vendredi 30 mai 2014

Notre blog sans gluten, une niche en plein essor

Bientôt 7 mois que le blog Bien Manger Sans Gluten a été lancé par ma femme. La 1ère étape critique des 6 premiers mois a donc été franchie, sans avoir jeter l’éponge ! Et c’est là que ça commence à devenir intéressant…des visites, des contacts, des idées…


Les derniers développements du blog 

On n’avait pas pris beaucoup de temps pour le design du blog jusqu’à présent. Évidemment que c’est important. Mais pas essentiel au départ. Il ne faut surtout pas s’empêcher de commencer, parce que l’on n’a pas encore réussi à trouver la bannière idéale. L’amélioration continue est la clef pour beaucoup de business. Quand on lance un nouveau produit, ce qui compte c’est d’être rapidement sur le marché, même si tout n’est pas parfait. Les premiers retours des clients permettront de faire une génération 2 bien plus aboutie…idem pour le blog, on a passé 6 mois avec une bannière pourrie ;-) et ça ne l’a pas empêché de trouver un public.

Mais à un moment donné, pour passer à l’étape d‘après, il est préférable d’avoir un style un peu plus professionnel, d’où la création de la nouvelle bannière.

Avec en particulier un petit logo, une image de cuisinière achetée sur fotolia, qui servira sur tous les réseaux sociaux en tant qu’avatar (twitter, gmail, google+, broadcast aweber…)

Un premier « investissement » pour ce blog d’une dizaine d’euros, l’équivalent des 3 premiers mois de revenus !

Après le choix est discutable bien sûr, on aime ou on aime pas, mais sur le principe, je suis convaincu que ça servira pour le futur du blog, notamment pour les contacts avec d’autres sites ou entreprises.

On a également continué à créer un peu de backlink, par échanges de liens avec des blogs de la même thématique ou par inscription sur différents annuaires.

Mais l’activité principale est resté pour ma femme la création de contenu. D’abord en cuisinant ! et oui il n’y pas que du travail de rédaction pour sortir de nouvelles recettes sans gluten…il faut avant tout les réaliser ! et les gouter…pour cette dernière étape, j’aide un peu ;-). Au minimum, un article par semaine. Une quarantaine d’articles ont été publiés à ce jour.

Le dernier article publié a  également permis d’élargir les sujets abordés, avec le récit de notre repas dans un restaurant sans gluten à Paris. Une journée durant laquelle nous avons visité plusieurs boutiques « gluten free », de quoi avoir de la matière pour un certain nombre d’autres articles.

vendredi 23 mai 2014

Combien d’années sans impôts sur les revenus locatifs grâce au régime BIC réel ?

Dans l’un de mes derniers articles, je vous ai parlé de l’amortissement comptable de mon appartement meublé (rendu possible par le fait que je déclare cette année au régime BIC réel) ou comment je vais pouvoir déduire de mes recettes locatives une partie de la valeur de mon bien immobilier et de son mobilier, sur des dizaines d’années.


Ce montant de déduction est loin d’être négligeable, de 4000€ par an les premières années, à 1000€ jusqu’à 50 ans dans mon cas. De quoi réduire significativement le montant de revenus fonciers sur lequel je serai imposé !

Et les déductions ne s’arrêtent pas là : à cette dépréciation annuelle de la valeur de l’appartement, il faut en effet également ajouter d’autres charges ou dépenses déductibles qui au final vont dépasser le montant des loyers annuels pendant de nombreuses années.

Ainsi, le bilan de la déclaration fiscale en BIC réel que j’ai faite cette année en 2014, sur les revenus de 2013, était déficitaire, le déficit se chiffrant à – 1967€ !


Les déductions fiscales en BIC réel

Voici donc les déductions qui ont été cumulées par mon expert-comptable pour arriver à ce déficit de 1967€ :

jeudi 15 mai 2014

Travaux de rénovation : passer par un artisan ou les faire soi-même ?

Je possède 2 biens immobiliers, ma maison en tant que résidence principale et mon studio en tant qu’investissement locatif.

Un petit patrimoine (toutefois encore loin d’être payé…) qu’il est bon d’entretenir ou d’améliorer, que ce soit pour son confort personnel, celui des locataires ou pour tout simplement valoriser ces biens immobiliers.

Avec l’arrivée du printemps, pas mal de projets commencent à germer ! Trop pour 2014 probablement…

Et oui avec une maison achetée il y a moins d’un an, qui ne répond pas encore à tous nos besoins, et un appartement acheté il y a bientôt 5 ans dans lequel je n’ai jamais fait de travaux depuis sa mise en location, les idées ne manquent pas !

Et une fois que l’on a fait sa petite liste, on se retrouve confronté à deux problèmes :
  • l’argent
  • et le temps !

Comment en faire un maximum, en un minimum de temps pour un coût le plus faible possible ?

La première chose à faire est déjà de classer les travaux envisagés par ordre de priorité. Tout n’est peut-être pas si urgent, et peut encore attendre un an ou deux…

C’est ce que j’ai fait :

Pour ma maison :

samedi 10 mai 2014

Les différences fondamentales entre un PEA et un compte titres ordinaire

Cet article invité a été rédigé par Alexandre du blog “la bourse à long terme”, qui partage son expérience de l’investissement boursier et de la gestion de portefeuille. 


Actuellement, je possède un compte titres ordinaire que j’utilise pour acheter des titres sur le marché du Nasdaq et sur celui du Dow Jones. Si j’ai ouvert ce compte, c’est uniquement pour me familiariser à une approche fondamentale de la Bourse, à investir dans la valeur. En effet, ma spécialité est l’analyse graphique sur une unité de temps hebdomadaire pour un investissement à moyen/long terme. Pour appliquer cette technique, j’ai ouvert un PEA (Plan d’Epargne en Actions) en avril 2012 à l’occasion de la naissance de mon blog. Dans ce compte, je centralise mes achats sur les valeurs de l’indice cac40. Mon capital boursier est beaucoup plus important dans le PEA, car ce support financier offre encore des avantages fiscaux intéressants tant sur les plus-values que sur les dividendes.



Principales caractéristiques du PEA 

Le PEA est une simple enveloppe fiscale dans laquelle peuvent être logées des actions françaises et européennes ainsi que des parts d’OPCVM . Ce support financier permet de percevoir des dividendes et de réaliser des plus-values sans payer d’impôts (à l’exception des prélèvements sociaux). Les caractéristiques du PEA sont les suivantes :

lundi 5 mai 2014

L’amortissement comptable de mon appartement meublé

En tant que loueur en meublé non professionnel (LMNP), à présent déclaré officiellement avec un numéro SIRET, l’intérêt de déclarer ses recettes locatives au réel (en BIC réel) est de pouvoir amortir la valeur du bien immobilier et de son mobilier.

L’autre option est la déclaration fiscale en micro-BIC, avec 50% d’abattement sur les revenus bruts, ce qui reste généralement nettement moins avantageux.

Reste à savoir calculer le montant annuel de cet amortissement selon les bonnes règles comptables en vigueur.

Comme vous le savez j’ai choisi de faire appel à une expert-comptable pour prendre en charge, non seulement ce calcul d’amortissement, mais plus largement ma déclaration fiscale de revenus locatifs en BiC réel.

Elle vient de me faire parvenir l’ensemble des formulaires 2031 et 2033 que je dois remettre aux impôts avec le reste de ma déclaration sur le revenu.

Comme prévu, je suis effectivement bien déficitaire, c'est-à-dire plus de déductions que de recettes, donc aucun impôt à payer pour mon studio meublé. Je vous donnerai d’autres détails dans un prochain article, mais je voulais dans un premier temps vous exposer comment a été estimé mon amortissement dans les années à venir.


L’amortissement comptable par composantes
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