dimanche 19 juillet 2020
Finances personnelles : résister au coronavirus !
mercredi 24 juin 2020
Comment ma location Airbnb a résisté au coronavirus ?
En septembre dernier, je vous expliquais combien me rapporte ma location touristique Airbnb et je concluais en affirmant qu’il s’agissait réellement de mon meilleur investissement !
En effet sur 3 années pleines de location de courte durée via uniquement Airbnb, j’ai dégagé quasiment 17000€ de cashflow. 17000€ de recettes supplémentaires à toutes mes dépenses, y compris les mensualités de remboursement du prêt. Un investissement donc très rentable, au-delà de toutes mes espérances et bien plus qu’autofinancé.
De plus, je me disais que la pérennité était assurée, ayant la chance d’habiter dans une région attirant des voyageurs du monde entier le plus souvent pour un motif qui ne changerait jamais, une forêt mondialement connue pour ses spots d’escalade !
Oui mais voilà l’improbable est arrivé avec la pandémie du COVID-19 !
J’avais déjà mal commencé l’année avec un mois de janvier durant lequel j’avais décidé de ne pas louer pour effectuer des rénovations. J’avais toutefois déjà une dizaine de réservation sur 2020, plus de 4000€ théoriquement acquis.
L’impact du COVID-19 sur mon activité est devenu concrète partir du mois de mars. Un groupe d’américain avait décidé de louer notre gite pour presque 4 semaines. Mais face à l’ampleur de la crise et la fermeture des frontières, ils ont évidemment décidé de repartir précipitamment au bout de 2 semaines. Soit 2 semaines de location que j’ai dû rembourser.
Plus dans les jours qui ont suivi, les uns derrière les autres tous mes voyageurs (100% étrangers) ont été contraint d’annuler pour les mois d’avril et de mai…
Le mois d’Avril s’est donc passé sans la moindre réservation, confinement oblige. L’occasion de refaire des peintures !
Début mai, il m’a semblé que l’année allait être très difficile, que le tourisme mettrait des mois à redémarrer (même s’il allait repartir, les gens oublient très vite comme on le constate actuellement, les gestes barrières semblent déjà oubliés pour beaucoup) et surtout personne n’avait de visibilité sur l'avenir.
Ayant donc une forte incertitude sur les revenus à venir, j’ai décidé d’agir sur les dépenses. J’ai donc décidé de contacter ma banque pour déclencher l’une des clauses de mon contrat de prêt immobilier, à savoir reporter un certain nombre de mensualités.
C’est donc chose faite, je vais reporter cette année 6 mensualités de prêt, de juin à novembre. Environ 4000€ de dépenses que j’éviterai cette année. Évidemment la contrepartie est que je ne rembourse pas non plus le capital durant cette période. Mais je souhaitais avant tout éviter de devoir sortir du cash pour financer mon investissement.
Un fort rebond dès la fin du confinement
samedi 7 septembre 2019
Combien rapporte une location sur Airbnb ?
jeudi 12 juillet 2018
L’Asie, nouvelle donne de l’investissement infrastructurel
dimanche 23 juillet 2017
Ma location meublée de tourisme autofinancée dès la 1ère année
Nous avons commencé la mise en location en novembre 2016, et dès cette fin juillet, j’ai déjà l’assurance que les revenus perçus dépasseront l’ensemble des dépenses sur une année d’exploitation (de novembre à novembre).
En effet, à ce jour, 12000€ sont déjà acquis étant donné les réservations actuelles, dont plus de 9500€ déjà perçus. Hors les dépenses totales sur un an tourneront autour de ces 12000€.
Et surtout, la moitié du mois de septembre est encore libre, ainsi que la totalité du mois d’octobre. Et sur la base de l’expérience passée, je suis certain de remplir ces 2 mois.
Depuis mi-février, il n’y a pas eu un seul week end non réservé (hormis ceux que l’on avait intentionnellement bloqué pour nos vacances personnelles !)
Je peux donc espérer un cashflow de l’ordre de 1000€ à 2000€ sur cette première année.
Et quand je parle de 12000€ de dépenses annuelles j’intègre tout : le prêt immobilier, le gaz, l’eau, EDF, Internet, l’assurance, les impôts (taxe foncière…), les frais de compatibilité…
L’imposition
Justement concernant les impôts…le gite est déclaré comme location meublée, avec numéro SIRET associé. (J’en avais parlé dans cet article).
Ainsi le mode d’imposition est le régime BIC réel. L’établissement des liasses est délégué à mon expert-comptable, qui se charge notamment d’estimer le montant de l’amortissement annuel du bien.
Et comme déjà expliqué à plusieurs reprises dans ce blog, comme c’est le cas pour mon 1er studio meublé, le bilan comptable est de cette manière est souvent négatif, ce qui évite tout impôt sur les recettes du bien locatif.
mercredi 19 avril 2017
6 ans d’investissement en bourse
J’ai débuté cet investissement en bourse avec un objectif bien précis et je m’y suis toujours tenu : Acheter des actions de sociétés me rémunérant en contrepartie par leur dividende. Ne pas faire d’aller- retour, ne pas jouer sur la hausse des cours pour essayer de prendre une plus-value. Conserver donc ces actions au moins tant que le dividende perçu chaque année reste bon. Et bien sûr réinvestir ces revenus passifs en nouvelles actions de façon à faire grossir la boule de neige.
De manière quantitative, je vise 6% de rendement, pour faire simple ça signifierait pour 100000€ investis, 6000€ de revenus, soit 5000€ net de revenus annuels une fois les prélèvements sociaux déduits.
En effet, l’intérêt principal d’un PEA qui a plus de 5 ans est que les plus-values ne sont plus imposées. Seuls les prélèvements sociaux subsistent.
Aujourd’hui, je pourrais donc commencer à effectuer des retraits sans imposition. Mais tout retrait avant 8 ans entraine obligatoirement la clôture du PEA (et donc la revente de toutes les actions).
Ce n’est pas ce que je souhaite, je veux continuer à faire vivre mon PEA, en effectuant de nouveaux versements et donc de nouveaux achats d’actions dans les mois et années à venir. Et ainsi continuer à faire grossir le montant de dividendes annuels perçus.
Après 8 ans, je pourrai commencer à faire des retraits, le PEA ne sera pas clôturé, mais je ne pourrais alors plus faire de nouveaux versements.
Pour le moment, l’idée est claire, je continue sur la même voie, le bilan est très bon et investir dans la durée reste la meilleure façon pour moi de gagner en bourse !
Un bilan très positif
dimanche 12 février 2017
Comment déclarer un 2ème bien en location meublée LMNP
Et même si j’utilise exclusivement les services d’Airbnb, ça reste ni plus ni moins que de la location meublée sur l’année, dont les revenus devront être déclaré de la bonne manière auprès du service des impôts.
Et c’est là que les difficultés commencent en général.
J’ai la chance d’avoir déjà un peu d’expérience en la matière avec mon 1er studio que je loue déjà en meublé et pour lequel je suis déclaré en tant que Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP).
Mon souhait était de donc de « simplement » dupliquer ce qui a été fait pour le studio et ainsi bénéficier des mêmes avantages, à savoir la possibilité déclarer les recettes selon le régime BIC réel et ainsi limiter très fortement l’imposition sur les revenus du gite, voir même peut-être l’annuler pour quelques années comme c’est le cas pour mon studio.
Étant donné qu’ici il s’agit de location « saisonnière », il y a tout de même une première variante : l’obligation de demander l’autorisation à sa mairie, au moyen du formulaire adéquat (cerfa 14004*02). Il est demandé de spécifier les périodes prévisionnelles de location, j’ai dans mon cas choisi la location sur l’année complète. Ce formulaire nous a été retourné quelques jours plus tard, signé par le maire.
Nous pouvions donc débuter notre activité.
samedi 10 décembre 2016
Mon gite sur Airbnb : Un premier 1 mois d’exploitation très positif
Nous en sommes à ce jour à (déjà) 8 réservations, dont 2 quasi terminées (la 2ème se termine dans 3 jours…). Ce qui représente un total de 59 nuits. (soit un peu plus de 7 nuits en moyenne par réservation...)
3654€ de revenus déjà assurés
Sur un an (je considère une année pleine de début novembre 2016, date de mise en ligne, à fin octobre 2017), le total des recettes à priori assurées (voir déjà payées pour les 2 premières réservations) s’élève à 3654€.
Avec la distribution suivante selon les mois :
Les recettes du mois de Novembre ont déjà été perçues puisque Airbnb les verse directement à l’hôte dès le lendemain de l’arrivée des voyageurs.
Comme je l’avais expliqué, je ne savais pas trop dans quoi on s’engageait, il était donc difficile de faire une bonne estimation des revenus escomptés.
Pour faire simple, je considère aujourd’hui que 3654€ représente la moitié de notre cible minimum, 7500€ de revenus annuels.