Suite à quelques échanges de mail sur la prise en main de ses finances, Angélique m’a proposé cet article pour y présenter sa vision de la liberté financière ainsi que son approche actuelle, voici donc son récit :
Fille de communistes, petite-fille de communistes (et fonctionnaires qui plus est), j’ai hérité de pas mal de valeurs. Mais elles ne se comptent pas en numéraires…
J’ai passé la plus grande partie de mon existence dans un déni complet de l’importance de l’argent. Que l’argent ne faisait pas le bonheur, qu’il empêchait d’être libre, qu’on avait qu’une seule vie et que je n’allais pas l’emporter dans ma tombe.
Une telle insouciance financière (appuyée par une empathie pour tous et tous les malheurs du monde) m’a conduite directement à la case banqueroute. En bref, j’étais fauchée et j’aurais pu continuer ainsi longtemps si je n’avais le goût de comprendre les mécanismes limitant. Et si une maladie ne m’avait pas aidée à m’extirper de ce qui n’allait pas dans ma vie.
Une telle insouciance financière (appuyée par une empathie pour tous et tous les malheurs du monde) m’a conduite directement à la case banqueroute. En bref, j’étais fauchée et j’aurais pu continuer ainsi longtemps si je n’avais le goût de comprendre les mécanismes limitant. Et si une maladie ne m’avait pas aidée à m’extirper de ce qui n’allait pas dans ma vie.
Choisir sa voie et les activités qui rapporteront