jeudi 25 juillet 2013

Bien acheter sa maison

C’est toujours un exercice difficile. Au début on est plein d’enthousiasme, on visite pour voir, pour se faire une idée de ce que l’on peut avoir pour son budget, on veut prendre son temps. Ce sont les premières visites sans pression. 

Puis les visites s’enchainant, les interrogations commencent à arriver, surtout si on a commencé à voir un ou 2 logements intéressants. Il va falloir un jour prendre une décision, passer l’acte ou non…

Et là, il y a 2 grands sujet de réflexion:

Faut-il se lancer pour cette maison qui nous plait, même si elle ne répond pas à 100% des critères initiaux ? ou bien faut’il attendre encore un peu, continuer à visiter au risque que cette maison nous passe sous le nez ?
Et parallèlement, cette maison est-elle au bon prix ? de combien peut-on (ou faut-il) négocier ?


Attention au coup de cœur

Tant que rien ne vous plait, tout va bien…pas de questions à se poser !

Mais à partir du moment où on a visité une maison dans laquelle on se verrait bien vivre, tout se complique. Ce logement devient alors la référence, le point de comparaison pour les prochaines visites.

Pire encore, en cas de coup de cœur pour un bien, le risque est grand de se précipiter et d’en oublier le prix !

Je pense qu’il est essentiel de prendre son temps, en toute circonstance, même si c’est cette maison que l’on veut. Au final ce temps permettra de souvent mieux négocier le prix d’achat.

Voilà le récit de mon expérience récente, qui m’a conduit à acheter ma résidence principale.

mercredi 17 juillet 2013

Mon indépendance financière en péril ?

On va déjà commencer par un rappel de ma situation.

Il y a un peu plus d’un an, je revendais ma résidence principale, ma maison. L’idée était de déménager à proximité de mon boulot, m’écarter un peu plus de la région parisienne et ainsi gagner en qualité de vie.   

Et dans l’optique de pouvoir prendre le temps de bien vendre et de peut-être de bien racheter plus tard, j’avais décidé de devenir locataire, une maison au loyer de 1200€, un montant inférieur à mes mensualités de crédit avant revente.

Le bilan de cette opération 

Il a été très bon :

J’ai récupéré  lors de cette vente de ma résidence principale un capital important de 158 500€. (une petite partie investie sur mon PEA et sur mon Assurance Vie et une autre partie dépensée dans une nouvelle voiture). 

Le reste a été placé aussi bien que possible, mais dans le but de conserver cet argent disponible

D’autre part, durant cette année, j’ai naturellement dégagé plus d’épargne : moins d’essence, moins de frais automobile, un coût de logement mensuel moindre (même si évidemment je n’ai pas remboursé de capital), moins d’impôts locaux et fonciers à venir. 

Et enfin surtout, j’y ai gagné un vrai confort de vie ! Dingue ce que l’on peut faire avec une heure de plus par jour ! Le temps passé sur la route n’était pas réellement productif…

jeudi 11 juillet 2013

Offre de rachat de prêt immobilier, que feriez-vous ?

J’ai reçu il y a quelques jours une question de la part d’un lecteur dont je voulais vous faire part : un prêt immobilier à racheter qui pourrait lui offrir de nouvelles possibilités.

Un cas de figure très intéressant, sur lequel j’aimerais votre avis sur la meilleure option à choisir selon vous.

Le contexte

La situation de mon lecteur: 39ans, marié, 3 jeunes enfants, revenus stables du couple de 4100 € par mois + 450€ d'allocations.

Non imposable pour le moment grâce à la déduction de frais de garde (mais ça ne durera plus très longtemps…).

Avec donc un crédit pour sa résidence principale de 975€ par mois, 13 années restantes, soit encore 112500 € de capital à rembourser.

Le prêt immobilier a été souscrit il y a 7 ans, sur 20 ans, au taux de 3,80%.


Les propositions de rachat de crédit

mercredi 3 juillet 2013

Point Bourse : bien gérer son PEA en attendant la baisse

C’est le début de l’été et comme prévu (le « sell in may and go away »…), la bourse a rebaissé ces dernières semaines, le CAC 40 revenant à 3600 points après avoir dépassé les 4000.

Avec notamment une journée bien rouge, le jeudi 20 juin, avec la plus forte baisse de l’année, -3,66%.

Mais j’attends encore mieux !

Tout n’est pas encore bradé. Exception faite de quelques un de mes titres, France Telecom (Orange à présent), GDF Suez ou ABC Arbitrage, bien dans le négatif, les autres sont quasiment tous positifs.

Etat au 1er juillet 2013

Pas de quoi encore se ruer à l’achat comme durant l’été 2011 et son crack boursier, les bonnes opportunités d’achats de nouvelles actions à des prix de revient inférieurs restent limitées.
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