Depuis le 1er juillet, alors que le portefeuille de mon
PEA Binck était
en hausse de 5% (inclut les dividendes déjà perçu et réinvestis), je viens de
subir une baisse de 14% en 1 gros mois…
J’aurais peut-être dû suivre l’adage boursier, « sell in may and go away » qui consiste à vendre ses actions avant l’été pour ne revenir qu’à l’automne… il parait que statistiquement, l’été n’est pas la période la plus favorable en bourse.
Mais je n’ai pas acheté des titres pour les vendre, je ne les ai pas acheté pour jouer des plus-values sur le cours de bourse, mais pour toucher les dividendes que ces sociétés distribuent chaque année.
Et malgré les craintes actuelles et les débuts de panique sur les marchés financiers, avec notamment 10 séances de baisses consécutives sur le CAC40, j’avoue être plutôt serein. C’est un bon test sur sa capacité à encaisser les soubresauts de la bourse en fait.
Je suis davantage serein qu’il y a quelques années, parce que j’ai
déjà subi la crise de 2008, au travers de Fonds Communs de Placement, et que je pense
avoir analysé certaines de mes erreurs que je ne suis plus aujourd’hui à même de reproduire.
Mais
surtout plus serein aussi parce que
l’approche d’investissement « rendement » que j’ai choisi, dans des
actions à haut dividendes, me permet de garder un certain détachement par rapport à la valeur du cours.
Mieux, comme je l’avais déjà expliqué dans
cet article,
les périodes de fortes baisses, sont l’occasion d’
acheter davantage de titres à un niveau de rendement bien meilleur, le ratio dividende distribué sur le cours de l’action augmente.
Mes rendements actuels, très bons mais...
Voici par exemple les rendements dont je bénéfice actuellement sur la base des prix de revient de mes différentes lignes (sachant que pour la plupart de ces lignes, j’ai effectué des achats à plusieurs reprises) : de 4.06% à 9,41%