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jeudi 8 avril 2021

L'équation que vous devriez abolument apprendre à vos enfants


Peut être faites-vous encore l’école à la maison à l’occasion de ce 3ème confinement ?

Parfait, ça va être l’opportunité de s’attaquer à l’une des lacunes de l’enseignement en France, les finances ! Il y a quelques notions de base qui devraient faire partie de la culture générale. Un minimum de connaissances sur l’argent, le budget, les emprunts, les dettes, le rendement, les intérêts… bref, des sujets auxquels on est régulièrement confronté et que malheureusement l’école n’aborde quasiment pas.

La plupart des conseillers bancaires, au mieux, vous prennent de haut, surtout si votre compte bancaire n’est pas très rempli.  Si après quelques minutes de discussion, ils se rendent compte que vos connaissances en la matière sont plus pointues que les leurs, ça change la donne. Le contrôle change de main ! Et vous saurez très vite repérer une tentative de placement de produit de la part de votre banque, plutôt qu’une solution optimisée à vos besoins.

Ne pas oublier que la banque est surtout là pour faire de l’argent sur votre dos, en s’appuyant bien souvent sur le manque de connaissance de leurs clients. C’est tout à fait normal que le service rendu soit facturé (un prêt d’argent pour un projet immobilier par exemple) mais vous devez être en mesure de comprendre les propositions faites et les challenger.

Donc de manière générale, aider vos enfants à acquérir une certaine compréhension de l’argent et de tout ce qui s’y associe sera un vrai atout pour eux, quelque soit leur voie.

Je suis tout de même tombé récemment sur quelques exercices de mathématiques prenant le domaines des finances comme exemple concret. Déjà du mieux par rapport à mon époque !

Avec notamment un exercice relatif aux pourcentages.  Un investisseur achète des actions en bourse. Son capital initial croit de 30%.  Quel pourcentage de baisse de la bourse lui fera revenir à son capital initial ? Non ce n’est pas 30%... c’est seulement 23% !

Et puis surtout un autre amenant l'élève à démontrer la formule des intérêts composés !

J'imagine que la plupart des élèves referment rapidement leur cahier une fois l'exercice terminé et retournent sur leurs jeux videos. 

Et pourtant, il serait probablement très utile de prendre quelques minutes pour interpréter cette équation qui pourrait bien changer leur vie !

La voici : 

dimanche 19 juillet 2020

Finances personnelles : résister au coronavirus !

La crise du COVID-19 a le mérite de nous rappeler que rien n’est jamais acquis, que même que lorsque tous les signaux sont au vert, tout peut changer très vite.

Même si de pour de nombreux scientifiques, une pandémie telle que celle que l’on vit avec le coronavirus était inévitable, la probabilité reste faible à l’échelle d’une vie humaine et forcément ce n’est pas le risque contre lequel on se prépare le plus.

Mais l’improbable est arrivé et de nombreuses personnes dans le monde sont et seront touchées. L’épidémie n’est pas terminée, et les mois seront encore très longs avant de pouvoir revivre normalement, en toute sécurité, et pouvoir commencer à sortir de la crise économique et sociale qui nous attend.

Tout le monde s’est probablement réjoui un peu vite de la fin du confinement, Il faut malheureusement craindre à présent une seconde vague. Et même si par miracle la France était épargnée, nous continuerons à être impactés, dès lors que le virus continue à circuler dans d’autres pays. Impossible d’imaginer relancer notre économie et limiter les licenciements si le monde entier ne sort pas de la crise. L’économie est trop mondialisée et ça ne changera pas, ou pas assez, soyons réaliste.

Toute l’économie est liée. Bien sûr certains vont subir la crise du COVID-19 encore plus fortement que d’autres : le tourisme, l’événementiel, l’aéronautique…

Mais en période de forte incertitude, personne n’est capable de planifier à 6 mois ou à 1 an, la stratégie de plupart des entreprises est la même, limiter les dépenses et préserver du cash pour survivre. Tous les investissements non indispensables sont gelés. Ce qui veut dire, des commandes réduites pour tous les fournisseurs. Bien sûr, la pression est mise sur les commerciaux pour récupérer un maximum de commandes…mais les clients sont dans la même situation, pas de budget à court terme…on attend de voir ce qu’il va se passer.

Dans ma société, pour le moment, peu de licenciements (uniquement dans les pays où on peut se passer de longs et couteux plans sociaux), mais pas mal de chômage partiel et une baisse de salaire temporaire (6 mois) « proposée » aux cadres sur la base du volontariat. Evidemment, il est bien vu d’être volontaire, pour montrer sa solidarité avec l’entreprise.

Tout ça alors qu’il y a quelques mois, tous les secteurs d’activité battaient des records. Impressionnant de voir à quelle vitesse, la situation peut entièrement se retourner.

Côté investissements personnel, c’est la même chose. Depuis plus de 3 ans, je profitais d’une vraie tendance de fond, le tourisme international en constante croissance, pour exploiter de manière très bénéficiaire ma location saisonnière via Airbnb.

Du jour au lendemain, tout s’est arrêté. Le coronavirus a obligé le monde entier à se confiner, fini les petits week ends, les voyages à l’étranger et même les déplacements professionnels.
Comme pour beaucoup d’entreprises, les charges sont restées, mais les recettes sont tombées instantanément à zéro.

Je n’avais pas du tout anticipé cette possibilité. Plus de 3 ans d’historique, répétable, stable, un calendrier déjà très bien rempli pour l’année 2020, je partais donc sur une 4ème année consécutive identique aux premières en termes de revenus, dans les 17000€. A ce jour, je suis dans les 9000€ sur l’année, et je commence à redouter une fin d’année difficile. (J’ai notamment une réservation de 700€ d’un groupe d’Afrique du Sud pour début Octobre qui sera probablement annulée étant donné la situation de l’épidémie dans ce pays…). Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle fermeture des frontières.

Et pourtant je me disais que cet investissement était forcément pérenne, durable. En effet, les trois quart des voyageurs réservent mon Airbnb pour un objectif précis, venir faire de l’escalade dans la Forêt de Fontainebleau dont les rochers ne sont pas prêt de bouger !

Donc rien n’est acquis, il faut être prêt à amortir ce type de choc.

L’épargne de précaution

mercredi 16 avril 2014

Le meilleur placement pour un débutant

Cet article participe au carnaval d'articles “Que conseilleriez-vous à un débutant qui veut commencer à placer son argent ?” organisé par Marc du blog MieuxGererSonArgent.com.
Retrouvez les réponses d'autres blogueurs en cliquant-ici.


On pourrait évidemment lister beaucoup de bons conseils à donner à un jeune qui commence à avoir un peu d’argent à placer : en premier lieu se bâtir une petite épargne de précaution pour les coups durs, ne pas s’endetter pour des biens de consommation, prendre date en ouvrant un PEA ou une assurance vie…

Bref, tout ça c’est très bien, ce sont certainement de bonnes pratiques, mais l’impact restera limité.

Au delà de la recherche du meilleur placement, il y a un principe qui peut faire merveille à long terme…auquel tout le monde devrait être sensibilisé, un concept de base qu’Einstein appelé semble-t-il la 8ème merveille du monde !

Il s’agit des intérêts composés.

Soyons réaliste, peu de personnes auront la discipline de s’y tenir. Mais encore faut il avoir déjà pris conscience du pouvoir d’enrichissement offert par ces intérêts composés.

Ensuite, à chacun de se prendre en main pour la mise en œuvre !

A titre personnel, même si j’ai eu toujours eu de bonnes habitudes budgétaires ou d’épargne, je sais à présent que j’ai commencé trop tard, que j’ai perdu probablement une dizaine de précieuses années.

Comprendre que le temps joue en notre faveur et savoir estimer à quel point est une connaissance clef, qu’il faudrait éduquer aux plus jeunes. Ils ne vivront pas plus riche, mais pourront passer une retraite paisible, quelques soient les réformes à venir...

Qu’est-ce que les intérêts composés ?

C’est simplement le fait que l’argent que l’on place génère des intérêts, qui eux même généreront des intérêts supplémentaires l’année suivante. 


lundi 16 décembre 2013

Mon indépendance financière fin 2013

Je ne vais pas faire un point détaillé de toute l’évolution de mon patrimoine ou de mes revenus passifs depuis un an, comme j’ai pu le faire les années précédentes.  Je vais plutôt essayer de prendre un peu hauteur sur ma situation actuelle et essayer de me projeter dans l’avenir. 
 
Avec un objectif, définir ce qu’il faut que je fasse dans le années à venir…

Pourquoi davantage d’indépendance financière ?

Dans mon cas personnel, il ne s’agit pas de quitter mon boulot le plus rapidement possible. Oui je suis salarié, mais j’aime mon travail,  intéressant, motivant,  parfois un peu stressant, mais gérable.  
Ceci dit, il y a 2 choses qui me poussent à gagner en liberté financière :

1 _  Être libre de prendre ma retraite je jour où je le souhaiterai. S’il faut que je cotise 43 années, ça m’amène à 67 ans…ça me semble un peu tard.

2 _ Je ne suis pas naïf, je sais très bien que personne n’est à l’abri et que je pourrais très bien être licencié à n’importe quel moment. (pas encore de rumeur de plan social, j’ai donc encore au moins 6 mois de visibilité J)

Pour ces 2 raisons, je veux pouvoir m’appuyer sur d’autres sources de revenus que mon simple salaire, des revenus passifs et alternatifs.


Ma situation actuelle

Pour faire simple, j’ai résumé ma situation fin 2013 dans le schéma ci-dessous : En gros dans une dizaine d’années, si je poursuis ma feuille de route actuelle, je pourrai dégager 1000€ de revenus net, passifs, par mois.
Cliquez pour zoomer !
Je vais tout de même détailler un peu :

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