Sur la longue route de l’indépendance financière, quels auront été les
faits marquants de cette année ?
Commençons par mon activité professionnelle ! un sujet qui peut apparaître
ici comme un intrus mais qui n’est pourtant pas forcément à dissocier de toute
liberté financière.
Une année professionnellement bien chargée (c’est vrai que j’ai vendu pas
mal de mon temps cette année (ceci dit plutôt bien vendu !)…) mais loin
d’avoir été déplaisante. Je dois bien reconnaître que j’ai passé du bon temps
au boulot, que je m’y suis même bien amusé parfois…
Et ça, c’est ce qui compte ! être heureux de se lever le matin pour
aller au travail…parce que l’on sait que l’on va faire des choses intéressantes,
motivantes. Et je sais bien que ce n’est
pas donné à tout le monde ! Mais ça arrive…et quand on a en plus des
collègues qui sont davantage des amis que des collaborateurs, ça n’aurait pas
de sens de dédaigner systématiquement tout travail salarié !
Oui, il est possible de travailler pour quelqu’un et d’être très
heureux ! Je peux l’affirmer, c’est du vécu.
Mais je sais aussi qu’en 15 ans d’activité, je suis passé 3 fois au travers
de plans sociaux, et que je ne suis qu’un numéro parmi d’autres (1 sur 35000
employés ;-).
Je suis tout à fait lucide sur le fait que personne et en particulier
moi-même n’est irremplaçable !
Et une année passée ne préfigure pas des suivantes : il y a des hauts
et des bas, cette année était un haut, l’année prochaine sera peut-être un
bas : soit parce que mon employeur en aura assez de me payer, soit parce
que le projet sur lequel je travaillerai ne présentera aucun intérêt à mes
yeux, soit pour tout autre raison qui fera que je n’aurai plus aucune
motivation à me lever le matin…
Et là, je veux pouvoir le vivre de la meilleure façon possible :
savoir que ma sécurité financière est en partie assurée quoiqu’il arrive et que
je peux donc prendre des décisions sur la suite à donner à ma carrière…
Bon, pour le moment, il semblerait que j’ai encore quelques années
positives devant moi, avec une visibilité de 2 ou 3 ans je dirais, un poste qui
se libère m’intéresse et on me le propose.
Ce qui signifie au moins encore quelques années à « exploiter mon
employeur » et à mettre à profit l’argent que je lui extirpe tous les mois
pour l’investir au maximum et ainsi préparer l’après, en toute indépendance ! Évidemment
tout en développant en parallèle des revenus annexes…
Poursuivons, par ce qui est
probablement le moins excitant mais pourtant indispensable, l’entretien et le maintien des acquis.
Mes investissements immobiliers et financiers