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mardi 18 février 2014

Vous louez un bien meublé ? Choisissez le bon mode de promotion...

Aujourd’hui un article invité de Ludovic Matten, du blog passion locatif et également auteur du livre « s’enrichir avec la location saisonnière », celui dans lequel j’ai découvert cette fameuse niche fiscale de la déclaration en BIC réel pour les locations meublées ! J’y reviendrai d’ailleurs dans mon prochain article,  avec la liste des documents que je viens de fournir à mon expert-comptable pour qu’elle prépare mes formulaires de déclaration 2031 et 2033…


Tout dernièrement, un de mes lecteurs m'a contacté, un brin affolé, parce que sa maison, bien que très belle, ne trouvait pas grâce aux yeux des éventuels locataires. Cette dame (parce que c'est une lectrice) m'a envoyé l'annonce qu'elle avait posté sur différents sites. Elle était concise, précise... mais manquait de folie. Lorsque vous vous lancez dans la location saisonnière, ou plus généralement dans la location meublée, vous devez prévoir l'avenir : savoir quels seront les points forts de votre bien, ce qui fera que les locataires potentiels vous choisiront, vous et pas un autre, et savoir comment vous ferez la promotion de votre bien.

Nous passerons rapidement sur le choix de votre bien. Comme tous les professionnels du secteur vous le diront: la règle d'or est 1. l'emplacement, 2. l'emplacement, 3. l'emplacement. Si vous avez cet emplacement, les locataires viendront forcément à vous. Si vous ne l'avez pas, cet emplacement, il vous faudra trouver le moyen de les attirer. Comment ? En étant plus malin que les autres, en proposant des prestations différentes, en ciblant une clientèle particulière... Les possibilités sont nombreuses, à vous de les trouver.

Après, je ne suis pas magicien. Un bien mal placé, bien qu'attractif à première vue, peut ne pas atteindre sa cible. Dans ce cas, il vaut mieux parfois revendre... et se recentrer sur un autre sujet. C'est par exemple ce qu'a fait Natasha. Natasha est une ancienne locataire, qui est devenue une amie. Elle a tellement apprécié son séjour chez moi (dans un de mes appartements) qu'elle s'est décidée, avec son compagnon, à acheter un bien dans le même village de montagne. "C'est fait, on a acheté", m'a-t-elle un jour annoncé. "Super", ai-je répondu. "Où ça?", ai-je demandé. Sa réponse ne m'a pas rassuré... "Je n'aurais jamais acheté là-bas", ai-je pensé.

lundi 2 décembre 2013

A la recherche d'un nouveau locataire pour mon investissement locatif

Mon locataire actuel partira à la fin du mois de Décembre, comme convenu à la signature de son bail meublé. Il me faut donc lui trouver un successeur pour début janvier, en essayant de minimiser le nombre de jours où l’appartement restera vide.

Un investissement immobilier vide est évidemment un gouffre financier, avec des charges à payer, un emprunt à rembourser et tout ça sans la moindre rentrée d’argent. La rentabilité annuelle dépend donc énormément de ces jours de vacances locatives.

Il y a de multiples façon de chercher un locataire, la méthode la plus fréquente probablement de nos jours, c’est la petite annonce sur Internet, en particulier sur le site leboncoin, totalement gratuit.

J’ai essayé il y a un an et demi pour une période d’été, c’est extrêmement efficace pour avoir des appels, beaucoup d'appels!. Reste ensuite à gérer ce flux d’information et à choisir…pas toujours simple !

Avec ma niche d’étudiants étrangers, une cible de locataires bien précise, j’évite ces complications. Par contre, il faut que j’arrive à entrer en contact avec eux

Je connais aujourd’hui 4 méthodes, 2 payantes et 2 gratuites. J’en ai testé 3.

La première, jamais testée, est aussi la plus coûteuse…il s’agit d’une agence immobilière installée au cœur du campus qui se charge quasi exclusivement du logement des étudiants. Et assure également d’autres services, du type location de voiture par exemple. 
Intéressant sur le principe mais les frais d’agence pour chaque nouveau locataire sont exorbitant, pour le bailleur comme pour le locataire, plus d’un mois de loyer. Je passe donc mon chemin…

mardi 23 avril 2013

Investissement locatif : les prix de l’immobilier et la rentabilité locative autour de chez moi

Il parait que l’immobilier commence à baisser ! Bonne nouvelle en tant qu’investisseur mais est-ce que ça baisse réellement là où je vis et où j’investis ?

Comme expliqué dans cet article, j’ai toujours en projet, peut-être pour cette année, d’acquérir un 2ème bien immobilier locatif.

Ma première expérience, mon studio meublé, est pour le moment très concluante. Aucun soucis de gestion locative, un bon rendement net de 6,64% en 2012 et à priori quasiment aucun impôt à partir de 2014.


Donc forcément, un projet sans risque serait de dupliquer le même investissement : un studio loué meublé dans la même ville, au sud de la région parisienne.


Les prix de l’immobilier dans ma ville

La rentabilité d’un investissement locatif et donc son niveau d’autofinancement dépend essentiellement de 2 choses :

  • Le prix d’acquisition global : achat + notaire + travaux + meublé + frais divers (dossier, garantie..)
  • le loyer perçu

Ensuite bien sûr, pas mal de points peuvent impacter le rendement : la vacance locative, les frais de copropriété, etc…

Mais dans un premier temps, les 2 premiers points suffisent. J’ai donc regardé ce qui se vendait aujourd’hui (seloger et le bon coin), j’ai sélectionné les biens intéressant par leur emplacement, et j’ai estimé leur rentabilité brute.

Voici donc les 7 appartements sélectionnés, 5 studio et 2 F2, et leur prix de vente actuel.

vendredi 6 juillet 2012

Trouver et choisir un locataire avant l'été

Ça fait quelques temps que je n’avais pas parlé de mes dernières expériences de gestion locative de mon studio meublé.

C’est plutôt un bon signe, c’est que tout se passe bien ! Et en effet j’ai connu depuis septembre 2011, 9 mois de location sans soucis.



Le départ de mon précédent locataire

La seule nouvelle que j’ai eu de mon dernier locataire (un étudiant italien en MBA) est intervenue en avril pour me signaler son départ fin mai. (un seul mois de préavis en location meublé).

Je savais qu’il y avait de fortes chances qu’il ne reste pas beaucoup plus longtemps, mais 9 mois c’est déjà pas si mal pour ce type de locataire. (sans risque, bon payeur, mais à durée limitée…)

L’état des lieux de sortie a été sujet à quelques discussions. C’est toujours un moment potentiellement un peu conflictuel, surtout si on n’a pas pris le temps de réaliser un état des lieux d’entrée méticuleux, validé par les 2 parties, le bailleur et le locataire.

mardi 22 mai 2012

Comment bien vendre sa maison en 1 mois !

Fin Avril, je vous expliquais pourquoi j’avais décidé de vendre ma maison, et le 8 mai, je faisais le point sur les premiers retours que j’avais eu lors des 2 premières semaines de mise en vente.

Un premier bilan encourageant avec 15 contacts, 9 visites « entre particuliers » et 1 visite par agence.

2 semaines plus tard, soit 4 semaines après la parution de mes premières petites annonces, j’ai reçu une offre d'achat que je vais accepter.

J’ai donc vendu ma maison en 1 mois !

Retour sur les 2 dernières semaines

Comme je l’avais expliqué, même si je souhaitais avant tout essayer de gérer cette vente "entre particuliers", j’avais tout de même donné mandat à une agence.

Son bilan aura été assez maigre avec 3 visites seulement (+1 revisite tout de même), et pour la plupart des profils qui ne recherchaient pas exactement un bien semblable à ma maison.

Le PAP m’aura apporté 3 nouveaux contacts, qui se seront soldés par une seule visite, non concluante. (soit au total sur 1 mois de parution, 7 contacts et 2 visites…pas exceptionnel)

Le bon coin est donc resté de loin ma meilleure source d’acquéreurs potentiels, et c’est en toute logique que ce site m’aura permis de dénicher des acheteurs.

Avec ces 2 dernières semaines, 12 contacts supplémentaires et 9 nouvelles visites. (soit au total sur 1 mois, 23 contacts et 18 visites uniques.)



Un emploi du temps bien chargé…

Quand on fait le cumul sur 4 semaines, ça fait environ 25 visites (dont quelques revisites) à gérer…une bonne moitié le week end.

mardi 8 mai 2012

Maison à vendre, les 2 premières semaines…

Au moment où j’écris cet article, ma maison n’est pas encore vendue, ça fait exactement 2 semaines qu’elle a été mise en vente sur des sites de vente entre particuliers.

Je voulais revenir ici sur ce qu’il s’est passé ces derniers jours et sur le premier bilan que j’en tire.


Les 2 premiers jours

Comme je l’ai expliqué dans cet article, j’ai fait le choix de gérer cette vente en tant que particulier, même si j’ai tout de même fait une petite exception, j’en parlerai plus loin.

1er effet immédiat de la publication de mon annonce sur les 2 sites de vente entre particuliers, le bon coin et le PAP, des appels en masse dans les heures qui ont suivi !

Oui mais des appels de toutes les agences immobilières locales, plus d’indépendants travaillant pour des réseaux Internet (I@d France, etc…)

J’en ai comptabilisé une quinzaine au total…je comprends pourquoi on voit généralement le petit message « agences s’abstenir » dans les annonces…

Les agences sont vraiment l’affût du moindre nouveau bien apparaissant sur le marché…
Je ne suis pas contre le fait de passer par une agence immobilière pour ma vente, mais, durant quelques heures, j’ai vraiment eu  une impression d’harcèlement, certains étant vraiment très pressants…, relançant par mail, malgré une réponse négative de ma part au téléphone.

Je connais donc déjà ceux avec qui je ne travaillerais surtout pas si finalement la vente n’arrive pas à se conclure entre particuliers.


Mais au milieu de toutes ces appels non désirés, j’ai tout de même comptabilisé 7 contacts d’acquéreur potentiels durant ces 2 premiers jours, qui se sont traduit par 4 visites.



2 semaines de petites annonces entre particuliers

vendredi 27 avril 2012

La mise en vente de ma maison : mes démarches

Comme je vous l’ai expliqué dans cet article, j’ai décidé de vendre ma maison !

Une nouvelle expérience intéressante où il y a surement beaucoup à apprendre, jusqu’à présent je n’ai été connu que la situation d’acheteur, ma maison tout d’abord, puis mon investissement locatif. Avec bien sûr à chaque fois, la volonté d’acheter dans les meilleures conditions…

Cette fois-ci, je me retrouve dans la peau du vendeur, et je veux vendre également dans les meilleures conditions ! c’est un autre type de projet, mais presque tout aussi existant…



Une vente de particulier à particulier

Et c’est déjà pour cela que j’ai choisi, au moins pour le moment, de vendre en tant que particulier, en direct, sans faire appel à une ou des agences immobilières.

J’ai envie de m’investir dans cette vente, comme dans tous mes autres projets, avec le sentiment que je suis le mieux placé pour réussir cette opération immobilière.

Je me trompe peut-être, l’avenir le dira, et je n’exclus pas de faire appel à une agence si la vente venait à durer…
Mais pas pour commencer.

Il y a des avantages et inconvénients à agir de la sorte, ça demande encore une fois un investissement en temps, mais un des gros atout que je vois est de pouvoir afficher un prix de vente plus bas, non gonflé par les frais d’agence. On parle tout de même ici tout de même d’environ 12 000 de frais d’agence.

Mais il est vrai aussi que mon métier n’est pas vendeur, alors peut-être que je serai moins bon dans cet exercice…


Mes démarches avant la mise en vente

lundi 12 décembre 2011

Réussir la visite d’un bien immobilier, la check-list

Réussir un investissement locatif, c’est avant tout, faire le bon choix du bien immobilier à acheter.

C’est l’étape du projet qui déterminera en grande partie le succès de son investissement.

Il sera toujours difficile par la suite de rattraper un handicap majeur à l’achat (un logement qui se loue mal, des charges trop lourdes, peu de possibilité de d’amélioration, etc…). ça impactera forcément le rendement.

Choisir l’appartement dans lequel on va investir est donc une étape critique, celle pendant laquelle on doute, on se pose un tas de questions, et pourtant bien souvent, il faut pouvoir se décider très vite, si le logement visité est bel et bien la perle rare que l’on cherche.

Et pour bien choisir, il faut donc réussir ses visites !

Il faut savoir quoi regarder, savoir quelles questions il faut poser et qu’il faut aussi se poser à soit même !

C’est pourquoi je vous propose ici une check-list des points à étudier à l’occasion de chaque visite.

Tout ce ceci est tiré essentiellement de mon expérience, je ne prétends pas que cette liste soit exhaustive ! Et je compte d’ailleurs sur vous pour la compléter !

J’ai trié les questions en différents thèmes :

  • Le logement visité
  • La vente
  • Spécificités du logement
  • L’aspect financier
  • Les parties annexes et communes
  • Le syndic
  • Les évolutions possibles
  • L’environnement
  • Sentiment général

jeudi 15 septembre 2011

Comment j’ai testé la location saisonnière de mon studio cet été

Le 3ème locataire de mon studio meublé est parti fin juillet, et j’avais évoqué ici comment la lecture du guide de Cédric Annicette m’avait donner envie de tester dès cette année la location saisonnière sur le mois d’Août, étant assez disponible cette année.


Voici ici le bilan de cette expérience assez lucrative…

Mon appartement, loué meublé, est assez bien équipé, mais quelques éléments supplémentaires étaient à acheter pour pouvoir prétendre offrir un service de location saisonnière, à la semaine ou au week-end, du linge essentiellement, draps, serviettes de toilette…

Mais avant de me lancer dans les dépenses supplémentaires, j’ai d'abord commencé par passer une petite annonce gratuite dans leboncoin, histoire de m’assurer de la demande.


Résultats de ma petite annonce dans leboncoin

J’ai tout d’abord passé en revue la concurrence locale pour fixer un tarif compétitif, 290 € la semaine, 130 € le week end, puis j’ai rédigé mon annonce sans oublier bien sûr d’inclure le maximum de photos possibles tout en essayant de me démarquer avec une petite offre de bienvenue : la bouteille de champagne offerte pour toute réservation à la semaine !

mardi 23 août 2011

Pourquoi je n’ai pas acheté cette place de parking en concession ?

Je parlais dans cet article début juillet de l’affaire sur laquelle j’étais tombé, une place de parking plein centre ville à 2500€ !

Oui mais une place d'un parking public, vendue en concession, dont la pleine propriété reviendra à l’exploitant Vinci en 2022.

Toutefois, en y regardant de plus près, le rendement pouvait sur le papier s’avérer être excellent sur les 10 à 11 années restantes.

L’information critique à avoir était la valeur locative d’une telle place de parking. Pour une fourchette de loyer de 50 à 100€, le rendement pouvait passer de 1% à plus de 20%...


J’ai donc essayé d’estimer la valeur locative réelle :

1ère info : le prix de l’abonnement mensuel auprès de l’exploitant Vinci Park : 77€. 77€ pour bénéficier de l’entrée gratuite, mais sans place attitrée, donc dans la limite des places disponibles. Aucune garanti de pouvoir y trouver une place. Et je sais par expérience que le midi en semaine, le parking est plein.

Et de mon point vue, avoir une place privative est un plus qui a une certaine valeur.

Je suis donc parti de ce constat pour tester la demande…

jeudi 7 juillet 2011

Investir (ou non) dans une place de parking en concession à 2500€ ?

Dans le but de rester au contact du marché immobilier de ma région et notamment de la ville dans laquelle j’ai réalisé mon premier investissement locatif, je me suis paramétré depuis quelques semaines des alertes sur le pap.fr et seloger.fr. Je jette aussi régulièrement un œil sur leboncoin.fr, le site de petites annonces gratuites très en vogue actuellement sur lequel malheureusement on ne peut pas programmer d’alertes.

Et justement, c’est sur ce dernier site que je suis tombé sur une annonce très alléchante qui m’a fait pas mal cogité ces derniers jours:

Une place de parking en plein centre ville, dans un parking souterrain, vendu 2500€ !

Je connais très bien ce parking, il est toujours plein en journée, je n’essaye même plus de m’y garer.

J’ai relu l’annonce à 2 fois, il devait y avoir une erreur, il manquait peut-être un 1 devant le 2… je n’avais pas encore vu de prix affiché de parking ou de box à seulement 4 chiffres (dans ma ville). Investir dans un parking offre souvent une meilleure rentabilité qu’un bien d’habitation, mais là ça semblait énorme…

L’annonce datait de quelques jours et, à ce prix, j’étais convaincu que la place de parking était déjà vendue, depuis bien longtemps...

Mais non elle est toujours à ce jour en vente ! L’annonce date d’il y a un mois.

Parce qu’il y a bien une subtilité ! Pas d’erreur dans le prix de vente, mais plutôt dans le type de vente…


Une place de parking en concession

Cette place de parking est en fait en concession par l’exploitant du parking, Vinci Park, jusqu’en 2022… ça signifie que Vinci récupère la pleine propriété en 2022.

lundi 4 juillet 2011

Objectif zero vacance locative ! malgré le départ de mon locataire...

Je loue mon studio depuis maintenant un an et demi, et mon 3ème locataire vient de m’envoyer son préavis de départ. Le préavis d’une location meublée comme la mienne est de seulement 1 mois. Mon locataire, qui est aussi un collègue, m’avait toutefois déjà prévenu un peu plus tôt de ce départ probable.

Comme évoqué dans ce comparatif location meublé VS location nue, la rotation plus fréquente des locataires est généralement l’un des inconvénients du meublé. Contrebalancé par un loyer supérieur et certains atouts fiscaux. Pas si évident de conclure sur la solution la plus rentable. Personnellement, j’attends d’avoir un recul d’au moins 2 années de location pour décider si je change ou non de mode de location.

C’est dans ce genre de situation que je vois les bénéfices de la gestion en direct (d’autres y verront des soucis…), d’une part la possibilité d’être plus réactif et d’autre part, d’éviter de supporter des frais de changement de locataire. Mais bien sûr il faut y mettre un peu du sien.


La bête noire de l’investissement immobilier : les vacances locatives !

Un départ de locataire correspond à un risque de perdre quelques semaines ou mois de loyers, ce qui ampute sévèrement le rendement locatif et la possibilité d’avoir un bien locatif autofinancé.

En 2010, 1 mois de demi de vacance locative avaient limité mon autofinancement, 90€ manquant par mois. Cette année, mon objectif est de faire mieux !

Ce que je prévois donc de faire :

jeudi 16 juin 2011

Comment obtenir un investissement locatif autofinancé ? Partie 2 : réduire les frais

Dans le but d’obtenir l’autofinancement de son placement immobilier, on a vu dans cet article différentes solutions pour améliorer les revenus de son investissement locatif, voyons à présent le 2ème aspect tout aussi important, réduire les frais, où il y a encore davantage de choses à considérer.

Comment réduire les dépenses induites par son investissement immobilier locatif ?

1 _ Réduire les charges de copropriété non récupérables auprès du locataire: à discuter lors des réunions de syndic, il faut être moteur, proposer des alternatives aux autres copropriétaires, etc…Par exemple, les frais de gérance, remplacer son syndic professionnel par un syndic bénévole, notamment pour les petites copropriétés. Ou encore pour l’installation d’interphones ou le changement des boites aux lettres (2 sujets en cours de discussion au sein de ma copropriété...), pousser le syndic à rechercher la solution la plus économique !

2_ Gérer son bien en direct : ne pas passer par une agence pour la gestion locative, et ainsi éviter les honoraires de changement de locataire en particulier.

lundi 17 janvier 2011

Simplifier sa gestion locative et améliorer la rentabilité au moyen d'une visite virtuelle

En prévision d’un futur locataire à trouver très probablement dans les prochains mois, j’ai commencé à m’exercer à la vidéo pour créer une petite visite virtuelle de mon studio (voir en fin d'article). Ça se fait de plus en plus pour les ventes, je pense que ça peut avoir plusieurs intérêts pour la location également:
  • Avoir un peu plus d’impact et se démarquer des autres annonces, augmenter ainsi le nombre de personnes qui peuvent porter leur intérêt sur mon bien.On peut penser que ça permet de louer plus vite.
  • Améliorer le « taux de conversion » des personnes intéressées : on visualise nettement mieux un appartement au travers d’une vidéo que sur des photos, on a une meilleure compréhension de l’agencement, de l’espace, de l’aménagement… on peut être séduit par une photo qui ne donne qu’une vue partielle, et finalement être déçu une fois que l’on a l’image globale, lors de la visite réelle. Avec la vidéo, on limite le risque de déception. On peut s’attendre peut-être à moins de demandes de visites, mais des visites plus ciblées de personnes qui savent déjà parfaitement à quoi s’attendre. Au final, ça se traduit par un gain de temps.


mercredi 20 janvier 2010

Quoi vendre sur Ebay ?

Vendre sur Ebay peut devenir pour certains une activité professionnelle à part entière, où en tout cas une seconde activité (en auto-entrepreneur notamment). L’inconvénient est de devoir supporter des frais Ebay importants mais en contre partie on a le bénéfice de profiter d’une plateforme de e-commerce qui draine des millions de personnes dans le monde. Donc pas d’énergie dépensée à essayer d’améliorer le référencement de son site personnel de e-commerce sur google…

Mais sans aller jusque là, en tant que particulier, c’est un moyen simple efficace de rentabiliser ses vieux objets, pour un temps à y consacrer assez limité (Prendre des photos, rédiger les annonces, faire les colis et les poster).

Toutefois, je ne vends personnellement rien à moins de 7€ (hors frais de port). Si j’ai besoin de descendre mon prix en dessous, je considère que ça ne justifie plus le temps que j’y passe. Mon temps sera sûrement plus précieux pour autre chose. Pour les petites choses à faible valeur, je fais des lots.

dimanche 17 janvier 2010

Vendre sur Ebay : attention aux frais !

Depuis quelques années, j’ai l’habitude de vendre régulièrement sur Ebay (en mode enchères) les objets dont je n’ai plus. Besoin. Je met de coté ce qui me parait avoir un peu de valeur et 3 ou 4 fois par an, je relance une série de mise en vente. C’est que j’ai voulu faire récemment et j’ai découvert qu’Ebay impose désormais aux vendeurs d’autoriser le mode de paiement par paypal ! Jusqu’à présent, je n’utilisais que le paiement par chèque et ça me convenait très bien. Encore une petite contrainte de plus et surtout des frais supplémentaires si mes acheteurs décident de me payer par paypal.

Ca m’a donc donner l’idée de regarder de plus prêts les frais que m’avait débités Ebay pour mes ventes en 2009 et quelle aurait été la situation si j’avais tout vendu par paypal.

Et bien c’est loin d’être négligeable. En 2009, j’ai vendu 68 objets pour un total de 1271€ (hors frais de port), une grosse année avec notamment beaucoup d’articles de puériculture. Mais Ebay prend des frais.
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