Affichage des articles dont le libellé est vie professionnelle. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est vie professionnelle. Afficher tous les articles

lundi 14 décembre 2015

Devenir plus riche et plus indépendant…bilan de l’année écoulée



Sur la longue route de l’indépendance financière, quels auront été les faits marquants de cette année ?

Commençons par mon activité professionnelle ! un sujet qui peut apparaître ici comme un intrus mais qui n’est pourtant pas forcément à dissocier de toute liberté financière.

Une année professionnellement bien chargée (c’est vrai que j’ai vendu pas mal de mon temps cette année (ceci dit plutôt bien vendu !)…) mais loin d’avoir été déplaisante. Je dois bien reconnaître que j’ai passé du bon temps au boulot, que je m’y suis même bien amusé parfois…

Et ça, c’est ce qui compte ! être heureux de se lever le matin pour aller au travail…parce que l’on sait que l’on va faire des choses intéressantes, motivantes.  Et je sais bien que ce n’est pas donné à tout le monde ! Mais ça arrive…et quand on a en plus des collègues qui sont davantage des amis que des collaborateurs, ça n’aurait pas de sens de dédaigner systématiquement tout travail salarié ! 
Oui, il est possible de travailler pour quelqu’un et d’être très heureux ! Je peux l’affirmer, c’est du vécu.
Mais je sais aussi qu’en 15 ans d’activité, je suis passé 3 fois au travers de plans sociaux, et que je ne suis qu’un numéro parmi d’autres (1 sur 35000 employés ;-).
Je suis tout à fait lucide sur le fait que personne et en particulier moi-même n’est irremplaçable ! 
Et une année passée ne préfigure pas des suivantes : il y a des hauts et des bas, cette année était un haut, l’année prochaine sera peut-être un bas : soit parce que mon employeur en aura assez de me payer, soit parce que le projet sur lequel je travaillerai ne présentera aucun intérêt à mes yeux, soit pour tout autre raison qui fera que je n’aurai plus aucune motivation à me lever le matin…

Et là, je veux pouvoir le vivre de la meilleure façon possible : savoir que ma sécurité financière est en partie assurée quoiqu’il arrive et que je peux donc prendre des décisions sur la suite à donner à ma carrière…

Bon, pour le moment, il semblerait que j’ai encore quelques années positives devant moi, avec une visibilité de 2 ou 3 ans je dirais, un poste qui se libère m’intéresse et on me le propose.

Ce qui signifie au moins encore quelques années à « exploiter mon employeur » et à mettre à profit l’argent que je lui extirpe tous les mois pour l’investir au maximum et ainsi préparer l’après, en toute indépendance ! Évidemment tout en développant en parallèle des revenus annexes…

Poursuivons,  par ce qui est probablement le moins excitant mais pourtant indispensable,  l’entretien et le maintien des acquis.

Mes investissements immobiliers et financiers

dimanche 2 février 2014

Voyage en Chine : Shanghai et ses environs

J’ai eu la chance fin janvier, à quel jours du nouvel an chinois, de pouvoir aller passer une petite semaine en Chine. Mon premier voyage en Asie.

Ce n’était pas pour faire du tourisme, c’était pour le travail. Comme quoi travailler  pour une société offre parfois aussi de bonnes opportunités ! Je n’y serai probablement pas allé par moi-même, la Chine n’était pas en première ligne dans les pays que je souhaiterais visiter. 
Et pourtant, j’ai adoré ces quelques jours, immergé dans un pays très différent de ce que j’imaginais…

Mes relations de travail en Chine

J’y suis allé seul, sans autre français et ça c’est vraiment idéal pour rencontrer les Chinois et éviter de rester « entre nous ».

Pour le contexte, je n’y suis pas allé pour superviser la production d’un produit « made in China ».
Pour le coup, c’est totalement l’inverse ! Les clients sont les Chinois et le produit est « designed and made in France »…et ma société est américaine…c’est la mondialisation.

Nous avons une équipe sur place, des chinois, tous moins de 30 ans. Ma mission était d’aller les former au nouveau produit et en installer un premier chez un client.

J’avais déjà interagit par email ou phone call avec la plupart de mes collègues chinois, mais pour la plupart, je ne les avais jamais rencontré.

Et voir une personne en face à face, mettre une tête sur un nom, savoir exactement qui fait quoi, c’est critique pour le succès du business.

Déjà depuis, je sens un nette amélioration de la communication…

L’équipe chinoise est jeune, certains ont étudiés aux US, ils parlent tous plus ou moins anglais. Ils n’ont plus cette culture chinoise, de personnes un peu soumises, qui n’osent pas reconnaître leurs erreurs, ou leur manque de compréhension. Au contraire, ils sont très ouverts, ils posent beaucoup de questions et sont très volontaires…

Ils apprennent très vite…mais il faut bien le reconnaître, ils travaillent aussi beaucoup ! Avec 7 heures de décalage horaire, ils répondent encore à mes mails envoyés à 15h00 ou même 16h00 heure française, soit 22h00 ou 23h00 heure chinoise…et c’est autant valable pour le manager que pour l’assistante!

Quand je leur en parle, ils me répondent : « c’est normal de beaucoup travailler, nous sommes jeunes, nous avons beaucoup à apprendre, nous devons progresser… »

dimanche 8 décembre 2013

Les limites des dividendes croissants

Aujourd'hui, un article un peu à contre courant...

Je vous ais régulièrement parlé de l’intérêt d’investir dans des actions offrant un dividende croissant, plutôt que de viser tout de suite un très haut rendement.

C’est de plus en plus la stratégie que je développe avec mon PEA. Et c'est dans ce cadre que s’inscrivent les derniers titres qui sont venus diversifier mon portefeuille d’actions : Edenred, Axa, Eutelsat Communication, Rubis

Des rendements initiaux de 3,5% à 5%, inférieurs à ma cible finale de 6%, mais qui doivent croitre année après année.
Si on considère donc un prix d’achat des actions fixé et un dividende croissant, on se retrouve par conséquent automatiquement avec un rendement des actions détenues qui va monter.

En tant qu’investisseur, c’est bien sûr la situation idéale, mais qu’y a-t-il derrière ? Comment ça se traduit concrètement pour l’entreprise ? 

Je pense qu'il est aussi très important que bien comprendre ce que ça implique pour les entreprises...


Que signifie une hausse de dividende pour une entreprise ?

Je fais faire l’impasse ici sur le cas où une société augmente son dividende en augmentant son ratio de distribution, en clair, en augmentant son pourcentage de bénéfices redistribué aux actionnaires. Ca ne marche qu’un temps et ce n’est en général pas bon signe.

Pour un ratio de distribution donné, si une entreprise veut pouvoir augmenter son dividende, il faut qu’elle fasse plus de bénéfices. Qu’elle soit plus rentable, plus profitable, année après année… Un vrai challenge, une véritable pression sur les sociétés...


Comment accroitre ses bénéfices ?

jeudi 3 octobre 2013

Travailler le dimanche…

Le type de polémique que je n’arrive pas à comprendre !

Comment peut-on encore se demander si on doit autoriser ou non certains magasins à ouvrir la dimanche ? Ou ouvrir tard le soir ?

Evidemment que oui !

Tout le monde y trouve son compte, ca créé de l’activité, de l’emploi et c’est bien ça dont le pays a besoin je crois ! c’est quoi la priorité aujourd’hui ?

Aux Etats-Unis, si vous voulez allez-vous acheter des cookies au Wal-Mart en pleine nuit, c’est possible…(je l'ai déjà fait, il était presque 1h du matin, en arrivant de France...) et je ne suis pas certain que les salaires y soient en plus majorés…

Mais bon justement, restons en France, que les salariés qui font cet effort pour offrir un service supplémentaire aux clients soient récompensés, c’est très bien ! 

Des tas de salariés sont volontaires et preneurs. Laissons leur cette liberté de mieux gagner leur vie !

Personnellement, je suis salarié, je ne compte pas trop mes heures, mes journées sont bien pleines et mes soirées parfois…
Mais en plus j’ai voulu développer d’autre sources de revenus. Forcément ça prend un certain temps… Personne m’y oblige, mais je suis volontaire pour le faire, je veux être moins dépendants des autres.

Beaucoup d’autres sont dans la même situation que moi, et où trouve t’on ce temps supplémentaire à consacrer à nos autres activités ?  le soir tard, et le dimanche…

(bon c'est un peu moins vrai ces derniers mois pour mes activités Internet notamment...depuis que j'ai ma nouvelle maison, les dimanches maintenant c'est bricolage ! c'est peut-être pour ça que je préférerai que le Casto du coin reste ouvert ;-)

Beaucoup de monde travaille dans des horaires hors norme ! les artisans, les petits entrepreneurs, le personnel de santé…

Et heureusement !

jeudi 20 septembre 2012

Comment obtenir une somme d’argent importante à investir ?

Avoir un capital important qui travaille pour soi est l’espoir de beaucoup d’entre nous.

Obtenir un revenu passif issue de sommes d’argent bien investi !

On évoque souvent comment réaliser de bons investissements, aux rendements élevés !

Mais le problème N°1 est avant tout toujours le même : comment obtenir un minimum de capital de départ, en un laps de temps assez court…

Comment obtenir ces premiers milliers (ou davantage…) d’euros qui constitueront une première étape, un premier capital qui commencera à fructifier et qui initiera la boule de neige…

Même pour de l’immobilier locatif, avec l’effet de levier du crédit en achetant sans apport, il est en général nécessaire d’avoir au minimum les frais de notaire, quelques milliers d’euros qu’il faut avoir de disponible.

Plus globalement, même si une bonne stratégie immobilière, couplé à une exécution parfaite, peut permettre de devenir indépendant financièrement sans grand apport financier, trouver des solutions pour générer et cumuler beaucoup d’argent, transformé en rentes, reste une solution qui fonctionne à coup sûr.

Il est pour moi évident aujourd’hui que pour continuer à développer mes revenus dit « passifs », il me faut avant tout obtenir du capital pour investir plus !

J’ai bien sûr récupéré les 160 000€ de la revente de ma maison, mais pour le moment à l’exception d’un premier virement de 5000€ sur mon PEA, je n’ai pas encore décidé la suite. Il y a toujours de fortes chances qu’une part importante serve d’apport pour un autre achat de maison dans quelques temps…Avec quelques mois de recul sur ma nouvelle vie de locataire, j’y verrai plus clair !

Mais ça reste évidemment un très bon problème, qui soulève chez moi une question essentielle, comment obtenir rapidement (quelques mois ou années…) davantage !



L’occasion de lister ici quelques pistes :

mardi 28 août 2012

Ma définition de l’indépendance financière

La liberté financière est une expression dans laquelle chaque personne peut y voir une définition différente.

Généralement, ça signifie que les intérêts de ses biens (immobiliers, financiers, etc…) permettent de subvenir à ses besoins. Pour beaucoup, ça se traduit automatiquement par "être rentier" !

Je pense que c’est un peu plus large et un peu plus complexe que cela…j’avais envie ici de donner ma vision des choses…

Et le plus simple pour commencer, c’est souvent d’exprimer ce que ça N’est pas !

L’indépendance financière n’est donc pas PAS (en tout cas, PAS nécessairement) pour moi :
  • Arrêter de travailler en tant que salarié
  • N’avoir que des revenus dit « passifs » (loyers, dividendes…), ne nécessitant que peu de suivi. Autrement dit, être rentier.

mercredi 15 février 2012

L'importance d'avoir plusieurs sources de revenus

Combien avez-vous de sources de revenus ?
Pour ma part, j’en ai identifié 9, en tout cas 9  catégories principales, elles mêmes pour la plupart diversifiées. 

Développer plusieurs sources de revenus est bien sûr une solution incontournable sur le chemin de l’indépendance financière.

Mais on en tire des bénéfices bien avant d'avoir atteint le but ultime !

Même si finalement on conserve son emploi salarié, avoir des revenus alternatifs offre une sécurité financière (bien meilleure qu’un CDI !) et réduit ainsi notre exposition au stress. Les conséquences d’une perte de travail sont moindres, différentes en tout cas.  

Comme n’importe quelle entreprise, il faut éviter de dépendre d’une seule et unique source de revenus. Surtout si celle-ci provient d’un emploi salarié, qui n’est garanti à vie pour personne, quelquesoit son statut !
Sauf peut-être à avoir une expertise particulière qui nous rend indispensable et qui se monnaye en plus très bien….

C’est peut-être un constat qui a du mal à être accepté, mais je pense qu’aujourd’hui chaque individu devrait prendre en charge lui-même sa sécurité financière, ne jamais se reposer entièrement sur un salaire ou d’éventuelles aides sociales.

Et je pense que l’impact va alors bien au delà, étant moins sensible à un risque de licenciement, on sera amené à oser davantage, à prendre plus de risques, à envisager davantage un changement de vie, un changement de travail… il devient plus facile d’envisager d’investir un peu de cet argent supplémentaire, quitte à prendre quelques risques, ce que l’on ne ferait pas avec uniquement ses revenus salariés destinés avant tout au budget familial.

Commencer à développer de nouvelles sources de revenus est le début d’une spirale vertueuse.


La diversification de mes revenus

Pour la première fois en 2011, 25%, un quart de mes revenus totaux ne provenaient plus de mon travail salarié !

Dit autrement en quelques années, 3 ou 4 ans, je me suis octroyé une augmentation de 33% ! Par rapport à mon seul salaire, j’ai à présent un tiers de revenus en plus…

Pour 100€ de salaire, j’ai aussi gagné 33€ de revenus alternatifs ou passifs.

vendredi 27 janvier 2012

Pourquoi je n’aime pas définir d'objectifs…

Je sais bien que c’est la période de définition de ses objectifs de l’année

Et je le sais que trop bien après avoir passé des heures au boulot à essayer de définir des objectifs SMART comme on dit (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporellement défini…) ! Avec en plus différent niveaux pondérés selon le timing, la manière de faire….objectif 100%, objectif atteint partiellement ou objectif dépassé …

Sachant qu’à chaque fin d’année, on constate que la moitié de ces objectifs sont vite devenus obsolètes et que l’on a fait autre chose…

Donc je ne vais quand même pas me fixer des objectifs pour mes projets personnels alors que c’est peut-être l’exercice imposé de ma vie professionnelle qui m’ennuie le plus !

Et surtout je sais que sur moi, ça ne sert à rien ! J’ai beau les écrire, les mettre en forme, Powerpoint, tableau Excel ou autre, je n’arrive pas m’y tenir tellement je trouve ça artificiel.

Dans ma vie professionnelle, ce qui me parait critique est la capacité d’adaptation et la réactivité, suivre un plan bien défini me parait très secondaire.

Je pense même que définir des objectifs personnels précis pour chaque employé bloque le système. On perd en flexibilité, en capacité à changer d’avis rapidement : chacun pense avant tout à SES objectifs perso (sur lesquels il sera jugé en fin d’année, sa future rémunération au mérite en dépendra…) avant de penser à la bonne marche de l’équipe et plus globalement de la société.

lundi 21 novembre 2011

Les conséquences de la crise, un 1er bilan sur mes finances

Perte de pouvoir achat ? Perte de capital ? Perte d’emploi ? Comment la crise me touche pour le moment ? Comment mon patrimoine ou mes investissements sont-ils impactés ?

L’intérêt que je vois dans cette analyse est de faire le point par rapport à une situation qui non seulement pourrait perdurer, mais aussi se reproduire d’ici quelques années. C’est ainsi l’occasion de corriger le tir, d’identifier des erreurs éventuelles, des situations inconfortables ou au contraire de renforcer des positions gagnantes.

J’ai classé mes réflexions selon 4 catégories :
  1. Sans impact notable
  2. Conséquences négatives passagères
  3. Conséquences négatives durables
  4. Bénéfices ou bénéfices durables.

Mon point de référence est le début de cette année 2011.


1. Sans impact notable

Mon patrimoine immobilier et mes revenus fonciers.

Premièrement, je n’ai toujours pas l’intention de vendre quoique ce soit, ni ma maison, ni mon investissement locatif. Les fluctuations du marché immobilier m’importent donc assez peu pour le moment.

Ceci dit dans ma région, je n’ai pas constaté de chute particulière des prix pour le moment. Et les biens au bon prix se vendent toujours très vite.

Mes revenus fonciers se portent toujours bien, mon dernier locataire en date, un étudiant italien, ne posant aucune difficulté de paiement.

jeudi 21 juillet 2011

Voyage sur la Côte Est des Etats-Unis

Je viens de passer les 10 derniers jours aux Etats-Unis: un voyage à but professionnel mais avec suffisamment de temps libre pour mettre un peu le nez dehors, sortir des bureaux climatisés à 18°C et affronter la chaleur étouffante du mois de juillet...

Cet article illustré est probablement un peu hors sujet, mais finalement peut-être pas tant que ça... je vais régulièrement aux Etats-Unis depuis quelques années, et il y a 2 aspects que j'apprécie vraiment : le sentiment de liberté que je ressens quand je me balade, tout parait facile, accessible (avec quelques dollars en poche bien sûr ! mais pas forcément beacoup...) et l'état d'esprit positif des américains.

Je ne veux pas faire ici l'éloge des Etats-Unis, y a du très bon mais aussi du très mauvais, c'est un pays vraiment contrasté.

Mais quand on parle avec les gens ici, que ce soit professionnel ou personnel, ils vous encouragent, vous félicitent, vous proposent leur aide spontanément. Vous avez un projet, une idée ? ils vont motiveront à vous lancer et aller de l'avant, ils ne commenceront pas vous lister tous les risques et les contraintes pour essayer de vous décourager comme bien souvent entre Français...

C'est vrai que certains en font parfois un peu trop, le "good job" ne respire pas toujours la sincérité, mais au final je reviens de ces déplacements toujours un peu plus motivé.

Motivé dans mon boulot, mais aussi et surtout dans ma vie personnelle: c'est le genre de séjour qui renforce mes envies d'entreprendre, d'investir, d'assurer mes arrières seul, de gagner davantage de liberté, d'indépendance financière.

Je vous partage donc ici quelque unes de mes visites de ces derniers jours, du Sud vers le Nord, de la Géorgie au Canada, en passant par le nord de l'Etat de New York.
Rien à voir avec New York, Los Angeles ou Las Vegas....

Première destination, Atlanta

Le centre ville d'Atlanta

mardi 8 mars 2011

Pourquoi mon travail me motive à devenir indépendant financièrement mais pourquoi je ne compte pas le quitter demain !

1  Parce que j’y suis tous les jours confronté à des situations qui me déplaisent…

J’aime mon travail, la vie sociale qui va avec, les relations souvent amicales avec mes collègues, j’irais même jusqu’à dire que j’aime ma société.

Et pourtant je me sens régulièrement terriblement frustré !

Frustré de devoir m’aligner sur des stratégies que je ne cautionne pas, frustré de ne pas réussir à avoir un impact plus important, frustré d’être englué dans une organisation figée incapable de se remettre en cause, frustré du manque de réactivité et de proactivité, du manque de prise de décision. Frustré d’être formé au leadership et aux grands principes qui vont avec, et de se rendre compte que dans la vie de tous les jours, les considérations « politiques » prendront encore le pas sur les décisions saines et objectives.

Il est tellement rafraichissant et motivant de travailler pour soi. Je ne parle pas forcément d’entreprendre. N’importe quelle petite activité pilotée soi-même permet de ressentir cela. J’ai vraiment découvert ce sentiment pour la première fois lors de mon projet de 6 mois d’investissement immobilier locatif.
Quand on a commencé à y gouter, les frustrations de la vie professionnelle salariée sont encore plus perceptibles.

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...