Avant d’en venir aux chiffres dans le prochain article (au rendement locatif, à l’autofinancement, à l’imposition…), je voulais dans cette première partie faire un point sur ce qui permet que ces chiffres soient bons (ou mauvais !), mes locataires de 2012 et leur gestion en direct.
C’est tout de même le point qui différencie beaucoup l’investissement immobilier de l’investissement financier, une fois l’achat du logement fait, la façon dont on va l’exploiter peut influencer du tout au tout le résultat en fin d’année. En tant que bailleur on garde une grande responsabilité sur le rendement final, beaucoup moins en bourse par exemple.
Une année de location pleine, une première !
Après une première année 2010 de mise en route avec 1 mois et demi de vacance locative, puis une année 2011 plus optimisée, notamment grâce à une petite expérience de location saisonnière durant l’été, 2012, ma 3ème année de location de mon studio meublé aura été enfin la première année sans la moindre vacance locative ! 12 mois complets de loyers ! Et comme je l’ai souvent dit, c’est peut-être le paramètre le plus critique pour améliorer son rendement locatif.
Et pourtant 3 locataires…
La location meublée doit souvent faire face à cet inconvénient, la rotation fréquente des locataires. Et généralement, ça signifie un risque important de semaines de location perdues entre les différents locataires.