Vivre en Suisse, 10 mois plus tard: une capacité d’épargne triplée !

Je vous avais parlé d’un ami qui est parti s’expatrier en Suisse il y a maintenant plus de 10 mois afin d’y travailler. Il vous racontait dans cet article son expérience après 6 mois sur place. Il y été très satisfait à tout point de vue, mais il lui fallait un peu plus de temps pour commencer à faire un premier bilan comptable de sa situation.

C’est ce qu’il a fait depuis, après de 10 mois sur place. 

Dans le tableau suivant, la comparaison est exprimée en pourcentage du salaire net. Par exemple, en Suisse, le poste logement de son budget représente 25% de son salaire net « suisse ». En France, c’était également 25%, mais 25% de son salaire net « français ». Même proportion mais pas la même valeur absolue.

Son salaire net est 2 fois (2,05 fois exactement) plus élevé qu’en France.

S’expatrier en Suisse pour travailler, un bon plan ?

Je vous propose dans cet article, l’interview d’un ami qui a décidé depuis 6 mois de s’expatrier en Suisse pour démarrer une nouvelle vie professionnelle, et surtout une nouvelle vie tout court ! J’étais curieux de faire un premier bilan avec lui, financièrement parlant bien sûr, mais aussi plus globalement. Et à priori il n’est pas prêt de revenir sur Paris ! N’hésitez à pas laissez vos commentaires et questions, il essayera de vous répondre au mieux !

Comment as-tu trouvé ton nouveau job ?

Sur un site d'offre d'emplois Français, Cadremploi.

Maintenant j'entends beaucoup parler de http://www.jobup.ch/ ici, et les sites d'offres d'emplois Suisse sont assez faciles à trouver sur le net.

As-tu senti qu’il était facile pour un étranger de postuler à un emploi en Suisse ?

Pour être franc, jusqu'ici j'ai eu la chance de trouver du travail assez facilement en France lorsque j'en ai ressenti le besoin. De ce point de vue, la difficulté ne m'a pas semblé particulièrement plus importante en Suisse.

Je pense même que ça peut dans certains cas être plus facile en Suisse, étant donné :

1- Le faible taux de chômage de la région (de l'ordre de 3% / 4% )

2- Le niveau de salaire moins important requis par un travailleur Français.

3- Le bon niveau de qualification qu'ont en moyenne les travailleurs Français