samedi 10 décembre 2016

Mon gite sur Airbnb : Un premier 1 mois d’exploitation très positif

Comme promis, voici un premier bilan de ma nouvelle activité de location saisonnière, un mois après la publication de mon annonce sur Airbnb.

Nous en sommes à ce jour à (déjà) 8 réservations, dont 2 quasi terminées (la 2ème se termine dans 3 jours…). Ce qui représente un total de 59 nuits. (soit un peu plus de 7 nuits en moyenne par réservation...)

3654€ de revenus déjà assurés

Sur un an (je considère une année pleine de début novembre 2016, date de mise en ligne, à fin octobre 2017), le total des recettes à priori assurées (voir déjà payées pour les 2 premières réservations) s’élève à 3654€.

Avec la distribution suivante selon les mois : 

Les recettes du mois de Novembre ont déjà été perçues puisque Airbnb les verse directement à l’hôte dès le lendemain de l’arrivée des voyageurs.

Comme je l’avais expliqué, je ne savais pas trop dans quoi on s’engageait, il était donc difficile de faire une bonne estimation des revenus escomptés.

Pour faire simple, je considère aujourd’hui que 3654€ représente la moitié de notre cible minimum, 7500€ de revenus annuels.

dimanche 6 novembre 2016

Lancement de ma location saisonnière sur Airbnb !

Certains se sont demandés la raison de mon silence sur le blog depuis quelques mois... Simplement parce qu'il a fallu faire des choix.
Je n'étais plus en mesure de faire vivre le blog correctement, faute de temps. 

Notre nouveau projet d’investissement immobilier, dont je vous ai parlé dans le dernier article, m'a occupé beaucoup plus que je ne le l'avais imaginé lors de notre décision d'achat. 

Hors du boulot (particulièrement chronophage également ces derniers mois), l'essentiel de mon temps a été consacré exclusivement à la rénovation complète et l'équipement de notre désormais "gîte" !

Même si au début, on se dit que l'état général est correct, petit à petit, pièce après pièce, on se met à tout refaire. C'est finalement ce que j'ai voulu. 
Aujourd'hui, l'ensemble est comme neuf ! à l'exception de la 4ème chambre, que je me garde pour m'occuper l'année prochaine...

J'ai toujours pris le parti d'offrir le meilleur à mes locataires, qui en général me le rendent bien, et c'est donc naturellement ce que j'ai voulu faire ici. 

Une maison complète proposée en location saisonnière

Sachant que dans le cas que ce 3ème investissement immobilier, il ne s'agit pas simplement d'un studio, mais d'une maison de 85m². 
Avec une pièce à vivre au rez de chaussée, une grande pièce palière à l'étage (avec la création d'un puit de lumière),  3 chambres chacune équipée d'une salle de bain privative (avec à terme une 4ème chambre...), et 2 toilettes ! 

lundi 16 mai 2016

Un 3ème investissement locatif avec un objectif de cashflow

C’est évidemment le sujet qui m’a le plus occupé ces dernières semaines : l’achat de la maison voisine à la mienne qui deviendra ainsi notre 3ème investissement immobilier. J’avais commencé à l’évoquer dans mon dernier article

La promesse de vente est signée et la demande de prêt est lancée !

J’ai bon espoir d’être propriétaire début juillet au plus tard.


Un investissement plus conséquent que les appartements

Il était difficile de passer à côté de cette opportunité, étant donné la situation de cette maison de ville par rapport à notre résidence principale, quasi mitoyenne.

De par les quelques modifications (notamment au niveau du jardin) que nous prévoyons, cet investissement bonifiera notre maison, et lui donnera donc plus de valeur.

De plus le propriétaire était vendeur (c’est lui qui a été à l’initiative), ce qui a permis une bonne négociation du prix : une acquisition à 140000€ au final. 2 agences l’estimaient à 160000€ net vendeur.

Mais nous étions intéressés et la banque nous a suivis rapidement, ce qui offrait au vendeur une vente rapide et quasi assurée. Sachant qu’au final il s’agira tout de même pour lui d’une belle plus-value puisqu’il s’agissait à l’origine d’une grange achetée 35000€ qu’il a entièrement retapée pour un faire un logement il y a 15 ans…

Mais acheter cette maison représente tout de même un investissement équivalent à mes 2 studios.

Il fallait donc se poser, bien faire nos comptes, et s’assurer que cet achat ne vienne pas totalement déséquilibrer notre budget annuel.


La promesse de vente signée

mercredi 30 mars 2016

Un nouvel investissement locatif pour de la location saisonnière en 2016 ?


Ca fait désormais un tout petit peu plus d’un an que j’ai perçu le 1er loyer de mon 2ème investissement immobilier, un studio plein centre-ville que j’avais acheté déjà occupé, avec un bail en cours donc. La gestion est pour le moment déléguée à une agence, en attendant que le locataire donne son préavis de départ. Ce sera alors l’occasion pour moi de reprendre la gestion en direct et de passer en location meublée, comme je le fais depuis plus de 6 ans avec mon 1er appartement.

L’objectif étant bien sûr une bien meilleure rentabilité, avec notamment une fiscalité très avantageuse.

Avec quelques travaux de rénovation prévus cette année dans ma résidence principale, je n’envisageais pas de me lancer dès cette année dans un nouveau projet d’investissement locatif, et pourtant ça risque bien d’être le cas !

De manière générale, se limiter à un ou 2 biens locatifs permettra certes d’améliorer ses revenus une fois la retraite arrivée, mais n’est pas suffisant pour devenir indépendant financièrement, et se passer totalement de revenus salariés.

De plus, le temps est notre principal ennemi : il faut commencer à investir le plus tôt possible et espacer au minimum ses différents achats.

Mais avoir quelques liquidités disponibles et une situation financière la plus solide possible est toujours plus confortable pour se lancer dans un nouveau projet.

J’aurai donc bien attendu encore un an de plus…

Mais voilà, un bon investisseur doit aussi savoir saisir les occasions qui se présentent ! 

Acheter la maison voisine ? 

Je vous avais parlé dans cet article daté d’il y a un peu plus de 2 ans de la maison voisine à ma résidence principale.

jeudi 11 février 2016

Crise boursière, enfin le retour des soldes ?



Après une année 2015 marquée par des cours de bourse qui se sont maintenus à un haut niveau, le CAC40 vient de perdre 20% durant ces 3 derniers mois !

Il y a toujours pleins de bonnes explications, un cours du pétrole trop bas, l’économie chinoise qui ralentit, des craintes plus générales sur la croissance mondiale, etc…

Peu importe au final, il faut savoir prendre de la distance avec tout cela et retenir une seule chose :
L’évolution des cours de bourse est quelque chose de cyclique, avec une alternance de périodes de hausse et de baisse. C’est historique, il y aura toujours une bonne raison pour subir un krach boursier, et il y aura toujours également de belles années de croissance !


Pourquoi investir en bourse comme on investirait dans l’immobilier ?

Une fois que l’on a fait ce constat, il y a 2 possibilités : 

Soit « jouer en bourse », en tentant de faire croitre son capital : acheter bas et revendre haut.
Ca implique d’être très actif, de suivre de très près les cours et ça induit également beaucoup de stress !
Et au final, beaucoup ont tenté cette méthode d’argent facile et rapide, qui les a conduit à l’échec. Même les traders professionnels se trompent…pour moi, c’est comme jouer au casino, il faut être très chanceux.

Soit acheter des actions comme on achète de l’immobilier locatif : on n’achète pas dans le but de revendre avec une plus-value mais dans le but de percevoir « un loyer » de son investissement. Et pour les actions, les loyers, ces sont les dividendes, cette part de bénéfices que les entreprises redistribuent à leurs actionnaires.
Il faut donc bien garder à l’esprit que l’idée n’est pas de récupérer son capital un jour. Donc peu importe l’évolution de ce capital et donc des cours de bourse. Ce qui compte, c’est le nombre d’actions détenues et le dividende par action que l’on va toucher.

C’est le choix que j’ai fait il y a 5 ans, qui me rapporte aujourd’hui plus de 2000€ par an de dividendes, donc de revenus supplémentaires.

Et quand on investit de cette manière, les crises boursières peuvent s’apparenter à une période de soldes !


Une réelle chute de la bourse ? 

mardi 19 janvier 2016

Comment déclarer ses revenus LMNP : l'interview d'un expert comptable


Comment déclarer les revenus de vos locations meublées ? C’est une question à laquelle vous allez bientôt devoir répondre. Choisir l’option simple du micro-BIC ou celle un peu plus complexe mais fiscalement plus avantageuse du BIC réel ? Pour la 2ème option il est encore temps de vous y prendre et de contacter un expert-comptable.

Pour plus d’information sur ce sujet, je vous propose aujourd’hui une interview de Julien Llorens, responsable du cabinet d’expertise CMF Conseil et Expertise. Une interview dans laquelle j’aurai appris une excellente nouvelle concernant le crédit d’impôt pour 2016…

Bonjour Julien,

D’après les retours de plusieurs lecteurs et mon expérience personnelle, il semble difficile de trouver un expert-comptable, qui ait non seulement l’expertise mais également la volonté d’assurer la réalisation de déclaration LMNP, pourquoi avez-vous spécialisé votre cabinet dans cette voie ?


Nous constatons une forte demande pour la location meublée LMNP au réel, depuis sa refonte en 2009, grâce aux nombreux atouts qu’elle offre aux investisseurs notamment en matière fiscal.

Ce n’est pas une spécialisation à part entière, puisque nous nous occupons également tout type de TPE PME mais nous avons fait le choix de consacrer une grande partie de notre activité comptable à ce régime qui comporte de nombreuses spécificités.

Ce sont de petits dossiers avec généralement un ou deux appartements loués et qui, selon le volume, peuvent s’avérer moins rentable qu’une comptabilité classique n’intéressant donc pas certains confrères.

Même si dans la grande majorité des cas, le régime BIC réel est un régime d’imposition plus rentable que le micro-BIC, proposez-vous à vos clients au préalable une étude comparative des différents modes d’imposition afin d’orienter leur choix ?

En effet, chaque cas est particulier et doit faire l’objet d’une étude de cas spécifique.

mardi 12 janvier 2016

Comment sortir de son PEA ?


En mars 2016, mon PEA aura 5 ans ! ce qui veut dire que ça déjà presque 5 ans que vous pouvez suivre sur le blog l’évolution de mon portefeuille d’actions et la croissance de mes dividendes. Le temps passe vraiment très vite…

Et vous savez probablement que 5 ans est la durée minimale recommandée pour ce type de support d’investissement ; en effet après 5 ans, les plus-values réalisées ne sont plus imposables et subiront seulement les prélèvements sociaux (soit 15,5% actuellement)

Comment est-ce que je compte exploiter mon PEA pour en tirer des revenus supplémentaires chaque année ?

5 ans est un minimum de durée de détention certes, mais la véritable durée minimale si on veut que notre PEA soit une source régulière de revenu passif, c’est 8 ans !

En effet après 8 ans, le PEA offre plusieurs possibilités et en particulier :

1 _ Continuer à faire vivre le PEA en effectuant des versements complémentaires et donc en continuant à acheter de nouvelles actions.

2 _ Et surtout faire des retraits partiels, sachant toutefois que la conséquence est  l’impossibilité de faire ultérieurement de nouveaux versements.


Voilà donc comment je compte procéder.

Après avoir perçu 1997€ de dividendes en 2015, mon estimation préliminaire pour 2016 est de 2149€ (sur la base de dividendes par action identiques à ceux de 2015, ce qui est très probablement faux, mais c’est une base de départ…)

Evolution des dividendes perçus depuis 2011
Ma cible à terme serait de percevoir annuellement 5000€ de dividendes (de revenus) net de prélèvements sociaux par an, ce qui signifie environ 6000€ de dividendes brut.
                                                                                                
Je ne suis donc aujourd’hui environ qu’au tiers de mon objectif.

lundi 14 décembre 2015

Devenir plus riche et plus indépendant…bilan de l’année écoulée



Sur la longue route de l’indépendance financière, quels auront été les faits marquants de cette année ?

Commençons par mon activité professionnelle ! un sujet qui peut apparaître ici comme un intrus mais qui n’est pourtant pas forcément à dissocier de toute liberté financière.

Une année professionnellement bien chargée (c’est vrai que j’ai vendu pas mal de mon temps cette année (ceci dit plutôt bien vendu !)…) mais loin d’avoir été déplaisante. Je dois bien reconnaître que j’ai passé du bon temps au boulot, que je m’y suis même bien amusé parfois…

Et ça, c’est ce qui compte ! être heureux de se lever le matin pour aller au travail…parce que l’on sait que l’on va faire des choses intéressantes, motivantes.  Et je sais bien que ce n’est pas donné à tout le monde ! Mais ça arrive…et quand on a en plus des collègues qui sont davantage des amis que des collaborateurs, ça n’aurait pas de sens de dédaigner systématiquement tout travail salarié ! 
Oui, il est possible de travailler pour quelqu’un et d’être très heureux ! Je peux l’affirmer, c’est du vécu.
Mais je sais aussi qu’en 15 ans d’activité, je suis passé 3 fois au travers de plans sociaux, et que je ne suis qu’un numéro parmi d’autres (1 sur 35000 employés ;-).
Je suis tout à fait lucide sur le fait que personne et en particulier moi-même n’est irremplaçable ! 
Et une année passée ne préfigure pas des suivantes : il y a des hauts et des bas, cette année était un haut, l’année prochaine sera peut-être un bas : soit parce que mon employeur en aura assez de me payer, soit parce que le projet sur lequel je travaillerai ne présentera aucun intérêt à mes yeux, soit pour tout autre raison qui fera que je n’aurai plus aucune motivation à me lever le matin…

Et là, je veux pouvoir le vivre de la meilleure façon possible : savoir que ma sécurité financière est en partie assurée quoiqu’il arrive et que je peux donc prendre des décisions sur la suite à donner à ma carrière…

Bon, pour le moment, il semblerait que j’ai encore quelques années positives devant moi, avec une visibilité de 2 ou 3 ans je dirais, un poste qui se libère m’intéresse et on me le propose.

Ce qui signifie au moins encore quelques années à « exploiter mon employeur » et à mettre à profit l’argent que je lui extirpe tous les mois pour l’investir au maximum et ainsi préparer l’après, en toute indépendance ! Évidemment tout en développant en parallèle des revenus annexes…

Poursuivons,  par ce qui est probablement le moins excitant mais pourtant indispensable,  l’entretien et le maintien des acquis.

Mes investissements immobiliers et financiers

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