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dimanche 5 septembre 2021

Comment mon investissement locatif Airbnb s'autofinance malgré le COVID


Malgré quelques inquiétudes courant juillet avec le risque de voir une 4ème vague de COVID venir à nouveau perturber mes réservations Airbnb sur cette fin 2021, l'optimiste est de retour. 

En effet, le calendrier de réservation Airbnb est désormais plein d'ici la fin d'année !  

Plus un seul week end libre et surtout des réservations qui commencent à ressembler à ce qui se faisait avant la crise du COVID : fini les réservations de parisiens pour un simple week end, la plupart des séjours concernent à présent des européens pour des durées de 3 nuits à 10 nuits. De la location à nouveau très rentable donc !

Sous réserve bien sûr que toutes ces locations planifiées se réalisent, le chiffre d'affaire de l'année sera de 14 359 euros exactement !

Evidemment ce total de recette restera encore inférieur aux 17 à 18000€ des 3 premières années, mais c'est déjà 1000€ de plus que 2020. 

Comme vous pouvez le voir sur le graph, depuis le dernier point du 18/07, c'est presque 3000€ de revenus qui ont été perçus, et 1500€ de réservation supplémentaires qui sont donc venus boucher les trous restant du calendrier disponible de fin d'année. 

Le résultat net de 2021 devrait donc être positif et atteindre un peu plus de 800€.  Pas si mal pour une nouvelle année fortement impactée par le COVID-19. 

mercredi 24 juin 2020

Comment ma location Airbnb a résisté au coronavirus ?


En septembre dernier, je vous expliquais combien me rapporte ma location touristique Airbnb et je concluais en affirmant qu’il s’agissait réellement de mon meilleur investissement !

En effet sur 3 années pleines de location de courte durée via uniquement Airbnb, j’ai dégagé quasiment 17000€ de cashflow. 17000€ de recettes supplémentaires à toutes mes dépenses, y compris les mensualités de remboursement du prêt. Un investissement donc très rentable, au-delà de toutes mes espérances et bien plus qu’autofinancé.

De plus, je me disais que la pérennité était assurée, ayant la chance d’habiter dans une région attirant des voyageurs du monde entier le plus souvent pour un motif qui ne changerait jamais, une forêt mondialement connue pour ses spots d’escalade ! 

Oui mais voilà l’improbable est arrivé avec la pandémie du COVID-19 !

J’avais déjà mal commencé l’année avec un mois de janvier durant lequel j’avais décidé de ne pas louer pour effectuer des rénovations. J’avais toutefois déjà une dizaine de réservation sur 2020, plus de 4000€ théoriquement acquis. 

L’impact du COVID-19 sur mon activité est devenu concrète partir du mois de mars. Un groupe d’américain avait décidé de louer notre gite pour presque 4 semaines. Mais face à l’ampleur de la crise et la fermeture des frontières, ils ont évidemment décidé de repartir précipitamment au bout de 2 semaines. Soit 2 semaines de location que j’ai dû rembourser.

Plus dans les jours qui ont suivi, les uns derrière les autres tous mes voyageurs (100% étrangers) ont été contraint d’annuler pour les mois d’avril et de mai…

Le mois d’Avril s’est donc passé sans la moindre réservation, confinement oblige. L’occasion de refaire des peintures !

Début mai, il m’a semblé que l’année allait être très difficile, que le tourisme mettrait des mois à redémarrer (même s’il allait repartir, les gens oublient très vite comme on le constate actuellement, les gestes barrières semblent déjà oubliés pour beaucoup) et surtout personne n’avait de visibilité sur l'avenir. 

Ayant donc une forte incertitude sur les revenus à venir, j’ai décidé d’agir sur les dépenses. J’ai donc décidé de contacter ma banque pour déclencher l’une des clauses de mon contrat de prêt immobilier, à savoir reporter un certain nombre de mensualités.

C’est donc chose faite, je vais reporter cette année 6 mensualités de prêt, de juin à novembre. Environ 4000€ de dépenses que j’éviterai cette année. Évidemment la contrepartie est que je ne rembourse pas non plus le capital durant cette période. Mais je souhaitais avant tout éviter de devoir sortir du cash pour financer mon investissement.

Un fort rebond dès la fin du confinement

samedi 7 septembre 2019

Combien rapporte une location sur Airbnb ?


C’est la question que je me posais il y a 3 ans lorsqu’ai investi dans une maison de ville pour en faire un gite touristique loué toute l’année, et que j’ai décidé d’utiliser la plateforme Airbnb pour l’exploiter. 

Combien de revenus annuels pouvais-je espérer ? Est-ce que l’argent gagné allait couvrir l’ensemble des dépenses, incluant notamment les mensualités de remboursement du crédit ? Est-ce que je pouvais même espérer générer un peu de cash-flow ? 

Après 3 ans d’exploitation, les résultats dépassent finalement largement mes scenarios les plus optimistes. 

En effet d’une part, 2017, 2018 et 2019 sont 3 années sur lesquelles non seulement l’investissement est autofinancé, mais génère en plus un surplus d’argent conséquent !  Impôts compris. 

Plus de 15000€ de cash flow sur ces 3 années, et l’année 2019 n’est pas terminée !

Plus de détails sur le graphique suivant avec : 

Le barre graph en vert correspond aux recettes. Tous les revenus de location cumulés sur l’année.
En rouge, il s’agit de l’ensemble des dépenses annuelles (mensualité de crédit, EDF, gas, eau, internet, assurance, impôt foncier, CFE, expert-comptable, CGA…)
En violet, le cashflow généré par an.
Et en bleu, le gain global, si j’ajoute le capital remboursé chaque année. 




J’ai donc pu utiliser une partie de cet argent supplémentaire pour effectuer chaque année des travaux de rénovation supplémentaire ou d’amélioration. Je fais bonifier mon capital, et de cette façon je réduis voir même j’annule mes impôts. 

L’investissement est effet déclaré avec un numéro SIRET, en bic réel, toutes les dépenses sont donc retranchées des revenus, les travaux effectués par des professionnels, mais également l’amortissement du bien. Ainsi aucun impôt sur ces revenus pour le moment. 

Les revenus mensuels

Est-ce que les rentrées d’argent seront régulières ? Le gite sera-t-il loué toute l’année ou plutôt de manière saisonnière ?
C’étaient également le type de question que je posais. 

dimanche 23 juillet 2017

Ma location meublée de tourisme autofinancée dès la 1ère année


Je peux déjà affirmer que la 1ère année d’exploitation de mon gite sur Airbnb me permettra de dégager du cashflow.

Nous avons commencé la mise en location en novembre 2016, et dès cette fin juillet, j’ai déjà l’assurance que les revenus perçus dépasseront l’ensemble des dépenses sur une année d’exploitation (de novembre à novembre).

En effet, à ce jour, 12000€ sont déjà acquis étant donné les réservations actuelles, dont plus de 9500€ déjà perçus. Hors les dépenses totales sur un an tourneront autour de ces 12000€.

Et surtout, la moitié du mois de septembre est encore libre, ainsi que la totalité du mois d’octobre. Et sur la base de l’expérience passée, je suis certain de remplir ces 2 mois.

Depuis mi-février, il n’y a pas eu un seul week end non réservé (hormis ceux que l’on avait intentionnellement bloqué pour nos vacances personnelles !)

Je peux donc espérer un cashflow de l’ordre de 1000€ à 2000€ sur cette première année.

Et quand je parle de 12000€ de dépenses annuelles j’intègre tout : le prêt immobilier, le gaz, l’eau, EDF, Internet, l’assurance, les impôts (taxe foncière…), les frais de compatibilité…

L’imposition

Justement concernant les impôts…le gite est déclaré comme location meublée, avec numéro SIRET associé. (J’en avais parlé dans cet article).

Ainsi le mode d’imposition est le régime BIC réel. L’établissement des liasses est délégué à mon expert-comptable, qui se charge notamment d’estimer le montant de l’amortissement annuel du bien.

Et comme déjà expliqué à plusieurs reprises dans ce blog, comme c’est le cas pour mon 1er studio meublé, le bilan comptable est de cette manière est souvent négatif, ce qui évite tout impôt sur les recettes du bien locatif.

lundi 16 mai 2016

Un 3ème investissement locatif avec un objectif de cashflow

C’est évidemment le sujet qui m’a le plus occupé ces dernières semaines : l’achat de la maison voisine à la mienne qui deviendra ainsi notre 3ème investissement immobilier. J’avais commencé à l’évoquer dans mon dernier article

La promesse de vente est signée et la demande de prêt est lancée !

J’ai bon espoir d’être propriétaire début juillet au plus tard.


Un investissement plus conséquent que les appartements

Il était difficile de passer à côté de cette opportunité, étant donné la situation de cette maison de ville par rapport à notre résidence principale, quasi mitoyenne.

De par les quelques modifications (notamment au niveau du jardin) que nous prévoyons, cet investissement bonifiera notre maison, et lui donnera donc plus de valeur.

De plus le propriétaire était vendeur (c’est lui qui a été à l’initiative), ce qui a permis une bonne négociation du prix : une acquisition à 140000€ au final. 2 agences l’estimaient à 160000€ net vendeur.

Mais nous étions intéressés et la banque nous a suivis rapidement, ce qui offrait au vendeur une vente rapide et quasi assurée. Sachant qu’au final il s’agira tout de même pour lui d’une belle plus-value puisqu’il s’agissait à l’origine d’une grange achetée 35000€ qu’il a entièrement retapée pour un faire un logement il y a 15 ans…

Mais acheter cette maison représente tout de même un investissement équivalent à mes 2 studios.

Il fallait donc se poser, bien faire nos comptes, et s’assurer que cet achat ne vienne pas totalement déséquilibrer notre budget annuel.


La promesse de vente signée

mercredi 30 mars 2016

Un nouvel investissement locatif pour de la location saisonnière en 2016 ?


Ca fait désormais un tout petit peu plus d’un an que j’ai perçu le 1er loyer de mon 2ème investissement immobilier, un studio plein centre-ville que j’avais acheté déjà occupé, avec un bail en cours donc. La gestion est pour le moment déléguée à une agence, en attendant que le locataire donne son préavis de départ. Ce sera alors l’occasion pour moi de reprendre la gestion en direct et de passer en location meublée, comme je le fais depuis plus de 6 ans avec mon 1er appartement.

L’objectif étant bien sûr une bien meilleure rentabilité, avec notamment une fiscalité très avantageuse.

Avec quelques travaux de rénovation prévus cette année dans ma résidence principale, je n’envisageais pas de me lancer dès cette année dans un nouveau projet d’investissement locatif, et pourtant ça risque bien d’être le cas !

De manière générale, se limiter à un ou 2 biens locatifs permettra certes d’améliorer ses revenus une fois la retraite arrivée, mais n’est pas suffisant pour devenir indépendant financièrement, et se passer totalement de revenus salariés.

De plus, le temps est notre principal ennemi : il faut commencer à investir le plus tôt possible et espacer au minimum ses différents achats.

Mais avoir quelques liquidités disponibles et une situation financière la plus solide possible est toujours plus confortable pour se lancer dans un nouveau projet.

J’aurai donc bien attendu encore un an de plus…

Mais voilà, un bon investisseur doit aussi savoir saisir les occasions qui se présentent ! 

Acheter la maison voisine ? 

Je vous avais parlé dans cet article daté d’il y a un peu plus de 2 ans de la maison voisine à ma résidence principale.

jeudi 4 décembre 2014

Le financement à crédit de mon 2ème investissement locatif

Le compromis de vente de mon nouvel investissement immobilier ayant enfin été signé, j’ai donc pu prendre rendez-vous avec mon banquier pour lancer la demande de prêt.

Pour rappel, le prix de vente de cet appartement a finalement été négocié de particulier à particulier à 67000€.
Un coût d’acquisition auquel il faut bien sûr ajouter les frais de notaire, les frais bancaires et les frais de garantie. 

On arrive alors à un coût global estimé de l’ordre de 74000€ pour le moment, avec une prévision de 5500€ de frais de notaire et pratiquement 1500€ de frais de garantie et bancaire.

Quelques mois après la signature chez le notaire, je récupérerai probablement quelques centaines d’euros de la part du notaire mais pour les discussions de financement, nous sommes parti sur ce montant de 74000€.

De la même manière que pour mon 1er investissement immobilier, je souhaitais acheter avec un minimum d’apport personnel.

C’est tout l’intérêt de l’immobilier, contrairement à la bourse, on peut investir à crédit, et avec les taux actuels historiquement bas, il faut en profiter !

Je suis donc parti sur un emprunt couvrant la totalité du prix de vente, soit 67000€. Seul l’ensemble des frais annexes, soit environ 7000€ étant payés de ma poche.

Même si ça se faisait à une époque, il est devenu aujourd’hui beaucoup plus difficile d’emprunter les frais de notaire. Les banques sont devenus très réticentes.


Un taux de 2,60% fixe sur 20 ans !

J’avais fait réaliser une première proposition de prêt courant Août, pour un montant assez proche, et à l’époque, la meilleure proposition faite ma banque, la Caisse d’Epargne, était de 2,75% (sur 20 ans).

A peine 3 mois plus tard, c’est encore mieux ! Les taux d’intérêt ont encore baissé, au point que mon banquier a pu me proposer un 2,60% fixe sur 20 ans.

vendredi 18 juillet 2014

Comment est-il possible de s’enrichir en investissant dans un immeuble de rapport ?


Aujourd'hui un article écrit par Lionel du blog http://devenir-rentier-immobilier.fr/, sur un sujet que je n'ai jamais abordé je crois ici, l'investissement dans un immeuble de rapport, l'un des investissements immobilier parmi les plus rentables...

Pourquoi investir ?

Tout d’abord on peut se demander pourquoi investir, que ce soit dans l’immobilier ou autre ? Aujourd’hui, la majorité de la population ne vit qu’avec une seule source de revenu. Elle correspond au salaire que votre patron vous verse ou bien à la somme que vous pouvez vous verser en tant qu’entrepreneur à votre compte. Dans tous les cas, à moins d’être en possession de capitaux importants, vous ne pouvez pas arrêter de travailler pour voyager, ou autre, car sans argent vous êtes bloqué ! Une des solutions est d’investir dans un projet qui pourra vous apporter un complément de revenu tout de suite et pas dans vingt ans.

Quel est mon projet ?

J’ai pour projet de devenir indépendant financièrement (http://www.devenir-rentier-immobilier.fr/quitter-rat-race/) pour quitter mon emploi de fonctionnaire et pouvoir vivre la vie que désire en toute liberté. Je me suis donc intéressé aux différentes méthodes existantes pouvant apporter un complément de salaire. Finalement c’est l’immobilier qui est à mes yeux le plus avantageux. Mais attention, pas l’immobilier dans le neuf qui ne rapporte que 2 ou 3% net par an. Il s’agit d’investir dans l’ancien. Je vise un rendement minimum de 8% net minimum dans chacun de mes investissements.

Gagner son indépendance financière en investissant dans un immeuble de rapport

Il y a plusieurs investissements possibles dans l’immobilier ancien et chacun a ses avantages et ses inconvénients. Mon premier projet a été l’achat d’un immeuble de rapport car je trouve que ce type de bien immobilier apporte beaucoup d’avantages pour s’enrichir

mardi 8 avril 2014

4 raisons pour lesquelles mon investissement locatif va générer du cashflow en 2014

J’ai regardé les comptes prévisionnels de mon studio pour 2014. Et il est probable que l'autofinancement soit acquis pour la première fois cette année ! Pour la 4ème année de location.

Comme évoqué dans l’article précédent, un investissement locatif, ça s’optimise. Une fois l’achat effectué, il reste bien souvent des recettes supplémentaires à obtenir ou des frais à réduire. Ça demande un peu d’expérience ou d’efforts… récompensés par une rentabilité locative bien meilleure.

C’est ce qui devrait donc m’arriver cette année, essentiellement pour 4 raisons que je détaillerai plus loin.

Mais tout d’abord des chiffres ! 

Il s’agit pour la plupart de prévisions, qui seront évidemment à affiner. Mais sauf problème majeur (des travaux ou des renouvellement de mobilier non prévus…), je devrais être bénéficiaire de 17€ par mois cette année !

En 2013, j’ai ajouté de ma poche plus de 80€ tous les mois… ca représente donc quasiment 100€ de capacité d’épargne mensuelle en plus, d'une année sur l'autre !
Bilan prévisionnel des comptes de mon appartement locatif pour 2014

Pourquoi du cashflow en 2014 ?

lundi 31 mars 2014

Investir dans un bien immobilier autofinancé

C’est l’investissement locatif idéal : l’appartement que l’on achète à crédit et qui est intégralement payé par les locataires.
Pas un seul euro à ajouter de sa poche durant les 15 ou 20 ans de crédit.

Il faut donc arriver à une situation où les recettes couvrent (ou même mieux dépassent !) l’ensemble des dépenses. (et elles sont nombreuses…)

Quelles sont les recettes et les dépenses d’un investissement immobilier ?

Les rentrées d’argent se limitent à 2 choses, et proviennent d’une source unique, le locataire :
  • les loyers
  • les récupérations de charge
Les sorties d’argent sont plus variées : 
  • Les mensualités d’emprunt payées à sa banque
  • Les charges de copropriété non récupérables
  • Les travaux d’entretien ou de réparation
  • La taxe foncière
  • Les frais d’assurance
  • Et les impôts sur les revenus fonciers.

L’autofinancement, comment en arriver là ?

Comme le montre le schéma ci-dessous, ca se joue en 2 temps :

  1. A l’achat du bien immobilier 
  2. Puis durant toute la période de remboursement du prêt




Un premier point de départ donné dès l’achat du bien

mercredi 19 mars 2014

Rendement locatif : l’outil indispensable

Logo
Il y a un an et demi je vous avez parlé d’un outil en ligne que j’avais trouvé pour calculer le rendement locatif d’un investissement immobilier. Un outil très simple mais qui se démarquait des autres pour 2 raisons : 
  1. la prise en compte de l’imposition 
  2. l’estimation de l’évolution du rendement au fil du temps.
Un outil idéal pour comparer rapidement différents investissements locatifs, selon différents mode de gestion (vide, meublé…).

Etant en phase de réflexion pour un 2ème investissement immobilier, je suis retourné sur ce site pour faire quelques simulations et c’est là que j’ai découvert que l’outil avait bien évolué !

Avec notamment ce qui me manquait à l’époque, l’intégration du régime BiC réel avec la prise en compte de l’amortissement du bien dans le calcul du rendement.

Cette fois tout y est, simple et efficace. Idéal pour dégrossir un projet immobilier !

L’occasion en une vingtaine de copies d’écran de vous dresser un tour d’horizon des possibilités offertes par ce site en ligne : Rendement Locatif

Je suis parti sur des chiffres que je considère réalistes pour un projet personnel de location meublée.


Les données de son projet d’investissement

Les 2 images suivantes constituent l’ensemble des données à remplir :

mardi 14 janvier 2014

La maison voisine en investissement locatif ?


Je vous en ai parlé il y a quelques mois, j’ai acheté une nouvelle maison. A l’époque j’avais appris que l’une des maisons voisines était occupée par des locataires. Ce que je ne savais pas c’était que cette maison était en vente !

Est-ce une bonne opportunité pour un 2ème investissement immobilier locatif ?

De quoi s’agit t-il exactement ?

On pourrait plutôt parler de maison de ville. Une vielle maison mitoyenne en pierre, entièrement rénovée il y a quelques années,  une surface habitable d’environ 85 m² (100 m² au sol), 4 chambres sur 2 étages, en bord de route, et offrant un petit jardin d’environ 100 m². Une particularité intéressante, chaque chambre dispose de sa propre salle de douche.


Pourquoi cette maison m’intéresserait au-delà du placement locatif ?

Outre l’intérêt en termes d’investissement locatif, cette maison m’intéresserait surtout pour bonifier ma propre résidence principale. Je m’explique. Nos 2 jardins séparés de hauts murs en vielle pierre, sont toutefois un peu imbriqués. Une façon d’optimiser mon propre jardin de 250 m² serait de récupérer en gros la moitié du jardin voisin puis de reclôturer. 

En termes de valeur marchande des 2 biens, on pourrait penser que ça améliorerait un peu celle de ma résidence principale et dégraderait celle du bien locatif.

Il y aurait nécessairement un coût : d’abord pour détruire le mur en pierre et en remonter un dans le même style
Et il faudrait également recadastrer, faire redéfinir les limites des 2 propriétés.  Même si je suis l’unique propriétaire des 2 habitations.

Mais cette optimisation n’a de sens que si l’objectif principal de cet achat, l’investissement locatif, tiens la route.

lundi 16 décembre 2013

Mon indépendance financière fin 2013

Je ne vais pas faire un point détaillé de toute l’évolution de mon patrimoine ou de mes revenus passifs depuis un an, comme j’ai pu le faire les années précédentes.  Je vais plutôt essayer de prendre un peu hauteur sur ma situation actuelle et essayer de me projeter dans l’avenir. 
 
Avec un objectif, définir ce qu’il faut que je fasse dans le années à venir…

Pourquoi davantage d’indépendance financière ?

Dans mon cas personnel, il ne s’agit pas de quitter mon boulot le plus rapidement possible. Oui je suis salarié, mais j’aime mon travail,  intéressant, motivant,  parfois un peu stressant, mais gérable.  
Ceci dit, il y a 2 choses qui me poussent à gagner en liberté financière :

1 _  Être libre de prendre ma retraite je jour où je le souhaiterai. S’il faut que je cotise 43 années, ça m’amène à 67 ans…ça me semble un peu tard.

2 _ Je ne suis pas naïf, je sais très bien que personne n’est à l’abri et que je pourrais très bien être licencié à n’importe quel moment. (pas encore de rumeur de plan social, j’ai donc encore au moins 6 mois de visibilité J)

Pour ces 2 raisons, je veux pouvoir m’appuyer sur d’autres sources de revenus que mon simple salaire, des revenus passifs et alternatifs.


Ma situation actuelle

Pour faire simple, j’ai résumé ma situation fin 2013 dans le schéma ci-dessous : En gros dans une dizaine d’années, si je poursuis ma feuille de route actuelle, je pourrai dégager 1000€ de revenus net, passifs, par mois.
Cliquez pour zoomer !
Je vais tout de même détailler un peu :

vendredi 20 septembre 2013

Une erreur d’investir dans l’immobilier aujourd’hui ?

J’ai reçu plusieurs mails ces dernières semaines allant dans ce sens, de personnes motivées à se lancer dans l’investissement locatif et qui finalement viennent de baisser les bras.
Pourquoi hésiter à investir dans l’immobilier aujourd’hui ? Évidemment, la situation  économique et sociale de la France pèse, les impôts et autres taxations sont en hausse constante et le spectre d’une chute importante des prix de l’immobilier revient régulièrement.
Cette image globale assez sombre sert souvent de bonne excuse pour ne pas passer à l’action. Et ce sont des années précieuses qui sont ainsi perdues !
J’ai acheté un 1er appartement fin 2009 et je sais que j’en achèterai un autre, bientôt j’espère. Mon changement de résidence principale, l’achat de ma nouvelle maison ont un peu ralenti ce projet sur ces 2 dernières années, c’est vrai.
Mais ce laps de temps m’a permis d’apprendre comment gérer un bien locatif de manière très rentable : la location meublée, déclarée en BiC réel. J’ai à présent mon numéro SIRET, et mon ou mes prochains investissements immobiliers suivront évidemment la même approche.
Évidemment qu’il vaudrait mieux patienter un peu si on était certain que l’immobilier baisse partout de 20% ou 30% dans les 2 ans, mais personne n’en sait rien !
Il faut par contre regarder les faits, le concret, ce dont on est sûr ! 

lundi 8 avril 2013

Le rachat de crédit de mon investissement locatif

Le prêt immobilier de mon appartement locatif a été négocié fin 2009. A cette époque, j’avais pu obtenir un prêt principal à 4% sur 20 ans. Mais ces derniers mois les taux d’intérêts ont atteint leur plus bas historique, l’occasion de faire racheter ce prêt et ainsi réduire le coût global de mon crédit.

Moins d’intérêts à payer, ça signifie des mensualités plus basses, ce qui est évidemment bon pour l’autofinancement…


Mon crédit immobilier actuel

Comme détaillé dans cet article, j’avais optimisé l’emprunt global en tirant profit de mon Compte Epargne Logement et de ses droits au prêt.

Au final, mon studio était financé au Crédit Agricole par un prêt principal (93% du global) à 4%, fixe sur 15 ans et variable sur les 5 dernières années, et de 4 prêts CEL sur 15 ans (7% du global) aux taux d’intérêts compris entre 2,75% et 3,50%.

A la date d’aujourd’hui, le capital restant dû est le suivant pour ces différentes lignes de prêt :


Avec l’Assurance Décès Invalidité, le montant total de mes mensualités est de 535€. Un montant fixe sur 15 ans.

A l’issue, les prêts CEL seront soldés, il ne restera que le prêt principal de 492€. Avec une petite subtilité, le taux deviendra alors variable à +/- 2%.



La proposition de rachat de crédit

jeudi 17 janvier 2013

Bilan de mon investissement immobilier sur 2012 : partie 2, le rendement locatif

Comme j’ai pu l’évoquer dans l’article précédent, ma grande satisfaction de l’année 2012 avec mon investissement locatif meublé aura été d’arriver à le louer 100% du temps !

Naturellement, ça signifie davantage de recettes. Les 8 premiers mois loués, hors charge, 550€ suivis de 4 mois loués 565€, pour un total donc de 6660€ de revenus locatifs.


Une rentabilité locative en hausse

Davantage de recettes, des dépenses qui restent à peu près constantes, ça signifie forcément un meilleur rendement pour cet investissement immobilier.

Avec un rendement net de 6,64% sur 2012.

Un peu mieux que les 6,30% de 2011 et presque 1 point de plus qu’en 2010, avec 5,69%.

Ce rendement net de 6,64% (avant impôt, mais prenant en compte l’ensemble des charges et frais) est certainement très proche de l'optimum que je puisse obtenir de mon studio.

lundi 1 octobre 2012

Comment bien estimer la rentabilité locative, impôts compris !

Comme évoqué dans cet article, le souhait de débuter un nouveau projet d'investissement immobilier devient de plus en plus concret.

Et les dernières annonces peu réjouissantes de ma société parlant de coupes nécessaires pour faire repartir les bénéfices à la hausse et ainsi rassurer les investisseurs, vont surement faire accélérer un peu mes recherches : avec un CDI, c’est toujours plus simple pour obtenir un prêt !

Du coup je commence à considérer et comparer différents types possibles d’investissement immobilier, j’y reviendrais dans un prochain article.

Et pour comparer, ça passe nécessairement par des chiffres ! J’utilise beaucoup Excel, avec mes propres feuilles de calcul, mais j’ai découvert une application en ligne, Rendement Locatif, totalement gratuite, que je souhaitais partager avec vous !

Il y a particulièrement 2 points que je trouve très intéressant :

  • la prise en compte de la fiscalité dans l’estimation du rendement, et ce pour différents types d’imposition : micro-foncier, micro-BIC, réel.
  • et surtout l’évolution du rendement sur la durée du prêt choisi ! C’est un détail que l’on oublie souvent, selon le type d’imposition choisi (mais aussi selon l’évolution du montant du loyer ou des charges), le rendement évoluera à la hausse ou à la baisse.

Outre, simuler la rentabilité (et l’autofinancement) de tel ou tel bien immobilier, ca en fait un outil très utile pour d’abord faire le bon choix initial en termes de type d’imposition, puis pour optimiser le rendement au bout de quelques années en changeant éventuellement.



Exemple concret avec les chiffres de mon studio locatif

mercredi 30 mai 2012

Comment calculer le rendement locatif d'un investissement immobilier et évaluer l’autofinancement ?

Cette question revient très souvent dans les emails que je reçois, je vous propose donc ici une méthode générique qui correspond au principe que j’utilise, une méthode bien sûr que chacun devra adapter à sa propre situation, plus particulièrement en ce qui concerne la fiscalité.

Je me mets dans la position de la personne qui est en phase de recherche de bien sur lequel investir, et qui cherche donc à estimer le rendement de son futur investissement, pour chacun des biens visités.

Pour illustrer la méthode, je vous propose aussi en fin d’article l’exemple concret d’une lectrice actuellement en passe d’acquérir son premier investissement locatif.

Vous pourrez aussi télécharger la feuille de calcul Excel associée pour effectuer vos propres simulations.


La méthode pour estimer le rendement locatif d’un bien immobilier


Le rendement brut

C’est le plus direct à calculer, c’est aussi la première étape. C’est en général celui évoqué par les agents immobiliers lorsqu’ils vous font visiter l’appartement « idéal pour investisseur »… Mais attention, on est loin du compte ! Le rendement réel final sera bien différent malheureusement. (33% de moins est un bon ordre de grandeur…)

mercredi 1 février 2012

2012, mon premier investissement immobilier

Cet article a été écrit par Laurent du Blog RicheAvenir qui avait été à l'orgine de ce petit guide gratuit sur l'investissement auquel j'ai collaboré.

Laurent m'a fait part de souhait pour 2012 de réaliser son premier investissement locatif, et j'étais curieux de savoir comment il abordait ce projet. C'est ce qu'il nous explique donc ici.

PS : Et merci à toi Laurent de combler mon absence cette semaine ;-) ! Je suis actuellement très loin, en Australie, retour dans 10 jours, j'aurai surement un peu de retard dans mes mails, je m'excuse par avance auprès de ceux qui m'écriront...
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Parmi les objectifs que je me suis fixé pour cette nouvelle année, il y a un challenge que je souhaite réaliser depuis quelques temps,  celui de me lancer dans l’immobilier locatif. 

Il y a deux grandes raisons à ce choix. Premièrement, l’investissement locatif est un des rares placements qui permet de se constituer un patrimoine financé à crédit et payé tout ou en partie par le locataire. Deuxièmement, ce dernier peut être optimisé grâce à des avantages fiscaux qui réduisent l’impôt sur le revenu. 

Malgré tout, le succès d’une telle entreprise n’est pas aléatoire, et chaque aspect de cet investissement doit être étudié et pondéré. Voici comment j’envisage mon premier achat immobilier…


LA PREPARATION DU PROJET

Avant de foncer tête baissée dans les recherches de biens, il est important de bien préparer son projet. Pour cela, j’ai établi une liste succincte de questions qui me servent de fil rouge pour mener à bien cet investissement.

mardi 29 novembre 2011

Et si j’avais choisi le bail nu plutôt que la location meublée ?

Pour mon premier investissement locatif, un studio, j’ai décidé de le louer en meublé, et ce depuis bientôt 2 ans. J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer le choix de ce mode de location, notamment en comparant les avantages et inconvénients du meublé par rapport à la location vide.

Sur 2011, mon rendement locatif net devrait être proche de 6,30% comme détaillé dans cet article.

Je n’ai toutefois jamais fermé la porte à l’option qui consisterait à revenir à un bail nu, si l’expérience du meublé me démontre que la rentabilité en non meublé serait meilleure.

C’est donc justement ce que j’ai essayé d’estimer ici, quel aurait été mon rendement locatif depuis 2 ans si j’avais loué vide.

Le bilan de ma location meublée :

2010 :

  • Rendement net (avant impôts): 5,69%
  • Défaut d’autofinancement mensuel (avant impôts) : 90€
  • Impôts fonciers : 0€ (déficit foncier)
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