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jeudi 11 juillet 2013

Offre de rachat de prêt immobilier, que feriez-vous ?

J’ai reçu il y a quelques jours une question de la part d’un lecteur dont je voulais vous faire part : un prêt immobilier à racheter qui pourrait lui offrir de nouvelles possibilités.

Un cas de figure très intéressant, sur lequel j’aimerais votre avis sur la meilleure option à choisir selon vous.

Le contexte

La situation de mon lecteur: 39ans, marié, 3 jeunes enfants, revenus stables du couple de 4100 € par mois + 450€ d'allocations.

Non imposable pour le moment grâce à la déduction de frais de garde (mais ça ne durera plus très longtemps…).

Avec donc un crédit pour sa résidence principale de 975€ par mois, 13 années restantes, soit encore 112500 € de capital à rembourser.

Le prêt immobilier a été souscrit il y a 7 ans, sur 20 ans, au taux de 3,80%.


Les propositions de rachat de crédit

lundi 17 juin 2013

Loi Duflot et étude de cas pour investissement personnel

Pour faire suite à l’article invité précédent sur l’investissement dans l’immobilier neuf, j’ai voulu regarder ce que donnait un cas concret dans ma ville. Un investissement dans le neuf selon la « loi Duflot ».

Je précise que je suis personnellement dans une situation où je pourrais tirer pleinement profit du gain fiscal engendré.

Sur le principe, je suis donc un bon candidat pour ce type d’investissement. Une idée qui a germé dans mon esprit suite à ma dernière déclaration de revenus


Alors, en y regardant de plus près, qu’en est-il vraiment ? l’immobilier neuf est-il toujours une piste pour moi ou vais-je définitivement resté focalisé sur l’ancien ?


Les bénéfices et les contraintes de la loi Duflot

Avant tout, petit rappel sur les grandes lignes de la loi Duflot, qui a remplacé la loi Scellier au 1er janvier 2013.

Le gain attendu est le suivant : une réduction d’impôt sur le revenu, d’un montant égal à 18% du montant de l’investissement, étalée de manière linéaire et égale sur une période de 9 ans.

En clair, il s’agit donc d’une aide pour financer le logement mais sur une durée limitée à même pas la moitié d’un prêt classique de 20 ans. Mais bon, à voir...

mercredi 12 juin 2013

Investir dans l'immobilier neuf plutôt que dans l'ancien ?

Je voulais au travers de cet article parler de l’investissement dans l’immobilier neuf. Je n’ai aucune expérience dans le domaine à titre personnel, et j’irais même plus loin, je ne m’y suis jamais intéressé…peut-être parce que le neuf coûte à l’achat généralement 20% à 30% de plus que l’ancien !


Et pourtant, certaines études montrent qu’au bout du compte (à l’issue du prêt), c’est l’inverse ! Entre autres grâce aux solutions de défiscalisation…

Investissement peut-être plus rentable, moins d’impôts…alors ai-je eu tort de dénigrer le neuf ?

Je vous laisse lire ci-dessous l’avis de Laurent, une personne qui défend fermement l’immobilier neuf, vos avis et expériences en la matière sont évidemment les bienvenus !


  – 20% au départ pour l’ancien, mais…. +14% à l’arrivée

Olivier merci dans un premier temps pour votre invitation. Et de me permettre de développer une vision qui va à l’inverse de ce que l’on peut avoir naturellement en tête « je paie plus cher l’immobilier neuf, et pourtant, il me coûte moins cher à l’arrivée » !!!

Car c’est tout à fait exact : l’immobilier ancien, à données de surface habitable, d’emplacement et de niveau de standing comparables, est moins cher que le neuf de l’ordre de 20%.

Mais dans le cadre d’un investissement immobilier, il parait important d’analyser cet écart dans la durée : c’est un support qui doit produire des fruits et que l’on doit veiller à maintenir avec une certaine attractivité, sous peine de voir ces fruits s’étioler voire... disparaître.

Pour notre exemple, nous partirons d’un appartement neuf acheté 200.000 € et un bien comparable, en ancien, acheté 160.000 € ; l’un comme l’autre avec un financement sur 20 ans.

Et observons l’évolution, en 7 étapes, que va connaitre cet écart.

mardi 4 juin 2013

Nouveau bail de location meublé et nouveau service payant pour mon locataire !

Ceux qui n’ont pas d’expérience d’immobilier locatif retiennent souvent les vécus malheureux de certains bailleurs qui n’ont pas eu la chance de tomber sur de bons locataires.

Et pourtant des bons locataires, ça existe !

J’en ai un depuis septembre 2012, ok il est Allemand…étudiant en MBA. Mais je ne suis probablement pas près d’en retrouver un aussi bon !

Après avoir passé la fin d’année 2012 dans le studio, de Septembre à Décembre, Michael est parti les 4 premiers mois de 2013 à l’étranger poursuivre sa formation, puis il est revenu pour la terminer en France, pour 2 mois.

Je l’ai déjà évoqué, non seulement, il avait investi dans un lit, qu’il me laissera gratuitement, mais il avait en plus trouvé une autre étudiante pour le remplacer durant ses 4 mois d’absence. Aucun jour de vacance locative, sans quasiment le moindre effort de ma part !

Il est donc de retour depuis début mai, et avant de partir définitivement, il m’a à nouveau facilité la vie.

D’une part, il a souhaité prolonger jusqu’au 16 juillet. Parfais pour moi, 16 jours de location supplémentaires, dans une période toujours délicate pour trouver preneur.

Et d’autre part, il a accepté de me donner un coup de main pour trouver un autre locataire étudiant. Je lui ai fourni mon annonce en fichier .pdf (avec quelques photos) qu’il a publié sur l’Intranet et le compte Facebook de l’école.



Un nouvel étudiant Indien

jeudi 23 mai 2013

Immobilier locatif : quel type de bien acheter pour louer ?

Je vais continuer à investir dans l’immobilier dans les années à venir, c’est une certitude.

Peut-être que je dupliquerai mon 1er achat, un studio (raison pour laquelle je suis régulièrement l’évolution de ce marché dans ma région), mais finalement le choix du type d’investissement immobilier est bien plus vaste. Un projet réussi est un projet bien préparé, il est donc préférable avant de se lancer à nouveau de regarder les différentes possibilités, en voici quelques-unes…

Et parmi elles, 3 m’intéressent plus particulièrement (en solution alternative au studio !)


Le studio

Un sujet que je connais donc assez bien avec l’investissement que j’ai fait il y a bientôt 4 ans.

Pour ce type de petit appartement, en particulier pour ceux situés en centre-ville ou dans les quartiers étudiants, la demande locative est généralement très forte.

La rentabilité est souvent assez élevée, en raison d’un prix d’achat limité, mais aussi surtout quand on en tire un très bon loyer en louant ces logements en meublé. Je pense que c’est le type d’appartement qui s’adapte le mieux au meublé, étant donné la surface limitée mais aussi étant donné les candidats locataires, jeunes actifs ou étudiants, davantage intéressés par ce type de service.

Je loue typiquement 25% plus cher que les mêmes studios de ma copropriété loués vide.

Le soucis principal vient de la durée d’occupation, souvent assez courte. Plus de changement de locataire, un plus grand risque de vacance locative donc et un travail de gestion locative plus important.


Les appartements plus grands, F2 ou F3

mardi 23 avril 2013

Investissement locatif : les prix de l’immobilier et la rentabilité locative autour de chez moi

Il parait que l’immobilier commence à baisser ! Bonne nouvelle en tant qu’investisseur mais est-ce que ça baisse réellement là où je vis et où j’investis ?

Comme expliqué dans cet article, j’ai toujours en projet, peut-être pour cette année, d’acquérir un 2ème bien immobilier locatif.

Ma première expérience, mon studio meublé, est pour le moment très concluante. Aucun soucis de gestion locative, un bon rendement net de 6,64% en 2012 et à priori quasiment aucun impôt à partir de 2014.


Donc forcément, un projet sans risque serait de dupliquer le même investissement : un studio loué meublé dans la même ville, au sud de la région parisienne.


Les prix de l’immobilier dans ma ville

La rentabilité d’un investissement locatif et donc son niveau d’autofinancement dépend essentiellement de 2 choses :

  • Le prix d’acquisition global : achat + notaire + travaux + meublé + frais divers (dossier, garantie..)
  • le loyer perçu

Ensuite bien sûr, pas mal de points peuvent impacter le rendement : la vacance locative, les frais de copropriété, etc…

Mais dans un premier temps, les 2 premiers points suffisent. J’ai donc regardé ce qui se vendait aujourd’hui (seloger et le bon coin), j’ai sélectionné les biens intéressant par leur emplacement, et j’ai estimé leur rentabilité brute.

Voici donc les 7 appartements sélectionnés, 5 studio et 2 F2, et leur prix de vente actuel.

mercredi 3 avril 2013

Interview de l’auteur du livre « S’enrichir grâce à la location saisonnière »

J’ai déjà fait référence à plusieurs reprises à cet excellent livre de Ludovic Matten, passé en revue ici, qui m’a permis de comprendre puis de lancer le processus pour payer nettement moins d’impôts sur mes revenus locatifs dans les années à venir !

Voici donc ici une petite interview de Ludovic :


Ludovic, pourquoi as tu écrit ce livre sur la location meublée, saisonnière en particulier, comprenant des astuces pour mieux louer, des interviews d'experts, de nombreux récits de propriétaires et une partie fiscale importante.

"Dans la vie de tous les jours, je suis journaliste. J'aime écrire, raconter de belles histoires, faire partager ces histoires. En début d'année dernière, j'ai créé un blog sur l'immobilier, une de mes passions (passion-locatif). Petit à petit, au fil des semaines, a germé l'idée de coupler ces deux passions : l'écriture et l'immobilier. En tant que journaliste, on a toujours l'objectif, ou le rêve pour certains, d'écrire un bouquin et d'être édité. Je me suis donc attelé à la tâche, souhaitant finaliser un produit de qualité."


Pourquoi ce thème de la location saisonnière ?

lundi 25 mars 2013

Ma déclaration Poi de Loueur en Meublé Non Professionnel

Ca y est ! Je suis à présent en règle, je me suis fait connaitre des services fiscaux en déclarant mon activité de location meublée non professionnelle (LMNP).

Une obligation légale, souvent oubliée, qui présente un surtout un réel bénéfice pour la rentabilité de mon investissement locatif :

Pouvoir choisir le régime fiscal BIC réel simplifié, permettant l’amortissement de son bien, et ainsi annuler ou au moins fortement réduire les impôts que je paye sur les recettes locatives, en déduisant plusieurs milliers d’euros supplémentaires par an.

Toute une démarche que j’ai découverte en détail dans le bouquin de Ludovic Matten. (passé en revue dans cet article).

Pour suivre ses bons conseils et lancer le processus, j’ai trouvé en début d’année une expert-comptable familière de ce type de déclaration fiscale. Elle se chargera du calcul de l’amortissement de mon logement et de mes prochaines déclarations en BIC réel simplifié donc (les formulaires 2033 et 2031). Des frais déductibles des revenus locatifs.

Mais avant tout, il me faut un numéro SIRET, la déclaration officielle de loueur en meublé non professionnel.


Le formulaire POi

jeudi 14 février 2013

Interview d’Elise Franck

Vous avez surement déjà entendu parler d’Elise Franck, cette jeune femme qui s’est fait connaître en écrivant le livre « Comment je suis devenue rentière en 4 ans » ! Un bouquin qui a servi de déclic pour moi (avec la crise de 2008 pendant laquelle j’ai senti qu’il était temps de se prendre en main…) : Je l’ai lu durant l’été 2009, 2 mois avant d’acheter mon premier studio et me lancer dans l’investissement immobilier, en location meublée.


Mais j’ai découvert qu’Elise Franck est aussi depuis la fondatrice de « Elise Franck Conseil », société présente à Paris, Lyon et désormais sur Marseille. Cette société (www.elise-franck.com) est spécialisée dans la mise en place de projets d’investissement immobilier dans l’ancien et le meublé. Un service proposé sous forme de package : sélection d’un produit, aménagement, home staging et location.

J’ai eu envie d’en savoir un peu plus et j’ai pu lui poser quelques questions.

Avant de commencer, regardez d’abord ci-dessous cet exemple de réalisation assuré par Elise Franck Conseil, à Levallois, rue Edouard Vaillant :

vendredi 8 février 2013

Comment déclarer ses revenus locatifs : les différents types d'imposition en location vide et meublée


Plus que quelques mois avant la déclaration de ses impôts, et bien que les choses se soient un peu simplifiées avec les formulaires pré-remplis pour les revenus salariés, déclarer les revenus issus d’un investissement locatif reste souvent un vrai casse-tête.

Je commence à y voir désormais un peu plus clair sur la fiscalité, même si je dois bien reconnaître avoir fait des erreurs au départ

Je vous propose donc ici, en une page, un petit résumé des points qui me paraissent essentiels:

  • Les 2 catégories selon son type de bail, vide ou meublé.
  • Puis les choix à faire : « micro » (foncier ou BIC) avec abattement, ou imposition au réel.


Vous pouvez également télécharger le document au format .pdf. en cliquant ici (clic droit, enregistrez la cible sous…)

lundi 28 janvier 2013

Pourquoi Julien a acheté 54 garages en un an ?

Aujourd'hui, je vous propose le témoignage de Julien, qui a trouvé sa voie dans un investissement immobilier de niche, les parkings.

Comment générer des revenus locatifs sans certains inconvénients de l'immobilier de logement...





Avec la crise, toi comme moi avons besoin de créer de nouveaux revenus pour maintenir notre niveau de vie. Le pouvoir d'achat diminue chaque année depuis 30 ans. Les salaires augmentent moins vite que les dépenses, c'est un fait. Pour me prémunir contre la baisse de mon pouvoir d'achat, j'ai décidé de m'enrichir avec l'immobilier.
Avant, je plaçais mon épargne sur mon livret A, un Livret Développement Durable, un Plan Epargne Logement et un Compte Epargne Logement. Ces livrets à taux garantis, mais bas, ne peuvent pas lutter contre l'augmentation des prix. Par exemple, si les prix augmentent de 2 % et que le livret A est à 2,25 %, mon capital n'augmente que de 0,25 %. Ce n'est pas cela qui va t'enrichir ! Pour s'enrichir et faire travailler ton argent, il faut donc trouver un autre véhicule qui rapporte plus que l'inflation.
Si tu trouves un placement qui te rapporte 5 % net, alors ton argent croit plus vite que l'inflation. J'ai trouvé en 2012 comment faire travailler mon argent. Les garages ont été une révélation pour moi.

 

Comment Julien a découvert l'investissement dans les garages ?

jeudi 17 janvier 2013

Bilan de mon investissement immobilier sur 2012 : partie 2, le rendement locatif

Comme j’ai pu l’évoquer dans l’article précédent, ma grande satisfaction de l’année 2012 avec mon investissement locatif meublé aura été d’arriver à le louer 100% du temps !

Naturellement, ça signifie davantage de recettes. Les 8 premiers mois loués, hors charge, 550€ suivis de 4 mois loués 565€, pour un total donc de 6660€ de revenus locatifs.


Une rentabilité locative en hausse

Davantage de recettes, des dépenses qui restent à peu près constantes, ça signifie forcément un meilleur rendement pour cet investissement immobilier.

Avec un rendement net de 6,64% sur 2012.

Un peu mieux que les 6,30% de 2011 et presque 1 point de plus qu’en 2010, avec 5,69%.

Ce rendement net de 6,64% (avant impôt, mais prenant en compte l’ensemble des charges et frais) est certainement très proche de l'optimum que je puisse obtenir de mon studio.

lundi 14 janvier 2013

Bilan de mon investissement immobilier sur 2012 : partie 1, la gestion locative

Avant d’en venir aux chiffres dans le prochain article (au rendement locatif, à l’autofinancement, à l’imposition…), je voulais dans cette première partie faire un point sur ce qui permet que ces chiffres soient bons (ou mauvais !), mes locataires de 2012 et leur gestion en direct.

C’est tout de même le point qui différencie beaucoup l’investissement immobilier de l’investissement financier, une fois l’achat du logement fait, la façon dont on va l’exploiter peut influencer du tout au tout le résultat en fin d’année. En tant que bailleur on garde une grande responsabilité sur le rendement final, beaucoup moins en bourse par exemple.


Une année de location pleine, une première !

Après une première année 2010 de mise en route avec 1 mois et demi de vacance locative, puis une année 2011 plus optimisée, notamment grâce à une petite expérience de location saisonnière durant l’été, 2012, ma 3ème année de location de mon studio meublé aura été enfin la première année sans la moindre vacance locative ! 12 mois complets de loyers ! Et comme je l’ai souvent dit, c’est peut-être le paramètre le plus critique pour améliorer son rendement locatif.


Et pourtant 3 locataires…

La location meublée doit souvent faire face à cet inconvénient, la rotation fréquente des locataires. Et généralement, ça signifie un risque important de semaines de location perdues entre les différents locataires.

vendredi 28 décembre 2012

S’enrichir grâce à l’immobilier : le régime réel en meublé

L’immobilier locatif est l’un des piliers de l’enrichissement. Sans aucun doute, beaucoup l’ont démontré. Mais certains s’en mordent les doigts également, et même si on entend parfois parler d’histoires réussies en matière d’investissement immobilier, on retient surtout les échecs et les récits de problèmes !

Difficultés à louer, loyers impayés, dégradations, impôts…

Et même quand j’évoque avec des amis ou collègues mon studio meublé qui est depuis 3 ans un investissement très rentable, très vite les commentaires sont toujours les mêmes : "oui mais il faut déjà avoir les moyens pour se lancer", "un jour ou l’autre tu vas tomber sur un mauvais payeur", ou encore "rentable ? même après impôts ? "

Beaucoup de personnes pourraient se lancer dans l’immobilier mais n’osent pas ou ne veulent pas s’en donner les moyens. Et je pense qu’ils se coupent une véritable voie pour améliorer leur avenir financier et celui de leur famille…


Je l’ai déjà évoqué, je viens de lire le livre « S’enrichir grâce à la location saisonnière », clairement le meilleur bouquin que j’ai pu lire l'investissement immobilier !

Pour 2 raisons majeures :

vendredi 30 novembre 2012

Investissement locatif : le risque des loyers impayés

Encore un peu jeune dans le milieu de l’immobilier, je suis surement encore un peu naïf, et surtout l’absence de mauvaise expérience me donne surement une vision un peu biaisée de la vraie situation.

Ces derniers mois, je suis tombé à plusieurs reprises sur des reportages TV montrant comment certains locataires profitent du système pour ne jamais payer leur loyers. Il parait que la situation a tendance à empirer, la crise surement…

La crise, le chômage, oui, c’est certainement vrai pour beaucoup, mais après avoir visionné ces reportages, je ne pouvais pas m’empêcher de penser que ça allait aussi donner des idées à pas mal de monde. J’ai eu le sentiment que finalement, ces personnes qui ne payent pas leur loyers ne risquent finalement pas grand-chose, finissant pas partir au bout d’un an ou 2, pour recommencer avec un autre bail…

Je n’ai encore jamais eu à subir une période de loyers impayés. Il y a quelques années, avant que je me lance, mon grand-père avait connu cette situation, plus d’un an de non paiement de loyer pour un studio parisien. Il avait mal vécu cette période, même si l’ensemble des démarches avaient été prises en charge par l’agence qui gère son bien.


Un sujet qui m'est apparu encore plus proche, début novembre, lors d’une réunion de Syndic. Sur les 3 autres propriétaires de ma copropriété, 2,  qui disposent d’autres logements locatifs, sont actuellement face à un locataire qui ne paye plus.

Ce qui est étonnant (c’est là que je fais le lien avec les émissions TV…), c’est que dans les 2 cas, ils ont simplement payé le premier mois, puis plus rien !

On peut toujours se tromper, mais ça semble être des exemples où les locataires avaient prémédité leur action…

mardi 20 novembre 2012

Les SCPI, l'autre investissement immobilier

Aujourd'hui, je vais tirer profit de cet article invité pour me former davantage sur les Scpi, l'investissement immobilier "papier". 

Pour être très honnête, je n'y connais pas grand chose, j'ai souvent eu des questions à ce sujet, notamment pourquoi je n'en parlais jamais, tout simplement parce que c'est un type de placement que je n'ai jamais expérimenté moi -même.

Je vais donc laisser, Jean-Luc Matthys, l'auteur du site Scpi-1.com, vous en parler :


Bonjour,

Je suis Jean-Luc MATTHYS, Conseiller Financier Indépendant et auteur du site Scpi-1.com dédié aux Scpi.

Olivier a accepté ma demande de rédiger un article sur les scpi, un placement qui peut être intéressant en ces périodes de crise financière.

Les Scpi sont des sociétés immobilières de placement immobilier, donc des sociétés privées qui investissent dans de l'immobilier locatif dans un but locatif.

Elles font appel à l'épargne publique, les particuliers peuvent donc acheter des parts de Scpi, et devenir ainsi copropriétaires de la Scpi.

Celles ci sont gérées par une société indépendante, la société de gestion, qui s'occupe de l'ensemble de la gestion: Sélection des biens, recherche des locataires, baux, encaissement des loyers etc.

Elle s'occupe aussi de la relation avec les investisseurs: souscription, ventes de parts, assemblée générale.

vendredi 26 octobre 2012

Les moyens d'économiser et d'investir que l'on oublie souvent...

Il s'agit ici d'un article invité, écrit par Lionel du blog http://www.investir-blog.com/, qui traite notamment de stratégies d'investissements.


Lorsque l'on discute avec ceux qui se posent des questions sur leur patrimoine, comme cela m'arrive de temps en temps sur les forums ou dans la vraie vie, on se rend compte ce sont souvent les mêmes questions qui remontent. Quel contrat d'assurance vie ? Comment ouvrir un PEA ? Quel est la meilleure SCPI ? etc

Néanmoins, il y a d'autres placements et d'autres moyens de gagner de l'argent moins connus, qui mériteraient de recevoir plus d'attentions. Petite liste non exhaustive:


Les investissements atypiques

Utilisez à plein l'assurance-vie

La majorité des français utilisent l'assurance-vie pour les fonds en euros. Mais il serait dommage de ne pas tirer parti de son compartiment en unité de comptes. Deux produits sont particulièrement adaptés pour votre contrat: les trackers et les SCPI. Vous gardez les avantages de ces deux placements, mais la fiscalité, elle, devient celle, toujours alléchante, de l'assurance vie.

jeudi 18 octobre 2012

2ème investissement locatif et taux d’endettement à venir …

3 ans après mon premier investissement locatif, l’envie de renouveler l’expérience devient de plus en plus forte.

Un peu comme en 2009, la situation économique peu réjouissante m’incite surement également à me bouger !

Sauf que par rapport à 2009, ma situation est différente : je ne suis plus propriétaire mais locataire de ma résidence principale.

Certainement pas un problème pour obtenir un prêt immobilier supplémentaire, que mes charges soient des mensualités de remboursement d’un crédit ou des loyers, ça revient en gros au même. Je dirais même qu’actuellement, mon taux d’endettement est plus faible, avec des loyers plus faibles que mes dernières mensualités.

Le soucis est qu’il est probable que d’ici un an, je souhaite acheter à nouveau une maison.

Et là, avec un éventuel 2ème investissement locatif, je risque de limiter mes possibilités d’emprunt supplémentaire.

C’est donc tout le problème, est-ce que je peux investir, à crédit, dans les mois qui viennent, tout en conservant une capacité d’emprunt quasi identique dans 1 an ? Est-ce que banques me suivront de ma même façon ?

lundi 8 octobre 2012

Acheter un bien lors d’une vente aux enchères immobilière

Aujourd'hui, je vous propose un article invité de Laurent du blog 500k, l'un de mes blogs favoris sur l'immobilier !

Merci à Olivier de m’accueillir à nouveau sur Plus-riche-et-indépendant. Cette fois, je ne viens pas vous présenter un projet, mais je vais partager avec vous une de mes pratiques favorites pour faire de bons investissements, il s’agit de la vente aux enchères immobilière.

La vente aux enchères immobilière, c’est un monde particulier avec ses propres codes. Avant de se positionner sur une telle vente il est nécessaire de se placer en observateur. Je vous conseille de vous préparer et de bien vous informer.

Il y a trois types de vente aux enchères, commençons par la plus simple et celle qui s’apparente le plus à une vente classique, la vente aux enchères notariée.



La vente aux enchères notariée

lundi 1 octobre 2012

Comment bien estimer la rentabilité locative, impôts compris !

Comme évoqué dans cet article, le souhait de débuter un nouveau projet d'investissement immobilier devient de plus en plus concret.

Et les dernières annonces peu réjouissantes de ma société parlant de coupes nécessaires pour faire repartir les bénéfices à la hausse et ainsi rassurer les investisseurs, vont surement faire accélérer un peu mes recherches : avec un CDI, c’est toujours plus simple pour obtenir un prêt !

Du coup je commence à considérer et comparer différents types possibles d’investissement immobilier, j’y reviendrais dans un prochain article.

Et pour comparer, ça passe nécessairement par des chiffres ! J’utilise beaucoup Excel, avec mes propres feuilles de calcul, mais j’ai découvert une application en ligne, Rendement Locatif, totalement gratuite, que je souhaitais partager avec vous !

Il y a particulièrement 2 points que je trouve très intéressant :

  • la prise en compte de la fiscalité dans l’estimation du rendement, et ce pour différents types d’imposition : micro-foncier, micro-BIC, réel.
  • et surtout l’évolution du rendement sur la durée du prêt choisi ! C’est un détail que l’on oublie souvent, selon le type d’imposition choisi (mais aussi selon l’évolution du montant du loyer ou des charges), le rendement évoluera à la hausse ou à la baisse.

Outre, simuler la rentabilité (et l’autofinancement) de tel ou tel bien immobilier, ca en fait un outil très utile pour d’abord faire le bon choix initial en termes de type d’imposition, puis pour optimiser le rendement au bout de quelques années en changeant éventuellement.



Exemple concret avec les chiffres de mon studio locatif

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