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vendredi 19 décembre 2014

Point bourse : des dividendes et des optimisations pour finir l’année 2014

2014 aura été l’année la moins active depuis l’ouverture de mon PEA (en mars 2011) en ce qui concerne mes achats d’actions. 
Il y a 2 mois j’espérais encore une baisse un peu plus marquée du CAC40 qui m’aurait offert de nouveaux points d’entrée.
Ca n’est venu que de manière très passagère pour le moment (en début de semaine en particulier), mais j’en ai tout de même profité un peu…j’y reviendrai plus loin.

Le plein de dividendes en Décembre

Indépendamment de nouveaux investissements, cette fin d’année aura été un peu plus animée pour mon PEA, avec notamment 6 de mes sociétés versant au moins un dividende partiel. (Total, Unilever, Orange, Vinci, Eutelsat Comm, et ABC arbitrage).

Au global, c’est plus de 315€ récupérés depuis 1 mois.

Dans le détail, il y a eu du classique, avec les versements trimestriels de Total (81,74€) et Unilever (11,63€) et l’acompte 2015 d’Orange (40€).

J’ai également eu droit à une bonne surprise avec un dividende exceptionnel de Vinci (0,45€ de bonus par action), ce qui a porté le versement de fin d’année à 71€ au total.

Enfin, le choix entre percevoir mes dividendes en numéraire ou en actions m’a été proposé à 2 reprises, pour ABC arbitrage et Eutelsat.

mardi 28 octobre 2014

Mes investissements en bourse en 2014

Vous le savez, j’essaie de développer des sources de revenus indépendantes de mon travail salarié, des sources de revenu diversifiées.

Je joue un peu sur tous les tableaux…ce qui ne veut pas dire tout faire en même temps. Par contre, ce qui est important c’est que je ne délaisse rien, toutes mes approches d’investissements sont gravées sur du long terme

En pratique, 2014 aura surtout été placé sous le signe de l’immobilier avec l’achat de mon 2ème bien locatif (ça y est le compromis de vente a enfin été signé la semaine dernière !) et de la création d’un petit business autour du blog de ma femme.

Hors durant les 3 années précédentes, j’avais surtout mis l’accent sur un autre thème : l’investissement boursier avec des actions de rendements sur mon PEA.

Je vous en ai moins parlé cette année, j’ai en effet été nettement moins actif sur le sujet, et pourtant, ça reste bel et bien un investissement auquel je crois et que je continue de suivre de très près.


Des achats d'actions limités en 2014

Depuis un peu plus d’un an, le cours des actions a nettement remonté. Sur 2014, le CAC40 a commencé l’année à 4200 points et a grimpé jusque 4600 points, l’époque où je faisais plus de 10000€ de plus-value virtuelle !

Ce qui signifie que les cours ont augmenté nettement plus vite que des dividendes qui sont restés plus ou moins constant, par conséquence les rendements de quasiment toutes les actions ont chuté.

Hors c’est bien ça qui m’intéresse, le rendement !

jeudi 4 septembre 2014

L'état de mon indépendance financière en schéma

Fin 2011, j’avais écrit un article dans lequel j’expliquais mon système d’indépendance financière ou comment j’arrivais à créer des revenus passifs à partir de revenus alternatifs. 
 
La synthèse de ce principe mis en forme à l’époque est reprise juste ci-dessous :




3 ans plus tard, j’ai voulu réactualiser un peu ce schéma, évidemment en 3 ans, il s’est tout de même passé pas mal de choses !
 
Qu’est-ce qui a changé depuis 3 ans ?

  • Pas le principe général qui est resté identique : générer des revenus annexes qui seront la base de mes investissements, qui eux même généreront des revenus passifs (apport pour immobilier locatif, liquidités pour combler les défauts d’autofinancement et liquidités pour des investissements boursiers, l’achat d’actions à haut rendement ou rendement croissant au travers d’un PEA)

lundi 11 août 2014

Moins de plus value boursière mais des rendements qui s’améliorent…


La dernière mise à jour de mon PEA sur la page dédiée date du 06 juin. Je n’ai volontairement pas actualisé depuis, je souhaitais conserver ce bilan comme référence; en effet ma plus-value atteignait un sommet à cette période (+10448€ exactement, soit + 40,2% !) et depuis cette date la tendance s’inverse… une bonne nouvelle pour alimenter à nouveau mon PEA ?

Je parle de plus-value, mais comme je l’ai souvent expliqué, ce n’est vraiment pas le but de mes investissements en bourse. Je veux avant tout obtenir un revenu supplémentaire de ces actions détenues. Un revenu sous forme de dividendes, et donc naturellement, je vise sur la durée le meilleur rendement possible. J’espère 6% au global sur mon portefeuille.

Aujourd’hui après avoir investi personnellement 26000€ et réinvesti les plus de 3700€ de dividendes déjà perçus, le rendement de mon PEA atteint 5,83%. (sur la base des dividendes versés cette année)


Plus-value ou rendement ?


Suivre l’évolution de la plus-value de son portefeuille boursier est généralement une manière simple d’estimer la pertinence d’acheter ou non de nouvelles actions.

Une grosse plus value, ça veut dire quoi ? Que le cours des actions à beaucoup monté, et que par conséquent, pour un dividende donné, le rendement de chaque action a baissé.

Prenons l’exemple de l’action Total :

En 2011, j’ai acheté des actions au prix unitaire de 35€. Le dividende était alors de 2,28€ par action, soit un rendement par action de 2,28/35 = 6,51% ! très intéressant…

Il y a 2 mois, le cours de l’action atteignait 54€ pour un dividende de 2,44€. A ce prix, le rendement n’était plus que de 4,52%. 2% de moins que 3 ans plus tôt, et pourtant le dividende payé par l’entreprise a augmenté…

jeudi 10 juillet 2014

L’intérêt de réinvestir ses dividendes en actions dans la période actuelle



Il parait que l’une des qualités du bon investisseur est de savoir être patient…Alors je travaille cette valeur actuellement, depuis même quelques longs mois...

En effet, toujours aucune proposition d’achat immobilier en vue, l’offre étant déjà très faible, elle risque encore de se raréfier durant l’été. Mais en même temps les acheteurs ont tous la tête en vacances, il est donc important de rester en veille active ! L’absence actuelle de solution d’investissement locatif , même mauvaise, rend l’attente plus facile à gérer…

En ce qui concerne mes investissement en bourse, ça me demande beaucoup plus d’effort ! Comme je le disais, il est devenu tellement simple d’acheter des actions, en quelques clics, que parfois ça me démange…même si je sais bien que les rendements actuels ne sont pas ceux espérés.

Mais je tiens bon ! pour 2 raisons :

1 _ Le CAC40 a connu une première petite rechute ces deniers jours, l’amenant tout près des 4300 points (après avoir atteint les 4600 points), revenant ainsi près de 5 mois en arrière. L’espoir de retrouver des actions meilleurs marché se rapproche donc…il est plus facile d’être patient lorsque les choses évoluent dans la direction souhaitée !

2 _ Le mois de juin m’a offert quelques friandises à me mettre sous la dent, quelques bonnes propositions de réinvestissement de dividendes que je vais vous détailler…


Demander à toucher ses dividendes en numéraire ou en actions ?

Certaines sociétés donnent le choix à leurs actionnaires : soit percevoir les dividendes uniquement en cash, en liquidités, soit en nouvelles actions de l’entreprise.

En l’occurrence, courant juin, 3 des entreprises de mon PEA, m’ont offert cette possibilité : Edenred, Rubis et ABC Arbitrage 

vendredi 25 avril 2014

Le bon moment pour investir en bourse ?

Je me pose actuellement quelques questions sur l’attitude que je dois adopter vis-à-vis de la bourse ! 

D’un côté, vous le savez j’investis en actions pour du rendement, des dividendes. Et on approche à grand pas de la meilleure période pour récolter un maximum de dividendes, le mois de mai, à degré moindre juin également.

Il serait donc bien vu d’acheter des actions supplémentaires en ce moment…quelques semaines avant la rémunération.

Mais d’un autre côté, les rendements ont mécaniquement baissé en raison de la hausse continue depuis 2 ans des cours de bourse. Inévitablement, on se rapproche d’une correction…après une période de hausse, il y a toujours une rechute…la question est de savoir quand !

L’idée n’est surtout pas de vendre les actions que je détiens actuellement, mais plutôt d’en acheter d’autres plus massivement au meilleur cours possible… 


Des français qui deviendraient plus acheteurs ?

Si je me base sur les statistiques de mon site de bourse en ligne, Il semblerait que Binck ait enregistré 20% de transactions en plus au 1er trimestre 2014 comparativement au 1er trimestre 2013…

La bonne santé de la bourse inciterait-elle les investisseurs à y revenir ? toujours à contre-courant…et trop tard ?

En même temps transaction ne signifie pas exclusivement « achat », il peut aussi s’agir de ventes ! Pour enregistrer les plus-values d’une année 2013 de hausse…

Mes investissements en bourse début 2014

Pour ma part, je suis clairement au ralenti, avec « seulement » 2000€ investis depuis le début de l’année.

mardi 25 mars 2014

Exemples concrets du bénéfice des dividendes croissants sur du long terme

La moitié des titres que je possède en portefeuille présenteront cette année un dividende 2014 en hausse : Sanofi, Total, Axa, Rubis, Edenred, et je compte également sur Unilever et peut-être Eutelsat (à confirmer).

Comment ça se traduit ?

C’est ce que vous allez voir sur les 5 graphiques suivants. 

J’ai acheté ces actions il y a 1, 2 ou 3 ans.

Je les acheté à un prix donné, par exemple 47,92€ pour mes 24 actions Sanofi en 2011. 

En 2011, Sanofi m’a versé 2,5€ par action détenue, ce qui correspondait à un rendement de 5,22% (2,5€ / 47,92€)

En 2014, le dividende par action sera de 2,80€, toujours pour mes 24 actions à 47,92€. Soit un rendement de 5,84% à présent.

Et c’est la même situation pour mes actions Total, Rubis, Axa et Edenred.


Certes, les hausses de dividendes ne sont pas toutes spectaculaires, malgré un +6% pour Rubis ou un +12% pour Axa.

mardi 4 mars 2014

Point PEA : plus value, dividendes 2014, GDF Suez, Ukraine...

Pour ceux qui ne l’ont pas encore remarqué, je mets régulièrement à jour la page « Mon PEA », au moins une fois par mois, mais je pense que quelques commentaires supplémentaires sont les bienvenus.

Je vais attaquer la 4ème année depuis l’ouverture de mon PEA, avec toujours la même stratégie : me créer un capital capable de m’offrir des revenus supplémentaires réguliers sous forme de dividendes.

Vous le savez je me suis fixé à terme un rendement de 6%. A terme signifiant pour moi, un capital d’environ 100 000€, cumulé en 10 ans. Et donc un portefeuille d’actions m’offrant environ 5000€ de revenus nets par an (une fois les prélèvements sociaux déduits)

A ce jour, j’ai investi de ma poche 26000€. J'ai versé début février 1000€ de plus.

6000€ de plus value

Pour un portefeuille valorisé à plus de 32 000€ actuellement ! Soit plus de 6000€ de plus-value…(c'était même près de 7000€ avant l'importante baisse de lundi due à la crise ukrainienne)
Sachant que parmi ces 6000€, 2500€ proviennent des dividendes perçus durant ces 3 premières années.

Une telle plus-value donnerait envie à certains de revendre…de prendre ses bénéfices…

lundi 10 février 2014

Une société Européenne dans mon PEA : Unilever



Depuis un certain temps, je vous parle de ma volonté de continuer à diversifier mon portefeuille d’actions. 12 titres à ce jour valorisés à quasiment 30000€ au total. (Vous pouvez retrouver le détail de ces investissements sur cette page).

 Un conseil récurrent que j’ai reçu sur le blog est de regarder du côté des biens de consommation courante, un secteur très peu représenté pour le moment, avec uniquement peut-être Rallye (qui détient le groupe Casino).

Et récemment je suis tombé sur la représentation ci-dessous ! une illustration qui met en évidence que la majorité des produits de consommation courante sont aujourd’hui contrôlés par uniquement 10 groupes : Kraft, Nestlé, Pepsico, Kellogg’s, Mars, Coca-Cola, Procter&Gamble….et Unilever.

Évidemment, j’ai regardé si l’un d’entre eux pourrait être un bon candidat pour faire son entrée dans mon PEA. Une fois éliminés tous les sociétés non éligibles au PEA, puisque non Européennes, ou Suisse comme Nestlé…il me restait Unilever ! une multinationale néerlando-britannique éligible sur mon PEA.

Mais est-ce que Unilever répondait à mes critères ? Rendement actuel suffisamment bon et dividendes croissants avérés ces dernières années…


Unilever en quelques mots

lundi 6 janvier 2014

Prévisions de dividendes 2014 pour mes investissements en actions

Avant de parler de 2014, et de voir comment devraient progresser mes revenus passifs issus de mes investissements en bourse, (mes dividendes), je voudrais dans un premier temps revenir sur l'année 2013.

Quels ont été les dividendes perçus au final, grâce essentiellement à quelles sociétés et avec quelle distribution sur l'année ?

Bilan de mes dividendes 2013

En 2013, j'aurai au final touché 1288,75€ de dividendes. Des liquidités versées directement sur le compte espèce de mon PEA Binck, que j'ai pu réinvestir à ma guise en nouvelles actions de mon choix. 

Étant donné mes investissements constant année après année, 9000€ en 2011, 8000€ en 2012 et 7000€ en 2013, logiquement le montant de dividendes perçus augmente. Et bien sûr les dividendes réinvestis commencent à générer le petit effet boule de neige attendu.

Evolution du montant de dividendes perçus depuis 2011

dimanche 8 décembre 2013

Les limites des dividendes croissants

Aujourd'hui, un article un peu à contre courant...

Je vous ais régulièrement parlé de l’intérêt d’investir dans des actions offrant un dividende croissant, plutôt que de viser tout de suite un très haut rendement.

C’est de plus en plus la stratégie que je développe avec mon PEA. Et c'est dans ce cadre que s’inscrivent les derniers titres qui sont venus diversifier mon portefeuille d’actions : Edenred, Axa, Eutelsat Communication, Rubis

Des rendements initiaux de 3,5% à 5%, inférieurs à ma cible finale de 6%, mais qui doivent croitre année après année.
Si on considère donc un prix d’achat des actions fixé et un dividende croissant, on se retrouve par conséquent automatiquement avec un rendement des actions détenues qui va monter.

En tant qu’investisseur, c’est bien sûr la situation idéale, mais qu’y a-t-il derrière ? Comment ça se traduit concrètement pour l’entreprise ? 

Je pense qu'il est aussi très important que bien comprendre ce que ça implique pour les entreprises...


Que signifie une hausse de dividende pour une entreprise ?

Je fais faire l’impasse ici sur le cas où une société augmente son dividende en augmentant son ratio de distribution, en clair, en augmentant son pourcentage de bénéfices redistribué aux actionnaires. Ca ne marche qu’un temps et ce n’est en général pas bon signe.

Pour un ratio de distribution donné, si une entreprise veut pouvoir augmenter son dividende, il faut qu’elle fasse plus de bénéfices. Qu’elle soit plus rentable, plus profitable, année après année… Un vrai challenge, une véritable pression sur les sociétés...


Comment accroitre ses bénéfices ?

mardi 5 novembre 2013

Rubis, nouvelle action dans mon PEA

Rubis est donc la 12ème société dont je suis à présent actionnaire. Avec à ce jour 20 actions qui représentent un peu plus de 3,2% de mon capital boursier. Je continue à étoffer mon portefeuille d’actions en continuant à investir, tout en essayant de diversifier un peu.
Mon capital s’élève aujourd’hui à un peu plus de 28900€ pour 23500€ investis de ma poche. Cette répartition sur 12 lignes me semble avoir du sens ; un portefeuille pas trop concentré, et donc pas trop dépendant des résultats d’une entreprise en particulier, et pas trop dilué non plus ce qui rend le suivi toujours plus difficile.
Pourquoi avoir choisi d’investir sur Rubis ?
Avant tout pour ça !

Evolution du dividende de Rubis
Pour ces 12 années de dividendes croissant ! Un bel historique qui je l’espère se prolongera encore très longtemps… Il y a assez peu de sociétés présentant en France ce type de parcours. Comme expliqué dans cet article, j’essaie de plus en plus de m’orienter vers ces sociétés au dividende croissant (Sanofi, Edenred, Eutelsat Communications…), surtout depuis que la plupart des rendements ont baissé avec la reprise de la bourse.
Si je ne peux avoir du 6% aujourd’hui, je l’aurai dans quelques années !
De plus je ne pars pas de trop loin avec Rubis, le rendement actuel est déjà de l’ordre de 4%. Avec un Prix de Revient Unitaire de mes actions à 46,27€, et un dividende 2012 versé en 2013 de 1,84€, je suis déjà sur un rendement de 3,98%.
Donc pas si éloigné que ça que ma cible moyenne de 6%, d’ici quelques années.

mardi 8 octobre 2013

L’historique des dividendes des 11 sociétés dont je suis actionnaire…et pourquoi je ne suis pas tout à fait satisfait



Comme évoqué dans d’autres articles sur le sujet, une bonne partie de la réussite de mon investissement en actions repose sur la croissance des dividendes que distribueront les sociétés dont je suis actionnaire.

D’une part, si je veux garder le cap et arriver à continuer à investir tout en gardant un rendement moyen de mon portefeuille autour des 6%. Quand je parle de 6%, c’est 6% des sommes investies qui doivent être récupérées chaque année sous forme de dividendes, indépendamment de la hausse ou de la baisse du capital.

Et depuis quelques mois, dans un marché boursier plutôt haussier, avec à présent un CAC 40 autour des 4200 points,  les actions « sûres » offrant 6% ou plus se font désormais plus rares. La plupart ont vu leurs cours de bourse bien augmenter. 

Et d’autre part, sur du plus long terme, il serait évidemment bon que ces revenus passifs soient annuellement revalorisés pour suivre le coût de la vie…Il faudrait donc au minimum que le montant de mes dividendes annuels augmente au même rythme que l’inflation.


Petite illustration de l’intérêt des dividendes croissant

Prenons l’exemple de Sanofi : 

Avec des actions achetées en 2011 au prix de revient moyen de 47,92€, le rendement de ces actions était à l'époque de 5,22%.
Le dividende ayant augmenté tous les ans, le rendement est à présent de 5,78%. Mais si j’extrapole un peu sur quelques années, avec une croissance de 5% par an du dividende (un pourcentage du même ordre que les croissances précédentes), on atteint plus de 8,5% de rendement en 2020. 
Plus de gain, sans rien faire, juste conserver ses actions…




Évidemment, ce sera probablement différent, mais le principe est là. Et c’est ce qui peut justifier d’acheter aujourd’hui des actions qui rapportent moins de 6%, avec l’espoir de les voir atteindre ce seuil dans quelques années.

Je me suis donc dit qu’il était intéressant de faire un point sur l’historique des versements de dividende de mes 11 titres. 
Tous ne sont pas croissants…évidemment !

On peut finalement les classer selon 4 catégories : 

mardi 10 septembre 2013

Mes revenus passifs en bourse, 25% de mon objectif atteint !

Il y a 2 ans et demi, en mars 2011, j’achetais mes premières actions dans un but très précis, celui de me créer une nouvelle source de revenus supplémentaires, des revenus passifs, en percevant chaque année les dividendes.

Et la beauté de l’histoire c’est que cet investissement, je l’ai commencé (et poursuivi depuis !) grâce à mes autres revenus annexes qui fructifient donc en étant réinvestis !

A l’issue d’une première année d’achats réguliers, de constitution des premières lignes de mon PEA, et après avoir perçu mes premiers dividendes,  j’ai pu me fixer un tableau de marche chiffré  (plus détaillé dans cetarticle) :

Etre capable d’obtenir de cet investissement 6000€ de revenus bruts annuels. (Pour 5000€ net en gros…en prenant en compte la fiscalité).

Et pour cela je me suis donné 10 ans.

Aujourd’hui un quart du temps est passé, et pour le moment, étonnamment, ça colle plutôt bien !
  • 25% du temps écoulé 
  • 25% du capital nécessaire cumulé
  • Pour 25% des revenus passifs espérés désormais acquis !

Ce qui est illustré dans sur l’image ci-dessous :  (visible en .pdf ici également).

 


samedi 3 août 2013

Des actions Eutelsat dans mon PEA rendement


Après m’être intéressé à ICADE, finalement non éligible dans un PEA, je viens d’ajouter un 11ème titre dans mon portefeuille boursier, Eutelsat communications. 

Avec l’achat de 49 actions qui représentent à ce jour 4,1% de mon PEA, la portion orange ci-dessous...
 


Alors pourquoi avoir investi dans cette société ? 

Leader dans son domaine

mercredi 3 juillet 2013

Point Bourse : bien gérer son PEA en attendant la baisse

C’est le début de l’été et comme prévu (le « sell in may and go away »…), la bourse a rebaissé ces dernières semaines, le CAC 40 revenant à 3600 points après avoir dépassé les 4000.

Avec notamment une journée bien rouge, le jeudi 20 juin, avec la plus forte baisse de l’année, -3,66%.

Mais j’attends encore mieux !

Tout n’est pas encore bradé. Exception faite de quelques un de mes titres, France Telecom (Orange à présent), GDF Suez ou ABC Arbitrage, bien dans le négatif, les autres sont quasiment tous positifs.

Etat au 1er juillet 2013

Pas de quoi encore se ruer à l’achat comme durant l’été 2011 et son crack boursier, les bonnes opportunités d’achats de nouvelles actions à des prix de revient inférieurs restent limitées.

mercredi 26 juin 2013

Elargissement raté de mon PEA : un titre non éligible...

La valeur de mon capital boursier augmentant, il semble logique de continuer à augmenter le nombre de titres différents que je détiens, et ainsi diminuer les risques en cas de baisse brutale du dividende de l’une des sociétés.

Je possède aujourd’hui sur mon PEA des actions de 10 sociétés différentes, avec une répartition allant de 1% (ABC Arbitrage) à plus de 20% (Total), et ce pour un capital total de l’ordre de 22 000€, qui me rapportera au moins 1330€ de dividendes cette année.

Je recherche donc régulièrement d’autres sociétés susceptibles de m’intéresser, souvent en utilisant le screener « dividendes » de Boursorama.

En ligne avec mon approche d’investissement « rendement », je recherche un dividende assez élevé (3 à 4% mini) et si possible croissant.

Et au travers de mes dernières recherches sur l’immobilier neuf, je suis tombé sur ICADE. Davantage spécialisé en immobilier de bureau à vrai dire.

mercredi 15 mai 2013

Le mois de mai en Bourse : dividendes et « sell in may… »

Mai est réputé pour 2 choses en bourse:

Un mois charnière, où il semblerait d’après certaines statistiques, qu’il soit préférable de vendre ses actions avant la période d’été et ses traditionnelles baisses, avec le fameux adage boursier « sell in may and go away ».

Et le mois des dividendes ! celui où une majorité de sociétés verse totalement ou en partie une part de leurs bénéfices aux actionnaires.

Les sommes perçues en mai représenteront pour mon PEA actuel plus d’un tiers des revenus de l’année.

Montants mensuels des dividendes que je toucherai en 2013
Un mois très important donc !

« Sell in may and go way », pas pour moi

mercredi 1 mai 2013

Sanofi: la tentation de prendre une belle plus-value…

Dans une stratégie de rendement comme la mienne, faut-il vendre ou non les actions pour lesquelles on observe de très fortes plus-values ?

Voilà la nouvelle question que je me pose, depuis que mercredi dernier j’ai fait un point sur les cours de bourse de mes titres.

J’ai toujours dis qu’à priori j’achetais mes actions à vie, uniquement dans le but de percevoir les dividendes annuels, un rente à vie, sans chercher de plus-value sur le capital.

Oui mais voilà quand je vois que j’étais à +76,81% sur ma ligne Sanofi, ça mérite réflexion !

N’y a-t-il pas moyen de mieux exploiter ce gain en capital ?

Voilà ci-dessous mon analyse et surtout j’aimerai avoir votre avis !

Revendre Sanofi pour réinvestir sur quoi ?

J’ai donc investi il y a 2 ans 1150€ pour acheter 24 actions Sanofi au prix de revient de 47,82€. (je me mords les doigts de ne pas en avoir acheté davantage à l'époque, mais avec des si…)

2 années de hausse ont amené le cours à plus de 84€ mercredi 24/04 et ce jour là une revente de ces 24 actions me permettait de récupérer 2033€.

Soit une plus-value de 883€ !

lundi 15 avril 2013

Revenus supplémentaires avec la bourse : théorie et réalité

Fin 2011, j’ai écrit un article intitulé « l’effet boule de neige de mes investissements en bourse ».

L’idée était d’expliquer comment j’imaginais voir croitre, année après année, les revenus passifs obtenus de mes investissements en actions. Ca faisait alors moins d'un an que j'avais ouvert mon PEA.

J’avais alors schématisé de la manière suivante la croissance du capital investi (en bleu) mais surtout l’augmentation du montant des dividendes (en vert), ces revenus supplémentaires sur lesquels je compte en partie m’appuyer pour être plus indépendant financièrement.

Ci-dessous l’extrapolation faite fin 2011, il y a un an et demi, pour 2012 et 2013.



C’est évidemment toujours très simple de sortir des chiffres, de prévoir un tableau de marche et d’annoncer que ça va être une réussite. Mais ce qui est surtout intéressant c’est de regarder aujourd’hui où j’en suis réellement avec quelques années de recul !

Est-ce que la réalité est conforme à la théorie ? ai-je été persévérant ? ai-je réussi à m’en tenir à l'approche d’investissement initiale ?


La croissance de mon PEA : les vrais chiffres

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