enseignes nationales et les petites agences locales.

Sur la tableau suivant, j’ai résumé 2 caractéristiques :

  • Parmi les biens que l’on m’a proposé à la visite, combien correspondaient aux critères que j’avais fourni (budget, emplacement, type de bien, ampleur des travaux…)
  • Et les agences m’ont-elles tenues informées par la suite d’éventuelles nouvelles rentrées d’appartement ?

lundi 29 novembre 2010

Privilégier l’immobilier ou la bourse pour ses investissements en 2011?

Il n’y a certainement pas de réponse unique. Certains ne voient que par la pierre et sont rebutés par les actions, d’autres ne voient dans l’immobilier qu’un prochain crack de grande ampleur.
Mon avis, qui n’engage que moi, est qu’il faut absolument considérer les 2 types de placement pour faire croître au mieux son patrimoine sur la durée.
D’une part parce qu’il y a toujours de très bonnes affaires à réaliser, que ce soit dans l’immobilier ou en bourse, même quand les tendances sont contraires.
Et d’autre part parce que les valeurs de ces 2 placements suivent sur le long terme des cycles de hausse et de baisse, et que sur 20, 30 ou 40 ans de création de patrimoine, il faudra savoir adapter sa stratégie.
Pour cela il est critique de s’intéresser aux grandes tendances sur le long terme. C’est le seul moyen de relativiser un peu tout ce que l’on peut entendre autour de nous, que ce soit par les média, les collègues, les amis…tout ce bruit qui a tendance à polluer un peu notre réflexion.

lundi 22 novembre 2010

L'affichage obligatoire du diagnostic de performance énergétique: quelles conséquences pour mon investissement locatif ?

La loi Grenelle 2 imposera au 1er janvier 2011 l’affichage des performances énergétiques dans toutes les annonces immobilières, que ce soit donc les ventes ou les locations.

Le diagnostic de performance énergétique est réalisé par des professionnels. Il donne une estimation de la consommation d’énergie et du taux d'émission de gaz à effet de serre du logement.

Jusqu’à présent, il n’était obligatoire qu’en cas de vente d’un bien immobilier. Il était à la charge du vendeur, et n’était communiqué à l’acheteur que lors de la signature de l’acte de vente définitif chez le notaire. Obliger à le faire apparaitre dès la mise en vente est probablement une bonne évolution.

Pour l’appartement que j’ai acheté en 2009 en tant que placement locatif, c’est le notaire qui m’a remis le bilan énergétique. Et il était vraiment mauvais ! Classe G, la dernière !

Je me doutais que l’isolation thermique était médiocre en raison notamment des fenêtres simple vitrage, mais il semblerait même que mon studio soit un vrai gouffre énergétique ! J’ai tout de même de gros doutes sur la fiabilité de la méthode de mesure de la performance énergétique, j’y reviendrais plus loin…

Maintenant que la loi va m’imposer de dévoiler au grand jour cette triste réalité, est-ce que c’est grave ?

Honnêtement je ne pense pas, du moins pas à court terme, voilà pourquoi:

dimanche 7 novembre 2010

Achèteriez vous cet appartement pour un investissement immobilier locatif ?

Nous aurions besoin de vos bons conseils ! J’échange régulièrement depuis quelques semaines avec une lectrice de ce blog, qui cherche à investir, essentiellement dans le but de sécuriser ses revenus une fois à la retraite (dans une vingtaine d’année).

Elle est notamment très tentée par l’investissement immobilier, ayant l’impression que ses placements financiers ne lui rapportent rien, et se sentant plus rassurée par la pierre.
Et pourtant je pense que sa situation est plus confortable qu’elle ne le perçoit…

Cette lectrice est actuellement expatriée à l’étranger, travaillant pour son propre compte. Elle possède déjà 1 appartement en location en France.
Elle détient également un capital financier qui lui permet d’envisager l’achat d’un nouvel appartement cash, sans faire appel à un crédit. Mais en pratique, elle envisage pour le moment un crédit in fine. (garanti par le fait qu'elle possède une somme supérieure au prix de l'appartement visé).

dimanche 17 octobre 2010

Pourquoi mon taux d’endettement de 44% ne me fait pas peur !

L'endettement est un mot qui a tendance à faire peur, on pense rapidement problèmes pour boucler ses fins de mois, surendettement...mais tout dépend de quel type d'endettement on parle et la maîtrise qu'on peut en avoir. Il faut bien sûr autant que possible bannir tout endettement de type crédit à la consommation, voir même crédit automobile, mais pour ce qui est de l'immobilier, s'endetter est un excellent moyen de s'enrichir. Mais il faut le faire de manière contrôlée.

Cette année, comme je vais l'expliquer plus loin, je suis passé à 44% d’endettement, de façon pleinement volontaire, et ça ne m’empêche pas du tout de dormir, bien au contraire ! Je sais que je peux gérer ce taux selon mes projets et les situations que je vais rencontrer.


Je suis confiant par rapport à cette situation pour 5 raisons :

1 _ Je rembourse à un bon rythme mes emprunts, j’ai déjà réduit de 4 années la durée initial de mon crédit maison en modulant à la hausse mes mensualités à 3 reprises depuis 2004. Chaque euro remboursé en plus par mois va directement dans la capital de la maison.

2_ j’ai un budget prévisionnel sur 1 voir 2 ans qui me donne de la visibilité

vendredi 1 octobre 2010

Choisissez votre propre assurance de prêt pour réduire le coût d'un crédit immobilier

A l’occasion de tout achat immobilier à crédit (résidence principale ou locatif) il est obligatoire de souscrire un contrat d’assurance emprunteur. Cette assurance couvre le remboursement des mensualités de prêt en cas d'incapacité de travail, de décès ou d'invalidité (ADI).

Je viens de découvrir qu’il était possible jusqu’à présent de ne pas choisir l’assurance proposée automatiquement par la banque, mais de faire appel à son propre assureur personnel, sous réserve que celui-ci propose un niveau de garanties acceptable pour la banque prêteuse…c’est assez peu connu, à priori seulement 25% des emprunteurs ont recours à une assurance indépendante. De plus les banques étaient bien sûr, jusqu’à présent, très peu ouvertes à ce type de démarche et pouvaient menacer de refuser le prêt.

La nouveauté est que suite à l’adoption récente de la Loi Lagarde portant sur la réforme du crédit à la consommation, les banques ne pourront plus imposer leur propre assurance de prêt. De plus, la banque aura l’obligation d’expliquer par écrit son refus d’accorder un crédit si le client décide de s’assurer ailleurs que chez elle. Il va donc y avoir moyen de faire jouer la concurrence. Et surtout cette loi a le mérite de faire parler de ce sujet qui représente un montant non négligeable des coûts associés à un crédit immobilier (par exemple dans le cas que mon crédit pour appartement locatif, presque 5% du coût total du crédit)

J’ai réalisé quelques simulations pour mon cas personnel sur les sites http://www.assurland.com/ et Hyperassur qui proposent de comparer les offres de nombreux assureurs.

Pour mon crédit d’appartement, l’investissement locatif, j’ai actuellement une assurance de prêt d’un montant de 12,08€ par mois, négociée au moment de la demande de crédit auprès de ma banque: résultat des comparateurs d’assurances, une fourchette allant seulement de 5 à 11 € / mois !

Idem, pour mon crédit de résidence principale, le montant de mon ADI est de 51€ par mois, il semblerait que j’aurais pu obtenir une assurance de prêt limitée à 29€ !

lundi 27 septembre 2010

Investissement locatif : Mieux s’autofinancer avec une petite surface ?

Etant donné les prix immobiliers actuels, il est bien difficile de réaliser un investissement immobilier locatif qui puisse s’autofinancer à 100%. Il devrait me manquer environ 100€/mois cette année pour mo studio.
Une solution est peut-être de se rabattre sur des surfaces plus petites, à condition d’arriver à les exploiter au mieux pour faire oublier le nombre de mètres carré officiels.

Je suis passé voir récemment un ami sur Paris qui loge actuellement dans un 18m². Sur le papier c’est peu, mon studio loué mesure 26m², et ça me semblait être la surface « vitale » minimum, en tout cas pour bien louer (facilement et à un bon prix) avec tout l’aménagement et le confort requis.
Et bien, j’ai été impressionné de m’apercevoir de l’ingéniosité mise en œuvre dans cet appartement pour en tirer le maximum. Honnêtement, je ne me suis pas senti à l’étroit du tout et tout le nécessaire, voir plus était présent.
Le point clef est la hauteur sous plafond, plus de 2,7 m. La surface non disponible au sol a été récupérée dans la hauteur, avec des rangements mais surtout la création d’une mezzanine. Ca dégage l’espace nuit de la pièce principale.
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